Université Paris-Saclay





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Histoire et statut
Fondation

29 décembre 2014
Type

Communauté d'universités et établissements (EPSCP)
Forme juridique

Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnelVoir et modifier les données sur Wikidata
Régime linguistique

FrançaisVoir et modifier les données sur Wikidata
Président

Gilles Bloch

















Localisation
Campus

Paris-Saclay
Localisation

ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Pays

Drapeau de la France France
















Chiffres-clés
Étudiants

65 000 dont 10 000 en masters
Enseignants-chercheurs

9 000 chercheurs et enseignants-chercheurs













Divers
Membre de

Consortium universitaire de publications numériquesVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web

www.universite-paris-saclay.fr



Université Paris-Saclay est une communauté d'universités et établissements (Comue) pluridisciplinaire au sud de Paris, dans l'Essonne et les Yvelines, créée le 29 décembre 2014[1].
Sa création a pour but initial de constituer le pôle de formation et de recherche de la "grappe industrielle" Paris-Saclay [2].
Elle regroupe trois universités, neuf grandes écoles et sept organismes de recherche[3].




Sommaire






  • 1 Historique


  • 2 Gouvernance


  • 3 Membres


  • 4 Formation


  • 5 Recherche


  • 6 Rôle dans la création du cluster technologique Paris-Saclay


  • 7 Critiques


  • 8 Notes et références


    • 8.1 Textes réglementaires







Historique |


Le projet d'Université Paris-Saclay a été lancé en 2008, à la suite de sa validation par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche dans le cadre du Plan campus[4]. La Fondation de coopération scientifique Campus Paris-Saclay, présidée à l'époque par Alain Bravo, avait été créée pour fédérer les différents établissements universitaires et scientifiques, assurer la gestion des réseaux thématiques de recherche avancée (RTRA) Digiteo et Triangle de la physique et assurer la création de la communauté[5]. En lien avec le projet d'aménagement du campus de Saclay, de nombreux établissements y prévoient leur déménagement : l'arrivée de l’École normale supérieure Paris-Saclay, l'ENSTA ParisTech[6], AgroParisTech, l'École centrale Paris, l'ENSAE ParisTech et Télécom ParisTech est confirmée en septembre 2010[7]. L'université Paris-Sud doit également transférer une partie de ses bâtiments sur le nouveau campus[8]. AgroParisTech et l'INRA ont quant à eux pour projet la construction d'un bâtiment commun à Palaiseau, qui regroupera toutes les activités de l'Inra d'Île-de-France non localisées à Jouy-en-Josas ou Versailles. Le déménagement de l'École nationale supérieure des mines de Paris, un temps évoqué, est annulé[9].


En juillet 2014, les différents membres (voir ci-dessous) adoptent les statuts de la communauté d'universités et établissements (COMUE), ce qui lui permettra de délivrer les diplômes de licence, master et doctorat[10]. Les statuts sont approuvés par un décret signé le 29 décembre 2014[1]. La première rentrée a lieu en septembre 2015[11].


En 2012, la fondation est lauréate des initiatives d'excellence du Programme d'investissements d'avenir. En 2016, Paris-Saclay n’est pas confirmé mais la période probatoire est prolongée de 18 mois[12].


Confrontée aux désaccords entre ses membres (écoles contre universités, ministère de la défense contre enseignement supérieur), l'université Paris-Sud propose en 2017 sa transformation en Université Paris-Saclay, les écoles ne seraient qu’associées au futur établissement[13].


Ces mêmes désaccords ont eu pour conséquence d'amener Emmanuel Macron à annoncer, le 25 octobre 2017 (lors d'inaugurations de divers bâtiments d'Université Paris-Saclay) qu'Université Paris-Saclay serait séparée en deux entités universitaires[14], la première (Paris-Saclay) comprenant entre autres les trois universités, l'ENS Paris-Saclay, CentraleSupélec, l'Institut d'optique Graduate School et AgroParisTech, et l'entité NewUni, avec Polytechnique, l’ENSTA ParisTech, l’ENSAE, Télécom ParisTech et Télécom SudParis[15].



Gouvernance |


L'université Paris-Saclay est dirigée par un président élu par le conseil d'administration[16]. Le conseil d'administration comprend 26 administrateurs, représentant les établissements membres, le personnel, les étudiants, les collectivités territoriales et le monde socio-économique. Au conseil d'administration est associé le conseil des membres, qui réunit les représentants de chacune des institutions membres. Le conseil académique, composé de 220 membres représentant les personnels et les étudiants, exerce un rôle consultatif. Enfin un comité de stratégie scientifique et d’innovation composé exclusivement de personnalités externes, conseille le conseil d'administration[17].



Membres |


Les membres fondateurs de la Comue sont[1] :



  • le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ;

  • le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) ;

  • l’Institut des hautes études scientifiques (IHES) ;

  • l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) ;

  • l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria) ;

  • l’Office national d'études et de recherches aérospatiales (Onera) ;

  • l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ;


  • AgroParisTech ;


  • CentraleSupélec ;

  • l’École des hautes études commerciales de Paris (HEC) ;

  • l’École polytechnique (l’X) ;

  • l’École normale supérieure de Cachan « Paris-Saclay » ;

  • l’École nationale supérieure de techniques avancées (Ensta ParisTech) ;

  • le Groupe des écoles nationales d'économie et statistique ;

  • l’institut Mines-Télécom ;

  • l’Institut d'optique Graduate School ;

  • l’université Paris-Sud ;

  • l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines ;

  • l’université d'Évry-Val-d'Essonne.


L'École nationale supérieure d'informatique pour l'industrie et l'entreprise (ENSIIE) est associée à la Comue[18].


À la suite de la scission entre le projet d'Université Paris-Saclay et le projet dit « NewUni » à l'automne 2017, les membres du modèle d'Université Paris-Saclay cible pour l'horizon 2020 sont[19] :



  • parmi les universités :

    • l’université Paris-Sud, dont les composantes deviendront celles de l'Université Paris-Saclay cible (horizon 2020),

    • l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, université membre dans une première phase et dont les composantes fusionneront avec celles de l'Université Paris-Saclay cible (horizon 2025),

    • l’université d'Évry-Val-d'Essonne, université membre dans une première phase et dont les composantes fusionneront avec celles de l'Université Paris-Saclay cible (horizon 2025) ;



  • parmi les écoles membres (conservant leur personnalité morale et juridique - PMJ) :


    • AgroParisTech,


    • CentraleSupélec,

    • l’École normale supérieure de Cachan « Paris-Saclay »,

    • l’Institut d'optique Graduate School,

    • l’Institut des hautes études scientifiques (IHES) - bien que par son activité principale il se rapproche plus d'un organisme de recherche que d'une école stricto sensu ;



  • parmi les organismes nationaux de recherche :

    • le Centre national de la recherche scientifique (CNRS),

    • le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA),

    • l’Institut national de la recherche agronomique (Inra),

    • l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria),

    • l’Office national d'études et de recherches aérospatiales (Onera),

    • l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).




Le projet "NewUni" regroupera quant à lui les écoles :



  • l’École polytechnique (l’X) ;

  • l’École nationale supérieure de techniques avancées (Ensta ParisTech) ;

  • le Groupe des écoles nationales d'économie et statistique (Ensae ParisTech) ;

  • l'institut Mines-Télécom (Telecom ParisTech et Telecom SudParis) ;

  • l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC) serait en alliance avec NewUni, sans en être membre[20],[21].


A noter qu'au 18 décembre 2017, seul l'établissement École des hautes études commerciales de Paris (HEC) ne s'était pas positionné vis-à-vis de ces deux projets. Suite au conseil d'administration du 30 mars 2018, HEC annonce étudier la possibilité d'une alliance avec NewUni[20]. Dans une interview donnée à EducPros, son directeur général précise qu'HEC ne sera membre ni d'Université Paris-Saclay, ni de NewUni, mais bien "en alliance" avec NewUni[21].



Formation |


Hormis les cursus ingénieurs propres à chaque école, les masters sont regroupés en huit « schools » sur le modèle anglo-saxon[22] :



  • biodiversité, agriculture et alimentation, société, environnement ;

  • biologie, médecine, pharmacie ;

  • droit et sciences politiques ;

  • humanités ;

  • ingénierie, sciences et technologies de l'information ;

  • sciences du sport et du mouvement humain ;

  • sciences fondamentales ;

  • sciences sociales.


Ces structures inter-établissement sont chargées de l’organisation de la formation dans un domaine scientifique donné. Chaque étudiant a accès aux différents cours de tous les autres établissements.


Au niveau master et doctorat, les formations des écoles et des universités sont mutualisées. 49 mentions de master sont proposées[23].


Pour le niveau licence la mutualisation est en cours de construction[24].


Pour les doctorats, 20 écoles doctorales existent[25].



Recherche |


L'université Paris-Saclay regroupe plus de 300 laboratoires[26], dont 23 laboratoires d'excellence[27],[28]. La recherche est structurée en dix départements thématiques[29],[26] :



  • chimie ;

  • ingénierie électrique, optique et électronique (EOE) ;

  • mathématiques ;

  • mécanique, énergétique et procédés (MEP) ;

  • physique des deux infinis (P2I) ;

  • physique des ondes et de la matière (PHOM) ;

  • sciences de la planète et de l'univers (SPU) ;

  • sciences de la vie (SDV) ;

  • sciences de l'homme et de la société (SHS) ;

  • sciences et technologies de l'information et de la communication (STIC).



Rôle dans la création du cluster technologique Paris-Saclay |


Article détaillé : Paris-Saclay.

L’université de Paris-Saclay bénéficie du Plan campus ou Opération campus lancée en 2008 par le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle fait partie des quatre dossiers qui ont été retenus[30], sur les vingt dossiers de la deuxième vague qui ont été déposés[31].


Ce projet bénéficie de fonds issus du « Grand emprunt 2010 », et peut être rattaché au Grand Paris dans la mesure où il contribue au développement du cluster technologique Paris-Saclay, dont il constitue l'un des trois piliers.



Critiques |


Certains critiquent un projet qui favorise trop les grandes écoles, notamment en ce qui concerne la gouvernance du campus[32]. Le Snesup dénonce ainsi « un projet basé sur une vision élitiste de l'enseignement supérieur » ainsi que l'exclusion de nombreux établissements du conseil d'administration[33]. Les deux universités et le CNRS, très largement dominants en nombre de chercheurs et d'étudiants, auront le même poids politique que les grandes écoles, de taille bien plus modeste[34]. La gestion du projet initié par le « plan campus » est aussi critiquée par les élus locaux qui reprochent à l’État de diriger le projet seul[35], ou par d'autres acteurs du projet qui reprochent à l'État d'exercer un trop grand dirigisme[36].


L’organisation visée, sous forme de cluster, est aussi critiquée par certains acteurs qui doutent de son efficacité[37]. Certains craignent également que son développement ne se fasse au détriment d’autres aires géographiques, comme dans le cas de l'université Paris-Sud 11 et de l'École normale supérieure Paris-Saclay, qui quittent des villes situées en région parisienne[38], ou dans le cas de grandes écoles qui quittent Paris[39]. Est aussi critiqué le format même de l'université, certains restant dubitatifs quant à l'objectif de collaboration et de synergies affiché[40].


L'association Sauvons la recherche, créée en 2003 en opposition à la loi d'orientation et de programmation pour la recherche et l'innovation, a lancé une pétition fin 2012 pour dénoncer certaines orientations du projet, et notamment le fait que le conseil d’administration de la future université ne devrait comporter que deux représentants des personnels chercheurs[41]. Certaines critiques émanent également des acteurs institutionnels eux-mêmes. L'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines s'est ainsi inquiétée de sa perte d'influence dans la future Université Paris-Saclay[42]. En outre, le rapprochement souhaité des laboratoires de recherche et des universités avec les entreprises ne serait pas à l’œuvre[42].


Les infrastructures promises, notamment de transport, pourraient tarder à venir. En particulier la livraison tardive de la ligne 18 du métro de Paris, prévue en 2024, pourrait devenir un obstacle important à la réussite du projet[40],[43].


La Cour des comptes constate le 8 février 2017 que malgré cinq milliards d'euros dépensés, le projet est au point mort[44] et appelle les responsables politiques à sortir de l'impasse. Elle pointe le manque de logements et de moyens de transport, ainsi que le manque de vision stratégique du projet[45].



Notes et références |




  1. a b et cDécret no 2014-1674 du 29 décembre 2014.


  2. Laurent Carroué, « Paris-Saclay, une Silicon Valley à la française ? », sur Géoconfluences, 14 mars 2017(consulté le 6 janvier 2018).


  3. « Université Paris-Saclay : un modèle original d’université », sur Université Paris-Saclay.


  4. « L'Opération Campus : un plan exceptionnel en faveur de l'immobilier universitaire », sur www.enseignementsup-recherche.gouv.fr, 2 février 2008, mis à jour 24 octobre 2012


  5. Décret du 25 janvier 2011.


  6. Catherine Gaudenz, « L'école high tech du ministère de la Défense rejoindra Saclay en 2010 », sur La Tribune, 19 juin 2009(consulté le 1er août 2014)


  7. « Sarkozy annonce l'arrivée d'écoles de prestige sur le campus Paris-Saclay », sur Le Point, 24 septembre 2010(consulté le 1er août 2014)


  8. Fabienne Guimont, « Saclay : Christian Blanc avance son cluster », sur educpros.fr, 14 novembre 2008(consulté le 1er août 2014)


  9. Sophie Blitman, « Les mines de Paris jugent incompatible l’Idex de Saclay avec le projet ParisTech », sur www.letudiant.fr/educpros, 10 novembre 2011


  10. Céline Authemayou, « Dominique Vernay (Paris-Saclay) : “Les établissements vont signer un pacte irréversible” », sur www.letudiant.fr/educpros, 8 janvier 2014(consulté le 1er août 2014)


  11. Université Paris-Saclay officiellement créée


  12. Céline Authemayou, « Idex : PSL, Sorbonne Université et Paris-Saclay à l'épreuve de l'intégration », sur letudiant.fr/educpros, 3 mai 2015.


  13. Camille Stromboni, « Université Paris-Saclay au point mort », sur lemonde.fr, 28 avril 2017.


  14. Camille Stromboni, « Paris-Saclay : Macron acte le divorce entre Polytechnique et les universités », sur lemonde.fr, 28 octobre 2017.


  15. « Emmanuel Macron annonce la création de deux pôles universitaires à Saclay », sur polytechnique.edu, 25 octobre 2017.


  16. [1]


  17. Gouvernance et organisation


  18. Décret no 2017-598 du 21 avril 2017 portant association d'établissements du site Paris-Saclay


  19. « Rapport IDEX Université Paris-Saclay 2020 | Université Paris Saclay », sur universite-paris-saclay.fr (consulté le 28 décembre 2017).


  20. a et bHEC, « Projet d'Alliance HEC Paris - New-Uni », hec.fr (consulté le 5 avril 2018).


  21. a et b« Peter Todd : 'En nous alliant à NewUni, nous pourrons développer des liens plus intimement' », sur letudiant.fr (consulté le 5 avril 2018).


  22. [2]


  23. Les masters


  24. [3]


  25. [4]


  26. a et bLes laboratoires


  27. Les laboratoires d'excellence


  28. Les instituts


  29. La recherche


  30. Communiqué de presse du 11 juillet 2008


  31. Communiqué de presse du 27 juin 2008


  32. Sylvestre Huet, « Campus de Saclay : l'université Paris-Sud se rebiffe », sur sciences.blogs.liberation.fr, 24 novembre 2010(consulté le 11 juillet 2014).


  33. Site du Snesup


  34. Sylvestre Huet, « Campus Paris-Saclay : quelle université ? », sur liberation.fr, 31 janvier 2012(consulté le 19 septembre 2014).


  35. Sibylle Vincendon, « Saclay : un projet critiqué », sur liberation.fr, 28 avril 2009(consulté le 11 août 2014).


  36. Thomas Lamarche et Olivier Réchauchère, « Plateau de Saclay : un territoire d'exception mérite un projet d'exception », sur lemonde.fr, 12 avril 2010(consulté le 11 août 2014).


  37. Thomas Lamarche, « Une dynamique qui violente tous les acteurs », sur lhumanite.fr, 3 avril 2010(consulté le 11 août 2014).


  38. Flore Mabilleau, « Cécile Duflot se prononce contre la « Silicon Valley » », sur leparisien.fr, 10 février 2010(consulté le 11 août 2014).


  39. Yann Guernigou, « Nicolas Sarkozy confirme le transfert de grandes écoles à Saclay », sur lepoint.fr, 24 septembre 2010(consulté le 11 août 2014).


  40. a et b« Vives critiques autour de la future université Paris-Saclay », sur etudiant.lefigaro.fr, Le Figaro Étudiant (consulté le 26 octobre 2015).


  41. « Une pétition contre le projet Paris-Saclay », sur leparisien.fr, 2 octobre 2012(consulté le 19 septembre 2014)


  42. a et bCaroline Beyer, « Université : le projet Paris-Saclay s'enlise », sur lefigaro.fr, 12 septembre 2012(consulté le 19 septembre 2014).


  43. « Les zones d’ombre du plateau de Saclay », sur leparisien.fr (consulté le 26 octobre 2015).


  44. Camille Stromboni, « La Cour des comptes appelle à sortir de l’impasse à Saclay », sur lemonde.fr, 8 février 2017(consulté le 8 février 2017).


  45. Jean-Yves Guerin, « Paris-Saclay, une bonne idée à la base mais qui, faute de stratégie, a du plomb dans l'aile », sur lefigaro.fr, 8 février 2017(consulté le 8 février 2017).



Textes réglementaires |




  • « Décret du 25 janvier 2011 portant approbation des statuts d'une fondation de coopération scientifique », sur Légifrance.


  • « Décret no 2014-1674 du 29 décembre 2014 portant création de la communauté d'universités et établissements « Université Paris-Saclay » et approbation de ses statuts et portant dissolution de l'établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel « UniverSud Paris » », sur Légifrance.




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