Mirepoix (Ariège)
Pour les articles homonymes, voir Mirepoix.
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Vue de Mirepoix du clocher de la cathédrale | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Pamiers | ||||
Canton | Mirepoix (bureau centralisateur) | ||||
Intercommunalité | Pays de Mirepoix (siège) | ||||
Maire Mandat | Nicole Quillien 2014-2020 | ||||
Code postal | 09500 | ||||
Code commune | 09194 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mirapiciens / Mirapiciennes | ||||
Population municipale | 3 162 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 67 hab./km2 | ||||
Population aire urbaine | 54 409 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 05′ 23″ nord, 1° 52′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 276 m Max. 462 m | ||||
Superficie | 47,28 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Ariège
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Liens | |||||
Site web | mairie-mirepoix.fr/ | ||||
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Mirepoix (Mirapeis en occitan languedocien) est une commune française située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Mirapiciens[1].
Sommaire
1 Géographie
1.1 Communes limitrophes
1.2 Hydrographie
1.3 Géologie et relief
1.4 Voies de communication et transports
2 Histoire
3 Toponymie
3.1 Héraldique
4 Politique et administration
4.1 Administration municipale
4.2 Rattachements administratifs et électoraux
4.3 Tendances politiques et résultats
4.4 Liste des maires
4.5 Jumelages
5 Population et société
5.1 Démographie
5.2 Économie
5.3 Enseignement
5.4 Culture et événements
5.5 Sport et équipements sportifs
5.6 Écologie et recyclage
6 Culture locale et patrimoine
6.1 Lieux et monuments
6.2 Personnalités liées à la commune
7 Pour approfondir
7.1 Bibliographie
7.2 Articles connexes
7.3 Liens externes
8 Notes et références
8.1 Notes
8.2 Références
Géographie |
Mirepoix, commune traversée par le cours de l'Hers-Vif et limitrophe du département de l'Aude, est située entre piémont pyrénéen et Lauragais, sur la route reliant Pamiers à Carcassonne. Le GR7 y passe.
Communes limitrophes |
Mirepoix est limitrophe de treize autres communes dont quatre dans le département de l'Aude.
Hydrographie |
Lacommune est arrosée par l'Hers-Vif un affluent de l'Ariège.
Géologie et relief |
La superficie de la commune est de 4 728 hectares ; son altitude varie de 276 à 462 mètres[3].
Voies de communication et transports |
Accès par les anciennes routes nationales N 119, N 625, N 626.
Histoire |
Dépendante du comté de Foix, la ville fut gagnée par le catharisme à la fin du XIIe siècle. Un concile en 1206 y rassembla 600 cathares. La ville fut prise en 1209 par Simon de Montfort qu'il donna à un de ses lieutenants Guy de Lévis, d'où la famille de Lévis-Mirepoix.
La ville, initialement établie près du lit de l'Hers, sur sa rive droite, est inondée par une violente crue qui emporte la majeure partie de la population faisant plus de mille morts[4] (suite à la rupture du verrou du lac de Puivert) en 1289, et non 1279, comme l'erreur ancienne d'un copiste l'a longtemps fait croire.
Totalement détruite, elle est rebâtie immédiatement sur l'autre rive de la rivière, mais cette fois sur une terrasse naturelle surélevée, cédée par le seigneur de Mirepoix.
Mirepoix n'est donc pas à proprement parler une bastide (ville nouvelle de repeuplement), mais une ville ancienne reconstruite sur les plans urbanistiques en vigueur à cette époque et qui sont typiques des bastides.
Mirepoix fut un évêché jusqu'en 1801.
Toponymie |
Les avis sur l'étymologie du nom Mirepoix sont partagés : la plupart des références (toponymistes comme Dauzat et Rostaing[5], Bénédicte Boyrie-Fénié et Jean-Jacques Fénié[6], guides touristiques, etc.) mentionnent une origine basée sur l'occitan Mira Peis, c’est-à-dire « qui regarde les poissons », ce qui ferait référence au fait que la ville est bâtie à proximité d'un gué sur l'Hers, aux eaux supposées suffisamment claires et limpides en cet endroit pour pouvoir y admirer les poissons.
Cette explication est toutefois réfutée par les érudits qui se sont penchés sur la question[7].
Selon ces travaux, l'origine du nom vient du bas latin « Mirum Podium » qui signifie : « qui regarde la montagne ». En effet, la ville de Mirepoix fait directement face aux cimes du massif de Tabe qui se dressent en une toile de fond impressionnante (voir gravure ci-contre). L'évolution normale de ce toponyme en occitan devient alors Mira Puèg. Une étymologie erronée, déjà ancienne, aurait alors transformé ce nom en Mira Peis, phonétiquement voisin.
Héraldique |
.
Le blason de la ville, établi tardivement (au début du XIXe siècle), - « D'azur, à un poisson (truite) d'argent, posé en fasce, et un chef cousu de gueules, chargé de trois étoiles d'or », - serait fondé sur cette étymologie douteuse[8].
L'armorial « De gueules, à un poisson d'or, posé en fasce, et un chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or », date quant à lui de 1697.
Politique et administration |
Administration municipale |
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[9],[10].
Rattachements administratifs et électoraux |
Commune faisant partie de l'arrondissement de Pamiers de la communauté de communes du Pays de Mirepoix et du canton de Mirepoix.
Tendances politiques et résultats |
Liste des maires |
Jumelages |
Palafrugell (Espagne)
Population et société |
Démographie |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].
En 2015, la commune comptait 3 162 habitants[Note 1], en augmentation de 0,8 % par rapport à 2010 (Ariège : +0,3 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
selon la population municipale des années : | 1968[16] | 1975[16] | 1982[16] | 1990[16] | 1999[16] | 2006[17] | 2009[18] | 2013[19] |
Rang de la commune dans le département | 7 | 8 | 7 | 8 | 7 | 8 | 8 | 9 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Économie |
Enseignement |
- École maternelle et primaire Jean Jaurès[20]
- École privée Saint-Maurice
- Collège et Lycée polyvalent régional regroupés au sein de la cité scolaire de Mirepoix[21]. Le lycée, le seul du département de l’Ariège à vocation technologique, n’a jamais cessé d’affirmer sa vocation de pôle technologique depuis son installation en 1968 dans les locaux actuels[22].
Culture et événements |
- Espace culturel André Malraux.
- Premier dimanche de juillet : Salon du livre d'histoire locale de Mirepoix.
3e weekend de juillet (depuis 1979[23]) : Fêtes Historiques de Mirepoix. Durant 4 jours des animations et spectacles sont proposés de jour et en soirée. Un grand défilé, multi-époques est présenté le dimanche après midi.- Premier weekend d'août (depuis 1988) : Festival MiMa[24], festival des arts de la marionnette. Durant 4 jours, la ville est décorée par un scénographe et de très nombreux spectacles (régionaux, nationaux et internationaux) sont joués dans différents lieux de la bastide.
- Mirepoix Musique est une association dont le but est de promouvoir la musique classique à Mirepoix et alentour[25].
- Saison de concerts (de mai à octobre) en la cathédrale par les amis de l'orgue
- Début de la rentrée scolaire, exposition scientifique organisée par l'association Vive la science
Médiathèque intercommunale.
Sport et équipements sportifs |
Le sentier de grande randonnée 7 (sentier européen E4) venant de Mazamet et allant vers Andorre-la-Vielle considère Mirepoix comme une ville étape.
Tennis, pétanque, dojo, lieu de passage de la 12e étape du Tour de France 2006, piscine Intercommunale...
Écologie et recyclage |
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix[26],[27].
Une déchetterie intercommunale existe depuis janvier 2002 sur la commune[28].
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
- Ancienne Cathédrale Saint-Maurice
Palais épiscopal[29],[30] Le palais épiscopal, pour la partie située dans le prolongement de la nef de la cathédrale, date du XVe siècle. Il fut bâti, également, par Philippe de Lévis. Il abrite de nos jours le Musée Patrimoine et traditions. Le bâtiment perpendiculaire fut construit au XVIIIe siècle à la demande de l'évêque Jean Boyer.
- Maison des Consuls
Elle date du XVe siècle : Le 5 janvier 1274, Guy III de Lévis donne aux habitants de la cité le droit d'élire des consuls. Après la crue dévastatrice de l'Hers en juin 1289, il leur fait concession, quelques jours plus tard, de cent sétérées de terre sur la rive gauche de la rivière pour y bâtir la ville nouvelle. En l'année 1500, les consuls se voient octroyer le droit de bâtir leur maison sur le solier de la maison de Justice. Le 14 août 1655, ils achètent une maison pour en faire l'Hôtel de Ville. Elle faisait office de tribunal, de salle de conseil et de prison. La poutre de façade, ou poitrail, est un cœur de chêne d'un seul tenant de près de 12 mètres de long et de plus de 60 cm d'épaisseur. 104 sculptures ornent les extrémités des sommiers (poutres perpendiculaires à la façade) et les piliers de soutènement.
- La Porte d'Aval
Elle date de 1372. La tour se trouvant à proximité, aujourd'hui propriété privée, est celle de Charles de Montfaucon, seigneur de Rogles (XVIe siècle). Elle servait de poste de guet.
- Les couverts et maisons à colombages
À l'ouest du Grand Couvert, un écusson porte la date de 1573. Une carte de l'Ariège, œuvre des frères Poulain, est peinte au plafond du Couvert (côté Est de la place).
- Maisons d'illustres personnages
On notera la maison du Maréchal Bertrand Clauzel et celle de l'astronome Jean-Joseph Vidal, né et mort à Mirepoix (30 mars 1747 - 2 janvier 1819), qui avait installé un observatoire dans sa maison natale pour ses études sur la planète Mercure, en particulier, et qui a laissé des mémoires scientifiques qui font encore autorité. De même, les Hôtels de Montfaucon, des Lévis sont à signaler.
- L'église Notre-Dame-et-Saint-Michel
Située dans le cimetière, elle présente quatre tableaux dont trois retracent la fondation et l'œuvre des Trinitaires, et un retable du XVIIe siècle. On peut voir dans le cimetière le mausolée du maréchal Clauzel ainsi que les tombeaux du colonel Petitpied, du gouverneur Émile Pinet-Laprade, et du couple d'écrivains Raymond et Marie-Louise Escholier.
- Le pont
D'une longueur de 206 mètres et comportant sept arches, il est l'œuvre de l'architecte Jean-Rodolphe Perronet (1708-1794), qui fonda avec Daniel-Charles Trudaine l'École nationale des ponts et chaussées, et dont les ouvrages les plus connus sont le pont de la Concorde à Paris (1787-1791) et le pont de Nantes. Sa construction est initiée en 1776. Le chêne vert, proche du pont, est un vénérable arbre de 800 ans.
- La Fontaine des Cordeliers
Dans la périphérie, la fontaine des Cordeliers date du XVIIe siècle. C'est en 1272 que les franciscains « Cordeliers » s'étaient installés à Mirepoix, à la demande de Guy Ier de Lévis (1216).
- Le château de Terride
L'ancien château de Mirepoix, dont la première mention remonte à 960, avait été pris en même temps que la cité, le 22 septembre 1209, jour de la Saint-Maurice, par les croisés de Simon de Montfort. Celui-ci l'avait donné à Guy de Lévis (c'est le 1er décembre 1212 que ce dernier reçoit un domaine d'environ 200 km2, dont Mirepoix est le siège). Le château ne prit le nom de « Terride » qu'au XVIe siècle, en vertu d'une convention conclue entre Jean de Lévis et Catherine-Ursule de Lomagne, qui lui apporta en dot la baronnie de Terride en Gimois (Lot-et-Garonne, commune de La Bourgade, où se trouve le château de Terride).
Personnalités liées à la commune |
Pierre-Roger IX de Mirepoix seigneur de Mirepoix vers 1190 à vers 1210, fils de Pierre-Roger VIII de Mirepoix. Il est dépossédé de ses terres lors du traité de Paris au profit du maréchal Guy de Lévis en 1229.
Guy Ier de Lévis seigneur de Mirepoix vers 1229, fils de Philippe de Lévis. Il est le fondateur de la maison de Lévis-Mirepoix. Il est père de Guy II de Lévis.- Pierre Poisson ou Peysson, architecte originaire de la ville, il fut appelé en Avignon par Benoît XII pour y édifier une partie du Palais des Papes[31]
Jacques Fournier (c.1280-1342), évêque de Mirepoix, inquisiteur. Il a été élu pape sous le nom de Benoît XII en 1342. Il était le troisième Pape d'Avignon.
Pierre-Paul Riquet (1609-1680), qui conçut et réalisa presque entièrement le Canal du Midi, vécut à Mirepoix de 1634 à 1646 en tant qu'officier de la chambre à sel. Marié à Catherine de Milhau, il fit baptiser à Mirepoix ses quatre premiers enfants avant d'aller s'installer à Revel.
Marie le Pech de Calage (1631-1661), poétesse, née à Mirepoix. Plusieurs fois couronnée par l'Académie des Jeux Floraux.- Jacques (ou Jean-Joseph) Vidal (1747-1819), astronome qui a notamment étudié la planète Mercure[32].
- Jean-Baptiste Mercadier de Belesta (1750-1818), ingénieur de la province du Languedoc[33]. Il supervisa les travaux du pont dont la conception revient à Jean-Rodolphe Perronet.
Bertrand Clauzel (1772-1842), général d'Empire, recevra son bâton de maréchal de France sous Louis-Philippe Ier en 1831.
Frédéric Soulié (1800-1847), romancier, auteur dramatique, critique et journaliste français.
Émile Pinet-Laprade (1822-1869), ancien gouverneur français du Sénégal, est né à Mirepoix. Il y est enterré.
Jean-François Vidalat (1758-1801), député au Conseil des Cinq-Cents, né à Mirepoix- Le duc Antoine de Lévis-Mirepoix, académicien, historien et écrivain (1884-1981). Il fut maire de la cité par délégation spéciale durant la Seconde Guerre mondiale.
Raymond Escholier (1882-1971), romancier, journaliste, critique d'art. Auteur, en collaboration avec son épouse, de Cantegril.
Marcel Pagnol (1895-1974), romancier, dramaturge et cinéaste, était professeur à l'École Supérieure devenue aujourd'hui Résidence des Trinitaires.
Pierre Daboval (1918-2015), peintre et dessinateur, retiré à Mirepoix à partir de 1998.
Terence Macartney-Filgate (en) (1924-), réalisateur britannique-canadien qui habite à Mirepoix. Il a réalisé et écrit une centaine de films dans une carrière de plus de 50 ans.
Claude Labatut né le 27 mars 1942 à Mirepoix. Finaliste du championnat de France de rugby en 1969 avec le Stade Toulousain. A joué à Toulouse et Mauvezin. Troisième ligne aile (1,76 m, 84 kg).
Pierre Salettes né le 24 novembre 1950 à Mirepoix. Vainqueur du championnat de France de rugby à XV en 1979 avec Narbonne et finaliste en 1974. A joué à Quillan et Narbonne. Talonneur (1,80 m, 90 kg).
Pour approfondir |
Bibliographie |
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- Gratien Leblanc - La "bastide" de Mirepoix - pp. 344–366, dans Congrès archéologique de France. 131e session. Pays de l'Aude. 1973 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1973
Articles connexes |
- Mirepoix (cuisine)
- Liste des communes de l'Ariège
Histoire
- Généralité de Toulouse
- Parlement de Toulouse
- Languedoc
- États de Languedoc
- Pays d'états
- Liste des évêques de Mirepoix
Liens externes |
Notices d'autorité : Fichier d’autorité international virtuel
- Site officiel
- Site de l'Office de tourisme du Pays de Mirepoix
- Mirepoix sur le site de l'Institut géographique national
- Cathédrale Saint-Maurice
- Halle
Notes et références |
Notes |
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.
Références |
Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
Carte IGN sous Géoportail
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Publié par Jean-Jacques Billeau, « * 16 juin 1289, destruction de la ville de Mirepoix. »
Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, p. 458, réédition Librairie Guénégaud, 1984
Bénédicte Boyrie-Fénié, Jean-Jacques Fénié, Toponymie des Pays Occitans, p. 301, édition Sud-Ouest, 2007
F. Pasquier, Mirepoix et ses environs, Éditions Comité du tourisme, ca 1900 ; réédition en 2002 par les Éditions Lacour-Ollé
F. Taillefer, in Bulletin annuel de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, 1998
art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014/(path)/MN2014/031/031303.html.
Labrousse, Bruno, Les Politiques Ariégeois
L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, 15 octobre 2015(consulté le 10 janvier 2016)
INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2009(consulté le 8 janvier 2016)
INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2012(consulté le 8 janvier 2016)
INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2016(consulté le 8 janvier 2016)
« école primaire Jaurès de Mirepoix », sur académie de Toulouse
« cité scolaire de Mirepoix », sur académie de Toulouse
« Lycée de Mirepoix »
« Fêtes médiévales de Mirepoix », sur association MAMET
« festival Mima, arts de la marionnette »
http://www.mirepoixmusique.com/index_fr.html
http://mairie-mirepoix.fr/dechetterie/
http://www.paysdemirepoix.org/dechets_collecte.php
http://www.paysdemirepoix.org/dechets_dechetterie.php
Bruno Tollon - Le palais épiscopal de Mirepoix - pp.381-391, dans Congrès archéologique de France. 131e session. Pays de l'Aude. 1973 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1973
Base Mérimée : Palais épiscopal
Dominique Vingtain, Avignon, Le Palais des Papes, Éditions Zodiaque, 1998, page 93, « Les débuts du chantier et le rôle de Pierre Poisson »
« Mirepoix. Tout sur l'astronome », sur La dépêche du midi, 2 mai 2010
« Jean-Baptiste Mercadier de Belesta », sur BNF
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