Maurice Maeterlinck





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Maurice Maeterlinck



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Maeterlinck vers l'âge de 40 ans.






















Naissance
29 août 1862
Gand, Flandre-Orientale,
Drapeau de la Belgique Belgique
Décès
6 mai 1949(à 86 ans)
Nice, Alpes-Maritimes,
Drapeau de la France France
Activité principale

Poète, dramaturge, essayiste

Distinctions

Prix Nobel de littérature (1911)














Auteur
Langue d’écriture
Français

Mouvement

Symbolisme

Œuvres principales





  • Pelléas et Mélisande (1892, mélodrame)


  • L’Oiseau bleu (1908, pièce de théâtre)


  • La Vie des abeilles (1901, essai)





Maurice Polydore Marie Bernard Maeterlinck, dit Maurice Maeterlinck (/ma.tɛʁ.lɛ̃ːk/ en Belgique ; /mɛ.teʁ.lɛ̃ːk/ en France[1]), né le 29 août 1862 à Gand (Belgique) et mort le 6 mai 1949 à Nice (France), est un écrivain francophone belge, prix Nobel de littérature en 1911.


Figure de proue du symbolisme belge, il reste aujourd'hui célèbre pour son mélodrame Pelléas et Mélisande (1892), sommet du théâtre symboliste mis en musique par Debussy en 1902, pour sa pièce pour enfants L’Oiseau bleu (1908), et pour son essai inspiré par la biologie La Vie des abeilles (1901), œuvre au centre du cycle d'essais La Vie de la nature, composé également de L'Intelligence des fleurs (1910), La Vie des termites (1926), La Vie de l’espace (1928) et La Vie des fourmis (1930).


Il est aussi l'auteur de treize essais mystiques inspirés par Ruysbroeck l'Admirable et réunis dans Le Trésor des humbles (1896), de poèmes recueillis dans Serres chaudes (1889), ou encore de Trois petits drames pour marionnettes (1894, trilogie formée par Alladine et Palomides, Intérieur, et La Mort de Tintagiles).


Son oeuvre fait preuve d'un éclectisme littéraire et artistique (importance de la musique dans son œuvre théâtrale) propre à l'idéal symboliste.




Sommaire






  • 1 Biographie


  • 2 Œuvre


    • 2.1 Poésie


    • 2.2 Théâtre


    • 2.3 Essais


    • 2.4 Traductions




  • 3 Maeterlinck et la musique


  • 4 Succès mondial


  • 5 Citations


  • 6 Œuvre


  • 7 Travaux critiques


  • 8 Notes et références


  • 9 Articles connexes


  • 10 Liens externes





Biographie |




Maeterlinck avant 1905


Né à Gand, Maurice Maeterlinck est l'aîné d'une famille de trois enfants, flamande, bourgeoise, catholique, conservatrice et francophone. Après des études au collège Sainte-Barbe (Sint-Barbara) de Gand, il suit des études en droit avant de pratiquer le métier d'avocat durant une courte période. Maeterlinck publie, dès 1885, des poèmes d’inspiration parnassienne dans La Jeune Belgique. Il part pour Paris où il rencontre plusieurs écrivains qui vont l'influencer, dont Stéphane Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam. Ce dernier lui fait découvrir les richesses de l'idéalisme allemand (Hegel, Schopenhauer). À la même époque, Maeterlinck découvre Ruysbroeck l'Admirable, un mystique flamand du XIVe siècle dont il traduit les écrits (Ornement des noces spirituelles). C'est ainsi qu'il se tourne vers les richesses intuitives du monde germanique en s'éloignant du rationalisme français. Dans cet esprit, il se consacre à Novalis et entre en contact avec le romantisme d'Iéna (Allemagne, 1787-1831, autour d'August et Friedrich Schlegel et de la revue l'Athenäum), précurseur en droite ligne du symbolisme. Les œuvres que publie Maeterlinck entre 1889 et 1896 sont imprégnées de cette influence germanique.


C'est en août 1890 qu'il devient célèbre, du jour au lendemain, grâce à un retentissant article d'Octave Mirbeau sur La Princesse Maleine dans Le Figaro[2].


En 1895, il rencontre la cantatrice Georgette Leblanc, sœur de Maurice Leblanc, avec laquelle il tient, vers 1897, un salon parisien fort couru dans la villa Dupont : on y croise, entre autres, Oscar Wilde, Paul Fort, Stéphane Mallarmé, Camille Saint-Saëns, Anatole France, Auguste Rodin. En 1902, il écrit Monna Vanna, où joue Georgette Leblanc. Il vit avec elle jusqu'en 1918, avant d'épouser, l'année suivante, la jeune actrice Renée Dahon, rencontrée en 1911.


Maurice Maeterlinck conçoit lui-même son propre palais, Orlamonde, une somptueuse résidence bâtie au cap de Nice dans laquelle il vit avec son épouse[3].


En 1921, il signe un manifeste contre la flamandisation de l’université de Gand, où les cours se donnaient en français et en néerlandais.


En 1939, il gagne les États-Unis pour la durée de la Seconde Guerre mondiale. De retour à Nice en 1947, il publie un an plus tard Bulles bleues où il évoque les souvenirs de son enfance. Maeterlinck meurt le 5 mai 1949, à 23 heures, à son domicile, villa Orlamonde, sis 200 boulevard Carnot[4].



Œuvre |



Poésie |


Son recueil poétique Serres chaudes paraît en 1889 chez Léon Vanier, l’éditeur de Paul Verlaine. Ces vers s’inscrivent dans la ligne de la « dépersonnalisation de l'écriture » et réalisent en partie l’idéal mallarméen : la suggestion, comme essence de « tous bouquets », devient le principe générateur de l’acte de création « pure ». Par la répétition du mot, Maeterlinck atteint une vibration spirituelle, « une résonance intérieure ».




Portrait de Maurice Maeterlinck
par Félix Vallotton
paru dans Le Livre des masques
de Remy de Gourmont (1898)



« Ils célèbrent une grande fête chez les ennemis !
Il y a des cerfs dans une ville assiégée !
Et une ménagerie au milieu des lys ! »



— Hôpital


Le vers est dérythmé, libéré des conventions. Guillaume Apollinaire s’en souviendra. Maeterlinck refuse naturalisme et parnasse pour s’engager sur la voie de la poésie allégorique où l’image rappelle l’iconographie médiévale, la peinture de Pieter Brueghel l'Ancien ou de Jérôme Bosch.



Théâtre |


Maeterlinck fait aussi partie des grands dramaturges (Henrik Ibsen, Anton Tchekhov, August Strindberg et Gerhart Hauptmann) qui, vers 1880, ont contribué à transformer la conception du drame. De 1889 à 1894, il publie huit pièces où il crée un théâtre de l'âme, comme le rêvait le symbolisme. Dans cette forme neuve, trois concepts sont à retenir : le drame statique (personnages immobiles, passifs et réceptifs à l'inconnu) ; le personnage sublime (assimilé souvent à la mort, il est la Destinée ou la Fatalité, quelque chose de plus cruel peut-être que la mort) ; le tragique quotidien (pas d’héroïsme, le simple fait de vivre est tragique). L’action, par le jeu stylisé des acteurs, doit suggérer les attitudes de l’âme face au destin, l’éveil lent à la fatalité.


Sa pièce de théâtre, Pelléas et Mélisande, 1892, est un des sommets du symbolisme.


L’Oiseau bleu (1908), créée au Théâtre d'art de Moscou où elle est toujours au répertoire, a assuré à Maeterlinck une renommée internationale[5]. À Paris, la pièce est reprise en 1911 dans une mise en scène de Réjane. Elle est aujourd'hui traduite dans plus de 25 langues. Elle a connu plusieurs adaptations et de nombreuses variantes aux États-Unis, en Angleterre, en Russie et Japon où elle est inscrite dans la mémoire collective et populaire[6]. Elle fait l'objet en 2012 d'une nouvelle adaptation française par le Collectif Quatre Ailes[7], jouée au Festival d'Avignon Off[8].



Essais |


À ce théâtre succède une œuvre d'essayiste qui connut le succès auprès du grand public. Maeterlinck part alors à la découverte philosophique du monde végétal (L'Intelligence des fleurs, 1907) et des insectes sociaux (La Vie des abeilles en 1901 (1er mai[9]), La Vie des termites en 1927, La Vie des fourmis en 1930).


Eugène Marais a accusé Maurice Maeterlinck d'avoir plagié son livre Die Siel van die Mier (L'Âme des termites, 1925) pour La Vie des termites. Plus précisément, l'écrivain et scientifique boer lui a reproché l'emprunt du concept d'unité organique de la termitière, ainsi que du terme « nasicorne » (un néologisme qu'il avait formé). Soutenu par un groupe d'influence boer, Marais a poursuivi Maeterlinck devant les tribunaux. Sa renonciation en cours de procédure serait due à une absence de fonds et à son addiction à la morphine. Si certains parlent aujourd'hui « d'exemple classique de plagiat académique » (David Bignell, sans argumentation, dans le cadre d'une étude biologique sur les termites[10]), d'autres n'évoquent qu'une « minuscule injustice » (David Van Reybrouck, dans Le Fléau, roman-enquête consacré en partie à la question, pourtant sévère à l'égard de Maeterlinck[11]). Il semble certain, en toute hypothèse, que Maeterlinck, dramaturge et poète, n'a pas indiqué ses sources avec la précision requise, se contentant d'y renvoyer en fin d'ouvrage, comme une simple bibliographie. Quant à Marais, ce scandale lui a permis d'atteindre une certaine renommée internationale (traduction de son livre en anglais).


Maeterlinck a également écrit des œuvres de métaphysique méconnues aujourd'hui. Ces dernières ne sont plus rééditées et s'intitulent : Le Temple enseveli (1902), L'Hôte inconnu (1917) et Le Grand Secret (1921).



Traductions |




  • Le Livre des XII béguines et L'Ornement des noces spirituelles de Ruysbroeck, traduit du flamand (1885).


  • L'Ornement des noces spirituelles de Ruysbroeck l'admirable (1891).


  • Annabella, adaptation en français d'une pièce du dramaturge John Ford (en) (Tis Pity She's a Whore), représentée en 1894.


  • Les Disciples à Saïs et Fragments de Novalis, traduit de l'allemand avec une introduction de Maeterlinck sur Novalis et le romantisme allemand (1895).


  • Macbeth de Shakespeare, traduit et adapté de l'anglais, représentée en 1909[12].



Maeterlinck et la musique |



Pelléas et Mélisande a inspiré au moins cinq grands chefs-d’œuvre de la musique du XXe siècle :



  • 1897 : suite pour orchestre par William Wallace

  • 1898 : musique de scène par Gabriel Fauré (op. 80)

  • 1893-1902 : Pelléas et Mélisande, opéra de Claude Debussy (L. 88)

  • 1902-1903 : poème symphonique d'Arnold Schönberg (op. 5)

  • 1905 : Pelléas et Mélisande, musique de scène de Jean Sibelius (op. 46)


D'autres œuvres ont inspiré de nombreux autres compositeurs :




  • Aglavaine et Sélysette

    • Prélude pour orchestre d'Arthur Honegger

    • Musique de scène par Annette Vande Gorne




  • Alladine et Palomides

    • Opéra de Jarmil Burghauser

    • Opéra d'Osvald Chlubna

    • Opéra d'Emil František Burian





  • Ariane et Barbe-Bleue


    • Ariane et Barbe-Bleue, opéra en trois actes de Paul Dukas

    • Musique de scène par Anatoli Nikolaïevitch Alexandrov




  • Les Fiançailles
    • Musique de scène par Armstrong Gibbs



  • Les Aveugles

    • Opéra de Beat Furrer

    • Opéra de Jan Astriab

    • Opéra de Lera Auerbach




  • La Mort de Tintagiles

    • Poème symphonique de Charles Martin Loeffler

    • Musique de scène par Ralph Vaughan Williams

    • Opéra de Lawrance Collingwood


    • Ouverture par Adam Carse

    • Opéra de Jean Nouguès

    • Poème symphonique de Francesco Santoliquido

    • Prélude orchestral d'Alexander Voormolen




  • Herzgewächse

    • Lied pour soprano et petit ensemble (op. 20) d'Arnold Schönberg



  • Monna Vanna

    • Opéra en trois actes d'Emil Ábrányi


    • Monna Vanna, opéra (drame lyrique) en quatre actes d'Henry Février

    • Opéra inachevé de Sergueï Rachmaninov

    • Opéra en quatre actes de Nicolae Brânzeu




  • L'Oiseau bleu

    • Opéra d'Albert Wolff

    • Musique de scène par Leslie Heward

    • Musique de scène par Engelbert Humperdinck


    • Ouverture par Kricka

    • Musique de scène par Norman O'Neill

    • Musique de scène par Tadeusz Szeligowski




  • La Princesse Maleine


    • Ouverture par Pierre de Bréville


    • Ouverture par Cyril Scott

    • Opéra inachevé (ou musique de scène) de Lili Boulanger

    • Musique de scène par Maximilian Steinberg




  • Les Sept Princesses

    • Musique de scène par Pierre de Bréville

    • Opéra de Vassili Vassilievitch Netchaïev




  • Sœur Béatrice

    • Opéra d'Alexandre Gretchaninov

    • Musique pour chœur d'Anatoli Liadov

    • Opéra de Marquez Puig

    • Opéra du chef d'orchestre Dimitri Mitropoulos

    • Opéra d'Alexandre Rasse




  • Intérieur
    • Opéra de Giedrius Kuprevičius



  • Douze Chansons
    • Six sont mis en musique par Alexander von Zemlinsky (op. 13)



  • Serres chaudes
    • Mis en musique par Ernest Chausson (op. 24)




Succès mondial |


En 1908, Constantin Stanislavski crée sa pièce L'Oiseau bleu au Théâtre d'art de Moscou. Elle sera jouée ensuite avec un immense succès dans le monde entier.


Il obtient le prix Nobel de littérature en 1911, puis le Grand Cordon de l'ordre de Léopold le 12 janvier 1920, avant d'être anobli et fait comte par le roi Albert en 1932 [13]. En 1935, lors d'un séjour au Portugal, il préface les discours politiques du président Salazar : Une révolution dans la paix.



Citations |



« Le poète dramatique est obligé de faire descendre dans la vie réelle, dans la vie de tous les jours, l’idée qu'il se fait de l’inconnu. Il faut qu’il nous montre de quelle façon, sous quelle forme, dans quelles conditions, d’après quelles lois, à quelle fin agissent sur notre destinée les puissances supérieures, les influences inintelligibles, les principes infinis, dont, en tant que poète, il est persuadé que l’univers est plein. »



— Maeterlinck



« Maeterlinck a été tenté de donner la vie à des formes, à des états de la pensée pure. Pelléas, Tintagiles, Mélisande sont comme les figures visibles de tels spécieux sentiments. Une philosophie se dégage de ces rencontres à laquelle Maeterlinck essaiera plus tard de donner un verbe, une forme dans la théorie centrale du tragique quotidien. Ici le destin déchaîne ses caprices ; le rythme est raréfié, spirituel, nous sommes à la source même de la tempête, aux cercles immobiles comme la vie. Maeterlinck a introduit le premier dans la littérature la richesse multiple de la subconscience. […] Il est apparu dans la littérature au moment qu’il devait venir. Symboliste il l’était par nature, par définition. Ses poèmes, ses essais, son théâtre, sont comme les états, les figures diverses d’une identique pensée. L’intense sentiment qu’il avait de la signification symbolique des choses, de leurs échanges secrets, de leurs interférences, lui a donné par la suite le goût de les faire revivre en les systématisant. C'est ainsi que Maeterlinck se commente avec les images mêmes qui lui servent d’aliment. »



— Antonin Artaud, dans Préface aux Douze chansons (1923)



« La scène, chez Maeterlinck, ne tient jamais dans le champ d’une lorgnette. Elle reste large, et, avec une étrange fraternité, la tour et l’arbre doivent agir à côté du héros, et chaque accessoire et chaque bruit doivent conserver et accomplir leur signification. Il s’agit pour chaque comédien de donner des contours, de souligner les limites de son personnage, et non ce qu’il contient. Il n’a pas le droit d'attirer l’attention, de s’isoler par son jeu individuel, il doit jouer comme le visage voilé, humble dans la mêlée des personnages et de leurs anxieuses rencontres. »



— Rainer Maria Rilke, Pelléas et Mélisande



Œuvre |


Envoi de Maurice Maeterlinck




  • Serres chaudes (1889)


  • La Princesse Maleine (1889), réédition bibliophilique illustrée par Émile-Henry Tilmans, Société de bibliophilie « Les Cinquante », Bruxelles, 1923


  • L'Intruse (1890)


  • Les Aveugles (1890)


  • Les Sept Princesses (1891) (mentionné par Proust dans À la recherche du temps perdu)


  • Pelléas et Mélisande (1892)


  • Alladine et Palomides (1894)


  • Intérieur (1894)


  • La Mort de Tintagiles (1894)


  • Aglavaine et Sélysette (1896)


  • Le Trésor des humbles (1896)


  • Douze Chansons (1896), illustré par Charles Doudelet


  • La Sagesse et la destinée (1898)


  • Ariane et Barbe-Bleue (1901)


  • Sœur Béatrice (1901)


  • La Vie des abeilles (1901) (réédition : Éditions Abeille et Castor (2009), préface de Létitia Mouze) (ISBN 978-2-917715-04-8)


  • Monna Vanna (1902)


  • Joyzelle (1903)


  • L'Intelligence des fleurs,illustrations de Jules-Marie Canneel (1907)


  • L’Oiseau bleu (1908)


  • La Mort (1913)


  • Marie-Magdeleine (1913


  • L’Hôte inconnu (1917)


  • Le Bourgmestre de Stilmonde (1919)


  • Le Sel de la Vie (1919)


  • Le Miracle de saint Antoine (1920)


  • Le Grand Secret (1921) (brève histoire de l'occultisme)


  • Les Fiançailles (1922)


  • The Cloud That Lifted (1923)


  • La Puissance des morts (1926)


  • La Vie des termites (1926)


  • La Vie de l’espace (1928)


  • En Égypte, notes de voyage, orné de pointes-sèches originales par Étienne Cournault, Paris, Éditions Chronique des lettres françaises, (1928). Ouvrage d'abord paru en anglais sous le titre Ancient Egypt, Londres, George Allen & Unwin LTD, 1925.


  • La Grande Féerie (1929)


  • La Vie des fourmis (1930)


  • L’Araignée de verre (1932)


  • La Grande Loi (1933)


  • Avant le grand silence (1934)


  • La Princesse Isabelle (1935)


  • La Grande Porte (1939)


  • L’Autre Monde ou le cadran stellaire (1942)


  • Jeanne d’Arc (1948)


  • Bulles bleues (1948)




Travaux critiques |


Livres


  • Christian Janssens, Maurice Maeterlinck, un auteur dans le cinéma des années dix et vingt, Bruxelles ; Bern ; Berlin... [et al] : Peter Lang, 2016 (ISBN 978-2-87574-349-7)

  • Gérard Dessons, Maeterlinck, le théâtre du poème, Classiques Garnier, Paris, 2016

  • Paul Gorceix, Maeterlinck, l’arpenteur de l’invisible, Le Cri/A.R.L.L.F., Bruxelles, 2005

  • Gérard Dessons, Maeterlinck, le théâtre du poème, Laurence Teper, Paris, 2005

  • Paul Gorceix, Les affinités allemandes dans l’œuvre de Maurice Maeterlinck, Presses universitaires de France, Paris, 1975


  • Joseph Hanse, Robert Vivier [et al.], Maurice Maeterlinck 1862-1962, La Renaissance du Livre, Bruxelles, 1962


Articles


  • Jean-Paul Chemin, « Notes sur les sources populaires des Chansons de Maeterlinck » dans Textyles, no 1-4, 1997 (rééd.), p. 25-30 [lire en ligne]

  • Michèle Couvreur, « Le Thème mythique de l’ondine dans le théâtre de Maeterlinck » dans Textyles, n° 1-4, 1997 (rééd.), pp.45-50 [lire en ligne]

  • Ana Gonzalez Salvador, « La pièce qui fait défaut - Lecture d’Onirologie de M. Maeterlinck » dans Textyles, n° 10, 1993, pp. 59-71 [lire en ligne]

  • Paul Gorceix, « Maeterlinck symboliste : Le Langage de l’obscur » dans Textyles, n° 1-4, 1997 (rééd.), pp. 13-24 [lire en ligne]

  • Paul Gorceix, « L’Image de la germanité chez un Belge flamand de langue française : Maurice Maeterlinck (1862-1949) » dans Revue de littérature comparée, 2001/3, n° 299, pp. 397-409 [lire en ligne]

  • Christian Lutaud, « Le Motif de la noyade chez Maeterlinck » dans Textyles, n° 1-4, 1997 (rééd.), pp. 51-61 [lire en ligne]

  • Tchystiak, Dmytro. « Gradation du symbolisme phonétique dans Les Sept Princesses de Maurice Maeterlinck ». // Mélanges Francophones, Fascicule XXIII, n° 3 (Actes de la Conférence « Formes textuelles de la communication. De la production à la réception » 27 – 29 mars 2009), Galaţi, Université « Dunărea de Jos », 2009.



Notes et références |




  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, 1994.


  2. Octave Mirbeau, « Maurice Maeterlinck », Figaro, 24 août 1890.


  3. André Bourin et Jean Rousselot, Dictionnaire de la littérature française contemporaine, Librairie Larousse, Paris, 1966.


  4. Alex Pasquier, Maurice Maeterlinck, La Renaissance du Livre, 1963, 295 p., p. 125, note 1, qui cite l'acte de décès (no 1417) extrait des registres des actes de l'État civil déposés aux archives de la mairie de Nice.


  5. [1].


  6. [2].


  7. [3].


  8. [4].


  9. Maurice Maeterlinck, P. Seghers, 1962.


  10. [5].


  11. [6].


  12. [7].


  13. M. Maeterlinck n'a jamais fait enregistrer cette nomination par voie de lettres patentes, ce qui l'a rendue inopérante.



Articles connexes |




  • Palais Maeterlinck à Nice


  • Monna Vanna, drame lyrique d'Henry Février


  • Hommage au théâtre de Maurice Maeterlinck, une huile sur toile de Fernand Allard l'Olivier exposée en la salle de lecture des Archives et Musée de la littérature, une association hébergée à la Bibliothèque royale de Belgique



Liens externes |


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  • Biographie et bibliographie de l'auteur

  • Biographie en ligne de l'auteur en 17 chapitres (Petits Carnets de vie, 1862-1949)


  • Maeterlinck, une mise en scène de Christoph Marthaler d'après Maurice Maeterlinck (2007)

  • Le fonds Maurice Maeterlinck est accessible aux Archives et Musée de la Littérature (AML)


















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