Ouistreham





















































































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Ouistreham
La capitainerie du port de Caen-Ouistreham.

Blason de Ouistreham
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Normandie

Département

Calvados

Arrondissement

Caen

Canton

Ouistreham

Intercommunalité

Communauté urbaine Caen la Mer

Maire
Mandat
Romain Bail
2014-2020

Code postal
14150

Code commune
14488
Démographie

Population
municipale
9 177 hab. (2015 en diminution de 2,17 % par rapport à 2010)
Densité 922 hab./km2
Géographie

Coordonnées

49° 16′ 45″ nord, 0° 15′ 30″ ouest

Altitude
Min. 0 m
Max. 32 m

Superficie
9,95 km2
Localisation


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Liens

Site web

http://ouistreham-rivabella.fr/


Ouistreham (prononcé /wis.tʁe.am/) est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 9 177 habitants[Note 1]. La municipalité communique désormais avec le nom de Ouistreham Riva-Bella.


La plage de débarquement de Sword Beach englobait la commune de Ouistreham.


Cette station balnéaire est au débouché du port de Caen-Ouistreham sur le canal de Caen à la mer.





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Situation


    • 1.2 Lieux-dits et patrimoine naturel


      • 1.2.1 Le Maresquier


      • 1.2.2 Le bois du Caprice


      • 1.2.3 La pointe du Siège




    • 1.3 Voies de communication et transports


      • 1.3.1 Voies routières


      • 1.3.2 Transports urbains


      • 1.3.3 Liaisons maritimes






  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Tendances politiques et résultats


    • 4.2 Liste des maires




  • 5 Population et société


    • 5.1 Évolution démographique


    • 5.2 Pyramide des âges


    • 5.3 Enseignements


      • 5.3.1 Élémentaires et maternelles


      • 5.3.2 Collège






  • 6 Activité et manifestations


    • 6.1 Le sport


    • 6.2 La vie associative


    • 6.3 La vie culturelle


    • 6.4 Jumelages




  • 7 Économie


  • 8 Culture et patrimoine


    • 8.1 Patrimoine architectural


      • 8.1.1 Église Saint-Samson


      • 8.1.2 Grange aux dîmes


      • 8.1.3 Phare


      • 8.1.4 Poste de direction de tir de Riva-Bella




    • 8.2 Labels


    • 8.3 Patrimoine culturel et ludique


      • 8.3.1 Musées


      • 8.3.2 Galerie de peinture


      • 8.3.3 Cinéma


      • 8.3.4 Casino


      • 8.3.5 Ouistreham dans les arts


        • 8.3.5.1 Ouistreham en littérature


        • 8.3.5.2 Ouistreham au cinéma


        • 8.3.5.3 Ouistreham en musique






    • 8.4 Personnalités liées


    • 8.5 Héraldique




  • 9 Bibliographie


  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références




  • 11 Articles connexes


  • 12 Liens externes





Géographie |



Situation |


La commune est au nord de la plaine de Caen, en rive gauche de l'embouchure de l'Orne, à l'extrémité est de la Côte de Nacre, partie centrale du littoral calvadosien de la Manche. Par la route, l'agglomération est à 9,5 km à l'est de Douvres-la-Délivrande, à 14 km au nord-est de Caen et à 19 km à l'ouest de Cabourg[1]. Pour cette dernière, la distance orthodromique n'est que de 10 km[2].


Ouistreham est principalement bordée à l'ouest par Colleville-Montgomery, au sud par Saint-Aubin-d'Arquenay et Bénouville, à l'est par Merville-Franceville-Plage et Sallenelles.






















Communes limitrophes d’Ouistreham[3]

Mer de la Manche,
Colleville-Montgomery

Mer de la Manche

Mer de la Manche

Colleville-Montgomery
Ouistreham[3]
Merville-Franceville-Plage

Saint-Aubin-d'Arquenay

Bénouville, Ranville (sur quelques mètres), Amfreville

Sallenelles



Lieux-dits et patrimoine naturel |



Le Maresquier |




L'ancienne maison de villégiature d'Aristide Briand.


Au lieu-dit le Maresquier, on peut trouver une petite maison en pierre, rénovée, sur la berge ouest du canal de Caen à la mer, c'est l'ancienne résidence de vacances d'Aristide Briand.



Le bois du Caprice |




Le chemin des Pèlerins dans le bois du Caprice.


Situé au sud-ouest de la ville, ce petit bois de plus de 70 hectares est classé en « espace naturel sensible » par le conseil général du Calvados. Réparti sur trois communes (Colleville-Montgomery, Saint-Aubin-d'Arquenay et Ouistreham), il abrite notamment des salamandres et des espèces végétales telle que la rare Torilis des moissons (Torilis arvensis), l'Orchis maculé et l’Ophrys abeille[4]. Le bois est traversé par le chemin des Pèlerins, voie qui était empruntée par les Romains pour rejoindre leur camp à Bernières-sur-Mer[réf. nécessaire].



La pointe du Siège |


À l'est de la ville, la pointe du Siège est un éperon sableux qui dévie le cours de l’Orne à son embouchure dans la baie de Sallenelles. Une tour permet l'observation des oiseaux sédentaires et migrateurs qui nichent dans la baie. Cette diversité de milieux et d’espèces a conduit à une protection de l’espace. La partie est de la pointe du siège est sous protection du conservatoire du littoral.



Voies de communication et transports |



Voies routières |


On accède par la route à Ouistreham en venant de Caen par la route départementale no 514 puis la D 515 en voie rapide.



Transports urbains |


Depuis son incorporation à la communauté urbaine Caen la mer, la commune est desservie par le bus du réseau Twisto :




  • ligne 61 : de Lion-sur-Mer à la gare de Caen en passant par Hermanville-sur-Mer, Ouistreham, Colleville-Montgomery, Saint-Aubin-d'Arquenay, Bénouville, Blainville-sur-Orne et Hérouville-Saint-Clair ; il existe également une ligne 61 Express qui assure une liaison directe entre Caen et les communes de Ouistreham, Colleville-Plage, Hermanville-Plage et Lion-sur-Mer ;


  • ligne Gare Maritime Express : entre la gare de Caen et la gare maritime de Ouistreham ; les horaires de cette ligne a la particularité de s'adapter aux horaires de la marée et donc aux horaires d'arrivée et de départ des ferries de Brittany ferries à destination de l'Angleterre.



Liaisons maritimes |


Ouistreham est reliée à la capitale bas-normande par le canal de Caen à la mer. Le port de Caen-Ouistreham est le port de commerce de Caen. La commune est desservie, depuis 1986, par des ferries trans-Manche vers Portsmouth (Royaume-Uni). Ces ferries sont actuellement exploités par la compagnie Brittany Ferries. Ils prennent environ 1 000 000 passagers par an, et effectuent trois allers-retours quotidiens et un aller-retour le week-end en navire rapide de mars à septembre. La Voie verte de Caen à Ouistreham permet de relier Caen à bicyclette.


Le port de commerce, comme le port de plaisance (650 anneaux), sont gérés par la Chambre de commerce et d'industrie de Caen. On trouve aussi un petit port de pêche devant les écluses du canal.




Toponymie |


Ouistreham est mentionnée dès 1086 sous la forme Oistreham[5].


Elle tirerait son nom d'origine germanique d'un établissement de colons saxons[6], implantés dans la région en tant que mercenaires (autour des IVe et Ve siècles). Cependant, il n'existe aucune attestation de ce toponyme antérieurement au XIe siècle. En outre, on rencontre dans la toponymie normande de nombreux éléments anglo-saxons, langue proche du vieux saxon, qui sont à mettre en relation avec l'installation de colons venus d'Angleterre avec les Scandinaves autour du Xe siècle.


Le second élément -ham représente le vieil anglais hām « maison », « foyer », « groupe d'habitations », dont procède pour l'essentiel le vieux normand ham « village » (cf. Le Ham)[6], d'où les diminutifs hamel « hameau, foyer » et hamelet « petit hameau ».


Le premier élément Ouistre- est plus difficile à déterminer. Pour Albert Dauzat et Charles Rostaing qui se basent sur la forme du XIe siècle Oistreham, régulièrement attestée par la suite, il s'agit d'un terme vieux saxon qu'ils donnent sous la forme ooster « est »[7], mais T. F. Hoad[8] cite ōstar « est » (cf. vieux haut-allemand ōstar[9], ex. : Österreich, nom allemand de l'Autriche et le suédois öster « est »), l'évolution phonétique est analogue à celle du latin ostrea qui a donné le vieux français oistre (> huitre), attesté au XIIIe siècle et en usage jusqu'au XVIIe siècle.


Par contre, René Lepelley envisage, à la suite d'Auguste Longnon et de Louis Guinet, une étymologie par le vieil anglais westre « ouest »[10], en se basant sur la régularité des formes Estreham ou Etreham attestées pour ce lieu jusqu'au XVIIIe siècle. À cela s'ajoute un argument topographique : ouest ne peut signifier qu'« à l'ouest de l'embouchure de l'Orne ». Longnon et Guinet ont proposé le vieux saxon westar de même sens[11],[12], ce qui en ferait un toponyme plus ancien. Le vieil anglais westre « ouest » n'est pas mentionné par T. F. Hoad[13], mais le vieil anglais west semblable au vieux saxon west et Duden[13] cite le moyen haut-allemand wester issu du vieux haut-allemand westar. Auguste Longnon a rapproché Ouistreham du nom de lieu anglais Westerham (Kent, Westarham 871 - 889, Oistreham 1086). Il convient sans doute de comparer l'élément Oistre- des formes anciennes, avec Oister- trouvé dans (Maisnillus) Oisterlandi attesté en 1059, aujourd'hui le Mesnil-Sterling au Tréport (Seine-Maritime) « Le village de l'ouest ». Ouistreham est située à l'ouest de l'embouchure de l'Orne, lieu marquant.


Remarques : en théorie, [w] est passé à [v] au XIIe siècle en normand septentrional (au nord de la ligne Joret où se situe Ouistreham), la forme moderne attendue à partir du vieil anglais *Westreham devrait donc être *Vêtreham. Cependant on constate en toponymie des cas où [w] s'est amuï devant -e ou -i, d'où une possible forme hypothétique *Westarham ou *Westreham devenue Estreham, puis Étreham. Elle serait comparable aux formes anciennes véritablement attestées Wellebuoth 1070 - 1081 > Elbeuf ; Wellebot(um) 1218 > Elbeuf-sur-Andelle ou encore Wicard(i) vill(a) 1025 > Incarville, etc., où le [w] s'est amuï. Ce particularisme phonétique n'est observé par François de Beaurepaire, que dans la toponymie de la Haute-Normandie[14]. En fin de compte, ni Louis Guinet, ni René Lepelley à sa suite, n'expliquent pourquoi dès la forme primitive on trouve Oistreham au lieu du *Westerham attendu. La difficulté phonétique reste double : chute d'un W- initial précoce et insolite dans la région et passage du groupe /estre/ à /oistre/ inexpliqué, car il faut encore supposer une forme *Eistreham antérieure, qui n'a d'ailleurs guère de raison d'être et une francisation précoce *Eistre- > Oistre-, théoriquement impossible à l'époque. L'analogie avec le français moderne ouest est fortuite et va d'ailleurs à l'encontre de cette explication puisque ce mot n'est pas attesté avant le milieu du XIIe siècle, de plus, sa forme est west, avant de devenir ouest à partir de la fin du XIVe siècle. Il s'agit d'un emprunt au moyen anglais.


Depuis fin 2014, la municipalité a choisi d'utiliser le nom de Ouistreham Riva-Bella, d'après le quartier balnéaire de la commune[15].


Napoléon a surnommé « Bédouins » les habitants d'Ouistreham[16]. Ils sont plus habituellement appelés Ouistrehamais[17].



Histoire |




Le camp romain du Catillon.


Un « camp romain » (du Catillon ou du Castillon) était situé sur la rive gauche de l'Orne près de Bénouville. Il a été nivelé, il n'en reste qu'une petite partie du rempart nord-ouest[18]. En réalité, l'archéologie moderne exclut l'hypothèse qu'il s'agisse d'un camp romain, en tout cas pas du Haut Empire, les archéologues n'ayant jamais mis au jour de camp romain datant de cette période dans le Nord de la Gaule, hormis Arlaines à Ressons-le-Long (Aisne)[19], et vraisemblablement pas non plus du Bas Empire. L'expression Camp romain s'applique de manière générale à des ouvrages datant de l'Âge de fer ou du Moyen Âge.




La gare CFC de Riva-Bella.




Arrivée du train CFC à Ouistreham.


L'église Saint-Samson et la grange aux dîmes forment, dès le début du hameau de Ouistreham, le cœur de cette cité. Sa proximité avec la mer a fait que le bourg s'est développé vers la grève, au nord. Ouistreham était un village de pêcheurs et de paysans où l'activité était aussi liée au commerce maritime. Ouistreham connut l'essor de son port grâce à l'extraction et à l'exportation de la pierre de Caen et de Ranville. Il y subsiste encore quelques maisons typiques de pêcheurs.


En 1779, pour protéger l'embouchure de l'Orne des attaques anglaises, il fut décidé de construire trois redoutes selon les plans de Vauban, à Ouistreham, Colleville et Merville. Ces redoutes furent désarmées en 1816, celle de Ouistreham fut vendue à un particulier qui la transforma en maison de maître. Des vestiges de la redoute sont encore visibles au « Petit Château de la Redoute » au 38 boulevard Boivin-Champeaux.


En 1866, une première villa est construite dans les dunes. Son propriétaire, M. Longpré, fabricant de corsets à Caen, lui donna le nom de Belle Rive. Un peintre qui avait remarqué que les couchers de soleil sur les grèves de Ouistreham ressemblaient à ceux qu'il avait eu l'occasion d'admirer en Italie, de Belle Rive en fit Riva Bella. Peu à peu les dunes et marécages disparaissent pour laisser place à des villas et le premier casino est édifié.


Au tout début du XXe siècle, la station balnéaire s’est développée autour de ces luxueuses villas et des infrastructures de loisirs : thalassothérapie et casino de Ouistreham. Le 15 août 1891, la société anonyme des Établissements Decauville Aîné ouvre à titre provisoire une voie ferrée d'intérêt local à voie étroite (60 cm) entre Ouistreham et Luc-sur-Mer. Cette ligne, prolongée en 1891–1892 jusqu'à Dives-sur-Mer et Caen, est reprise en 1894 par la Société anonyme des Chemins de fer du Calvados. Elle restera pendant longtemps la ligne la plus rentable du réseau des Chemins de fer du Calvados. Alors que les autres lignes sont fermées les unes après les autres dans les années 1930, la ligne Luc - Ouistreham - Caen est conservée. Endommagée pendant le débarquement, elle ferme en 1944.


Lors de la Seconde Guerre mondiale, Ouistreham est occupée par les troupes allemandes. À partir de 1942 la zone de la plage devient un no man's land ; 123 villas en bordure de la mer sont rasées pour faire place aux défenses du Mur de l'Atlantique : 80 ouvrages en béton et un poste d'observation d'artillerie surplombant la plage « le grand bunker » sont édifiés. Le 6 juin 1944, ce poste de surveillance devient un lieu stratégique et sa prise permet d'assurer le point de débarquement sur la plage de Sword Beach. Le commando no 4 du commandant Philippe Kieffer comportant les 177 fusiliers marins français (faisant partie intégrante de la première brigade spéciale de Lord Lovat) a ensuite atteint les ponts de Bénouville (Pegasus Bridge) et Ranville et opéré ainsi la jonction avec les parachutistes de la 6e DAP (Airborne britanniques) après des combats de rues à Ouistreham.


Le 6 juin 2014, Ouistreham a accueilli la cérémonie internationale du 70e anniversaire du débarquement et de la bataille de Normandie (5 millions de téléspectateurs en France ; 1,2 milliard dans le monde). Étaient présents 1 800 vétérans, 19 chefs d’État et 8 000 invités d’honneur et Ouistrehamais en tribunes.



Politique et administration |


La commune a intégré la communauté d'agglomération Caen la Mer le 1er janvier 2013[20].



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Calvados.



Liste des maires |




La mairie.






















































































































































































Liste des maires [21]
Période
Identité
Étiquette
Qualité

Les données manquantes sont à compléter.
1792
1797
Jacques Foucu
 
 
1797
1809
Pierre Lair
 
 
1809
1817
Louis Deliens
 
 
1817
1825
Jean-François Deliens
 
 
1825
1831
Pierre Lair
 
 
1831
 
François-Louis Vimard
 
 
1831
1834
Nicolas Vasnier
 
 
1834
1836
Jean Esnault
 
 
1836
1848
Frédéric Cussy
 
 
1848
1875
Victorien Debled
 
 
1875
1888
Georges de Brémoy
 
 
1888
1906
A. Lemarignier père
 
 
1906
1919
A. Lemarignier fils
 
 
1919
1943
Alfred Thomas
 
 
1943
1945
Charles Lefauconnier
 
 
1945
1946
Georges Le Corsu
 
Notaire
1946
1953
Léopold Éloy
 
 
1953
1965
Charles Lefauconnier
 
 
1965
1965
Alexandre Jourdan
 
 
1965
1971
Émile Gallon
 
 
1971
1977
Jean-Albert Ternisien
 
 
1977
1983
René Laclavière
 
 
mars 1983[22]
avril 2014

André Ledran

PS
Professeur, conseiller général
avril 2014[23]
en cours
(au 30 avril 2014)
Romain Bail

Les Républicains
Professeur d'histoire-géographie chargé des sections internationales


Le conseil municipal est composé de vingt-neuf membres dont le maire et huit adjoints[24].



Population et société |



Évolution démographique |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].


En 2015, la commune comptait 9 177 habitants[Note 2], en diminution de 2,17 % par rapport à 2010 (Calvados : +1,53 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
854 796 1 050 1 104 1 162 1 149 1 359 1 194 1 133



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 221 1 259 1 243 1 249 1 196 1 222 1 206 1 194 1 354



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 688 1 523 1 574 2 013 2 220 2 584 2 790 3 527 4 342



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
4 780 5 223 6 140 6 310 6 709 8 679 9 209 9 381 9 177

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,4 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,6 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :



  • 46,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 20 %, plus de 60 ans = 24,1 %) ;

  • 53,6 % de femmes (0 à 14 ans = 15,2 %, 15 à 29 ans = 15,3 %, 30 à 44 ans = 18,2 %, 45 à 59 ans = 19,1 %, plus de 60 ans = 32,1 %).














































Pyramide des âges à Ouistreham en 2007 en pourcentage[29]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,6 

90  ans ou +

1,7 



8,5 

75 à 89 ans

13,2 



15,0 

60 à 74 ans

17,2 



20,0 

45 à 59 ans

19,1 



20,4 

30 à 44 ans

18,2 



16,7 

15 à 29 ans

15,3 



18,8 

0 à 14 ans

15,2 














































Pyramide des âges du département du Calvados en 2007 en pourcentage[30]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,3 

90  ans ou +

1,1 



5,9 

75 à 89 ans

9,4 



12,3 

60 à 74 ans

13,7 



21,0 

45 à 59 ans

20,4 



20,5 

30 à 44 ans

19,2 



20,3 

15 à 29 ans

19,0 



19,7 

0 à 14 ans

17,3 




Enseignements |



Élémentaires et maternelles |


Ouistreham dispose de trois établissements publics d’enseignement primaire :



  • école primaire Briand ;

  • école primaire Charcot ;

  • école maternelle Coty ;


auxquels il faut ajouter un établissement privé : l'école primaire et maternelle du Sacré-Cœur.



Collège |


Ouistreham possède un collège public :


  • Collège Jean Monnet


Activité et manifestations |



Le sport |


Le stade Philippe-Kieffer accueille un terrain de football, une piste d'athlétisme, un gymnase conventionnel (20 m × 40 m) ainsi que le dojo et le gymnase Gérard-Legoupil. Le stade Petit-Bonheur est constitué de six terrains permanents afin d'accueillir les adhérents du club de football chaque semaine. Le Cosec, comme ses frères jumeaux en France, est un gymnase construit dans les années 1970, pendant la forte période de développement des activités physiques et sportives.


L'Association Jeunesse sportive d'Ouistreham fait évoluer deux équipes de football en ligue de Basse-Normandie et une troisième équipe en division de district[31]. Le club dispose également d'une section basket-ball qui présente deux équipes masculines et deux équipes féminines dont une en Pré-Nationale[32] et d'une section handball.


Le circuit Ouistreham-Riva-Bella accueille des courses de karting.



La vie associative |


On recense environ 120 associations présentes au cœur de Ouistreham, aussi bien au niveau sportif (football, basket, tir à l'arc, voile, tao yin-qi gong, yoga, danse, etc.), culturel (théâtre, cinéma, musique, chorale), défense du patrimoine, éducatif qu'au niveau de l'action sociale.



La vie culturelle |


La vie culturelle de Ouistreham est animée par plusieurs entités :



  • l'école intercommunale de musique. L'action de l'école est soutenue par l'association Actimusique ;

  • des orchestres : un big band (OJBB) et un orchestre d'harmonie (L'Union musicale) ;

  • l'association de danse ;

  • l'Office municipal d'Action culturelle (OMAC) ;

  • deux associations de théâtre (L'AET et Les Agités) ;

  • une chorale membre d'À Cœur Joie.

  • La bibliothèque municipale


Le centre socio-culturel (ouvert en janvier 2010) vise à accueillir et fédérer les activités culturelles dans la ville.


Tous les deux ans le centre socioculturel organise les Ouistreham Jazz Escales. Ce festival de jazz est né en 2007 et se déroule la dernière semaine de janvier ou première semaine de février. Il s'efforce de faire découvrir diverses formes de musique improvisée et de faire participer les élèves de l'école de musique et les scolaires.



Jumelages |


La ville est jumelée avec :




  • Drapeau de la Belgique Braine-l'Alleud (Belgique) depuis 1954 ;


  • Drapeau de l'Allemagne Lohr am Main (Allemagne) depuis 1993 ;


  • Drapeau du Royaume-Uni Angmering (Royaume-Uni) depuis 1976.



Économie |


Selon l'INSEE, en 2014 :



  • Population active : 3329

  • Chômeurs : 539

  • Taux de chômage : 14,1 %

  • Revenu moyen par ménage : 21 212€ / an

  • Taux de propriétaires : 57,4 %

  • Prix moyen de l'immobilier (vente) : 2 000  / m²

  • Prix moyen de l'immobilier (location) : 10  / m² / mois


La commune partage le port de commerce avec Caen. Elle possède aussi en propre un port de plaisance.



Culture et patrimoine |



Patrimoine architectural |



Église Saint-Samson |




L'église Saint-Samson du XIIe siècle.


Au cœur de Ouistreham se dresse l’église paroissiale Saint-Samson. Elle fut construite durant les années qui précèdent 1150, sous l’égide de la sixième abbesse de la Trinité de Caen, Jeanne de Coulonces, elle fut dédiée à saint Samson en 1180.


La prospérité du bourg, dont le trafic portuaire était florissant durant toute la période anglo-normande ainsi que le patronage de l'abbaye aux Dames ont conféré la remarquable qualité de ce monument.


La nef à six travées accompagnées de collatéraux est prolongée par un avant-chœur coiffé d’une grosse tour et un chœur qui se termine par une abside en hémicycle. Bien que la construction d'origine date de 1150, l'ensemble a subi des restaurations radicales à la fin du XIXe siècle, ce qui a provoqué une modification sensible de son organisation architecturale et de sa sculpture.


L'église veilla sur le bourg en remplissant au travers des siècles, outre sa vocation religieuse, plusieurs fonctions : fortifiée au XIVe siècle elle joua un rôle de défense, comme en témoignent les canons déposés sur son mur sud, et de protection car le clocher servit aussi de phare et les pilotes surveillaient la mer d'une lucarne aménagée au-dessus de l'abside.


L'intérieur de l'église conserve encore des statues et un mobilier intéressants, ainsi que deux vitraux commémorant la libération de la ville lors de la Seconde Guerre mondiale. Au sud de l'église, s'élève le monument aux morts, remarquable par la présence du marin et du fantassin, le tout surmonté d'un coq.


L'église est classée au titre des monuments historiques par la liste de 1840[33].



Grange aux dîmes |


Attenant à l'église Saint-Samson, on trouve un ensemble de bâtiments anciens datant des Xe et XIe siècles entièrement rénovés à la fin du XXe siècle, la grange aux dîmes. Jusqu'à la Révolution, Ouistreham était une baronnie appartenant à l'abbesse de la Trinité de Caen, la population lui était redevable de la dîme (impôt représentant environ un dixième des récoltes et des troupeaux) qui était entreposée dans ces bâtiments. L'architecture de cette grange est similaire à celles construites en Angleterre durant la même période et montre ainsi l'importance de l'influence des échanges anglo-normands à l'époque.


On peut trouver mention de la grange aux dîmes de Ouistreham dès 1257 dans un censier commandé par l’abbesse de Caen : « Y avait une grange à dîmes. La dixmes d’Oystreham, Saint-Aubin, du Port et de Colleville appartenaient à l’abbaye. »


La grange est inscrite au titre des monuments historiques en 1971[34].


Aujourd’hui cette grange, qui a été restaurée et aménagée sans perdre sa configuration originelle, est transformée en salle de réception.



Phare |




Le phare de Ouistreham vu du terre-plein de l'écluse.


Article détaillé : Phare de Ouistreham.

Le phare de Ouistreham est un phare de granit, cylindrique, de 38 mètres de haut et peint en rouge et blanc et doté de 171 marches. Ce phare terrestre a été érigé en 1905 en remplacement de l'ancien phare carré de 13 mètres de haut.


Le phare de Ouistreham est visible à 16 milles marins. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins.



Poste de direction de tir de Riva-Bella |


Le poste de direction de tir de Riva-Bella est un élément constitutif du Mur de l'Atlantique situé 21 avenue du Six-Juin. Il abrite aujourd'hui un musée, « le Grand Bunker », sur le thème du mur de l'Atlantique. Le poste est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 13 juin 1994[35].



Labels |


La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[36] et une station nautique trois étoiles[37].


La commune bénéficie également des labels Ville active et sportive (trois lauriers) et Ville Internet[réf. nécessaire].



Patrimoine culturel et ludique |




Le musée du Mur de l'Atlantique



Musées |



  • Le Grand Bunker de Ouistreham, installé dans le poste de direction de tir de Riva-Bella.

  • Musée no 4 Commando : ce musée retrace l’épopée des premiers commandos qui débarquèrent à Sword Beach le 6 juin à l’aube avec parmi eux, le 4e commando franco-britannique du commandant français Philippe Kieffer.



Galerie de peinture |


Située dans les jardins du casino, à côté de l'office de tourisme, appelée Galerie Delobel, la galerie de la plage abrite des expositions temporaires d'artistes locaux.



Cinéma |




Le « cinéma Michel Cabieu » de Ouistreham.




Une cabine de plage isolée.


L'association loi 1901 « Cinéma Michel Cabieu » gère l'unique salle de la commune depuis 1983. Cette salle d'environ 380 places est située dans un bâtiment à colombages, dans le style classique normand. Catherine Frot est marraine du cinéma ainsi que, depuis 2010, Jacques Perrin.



Casino |


Le casino de Ouistreham (Pierre Dureuil architecte), sur le thème de la mer, est un établissement du groupe Lucien Barrière. Il dispose de 145 machines à sous, deux tables de Blackjack, une table de roulette anglaise, une table de hold'em poker de contrepartie et deux tables de boule. L'établissement comporte également la brasserie « Le Doris », le restaurant « La Croisière » et la discothèque « Le Cercle ».



Ouistreham dans les arts |



Ouistreham en littérature |


  • Ouistreham est le lieu principal de l'intrigue du roman Le Port des brumes de Georges Simenon mettant en scène le célèbre commissaire Maigret.

  • Parmi les 177 hommes du commando Kieffer qui débarquèrent à Colleville-Montgomery, Gwenn-Aël Bolloré écrit ses mémoires J'ai débarqué le 6 juin 1944 et Nous étions 177 et l'on peut y lire la description de la bataille de Ouistreham.

  • Pour son enquête réalisée dans la région caennaise, Florence Aubenas obtient un CDD à bord du ferry, qui donnera le titre de son livre publié en 2010, Le Quai de Ouistreham.



Ouistreham au cinéma |


  • On peut voir l'explosion du casino de Ouistreham dans le film Le Jour le plus long, ce qui est une erreur historique puisque ce casino avait déjà été démoli par les nazis en 1942 et remplacé par un bunker[38]. Cette scène a par ailleurs été tournée à Port-en-Bessin.

  • Une scène du film Les Valseuses, de Bertrand Blier, a été tournée sur la plage avec Gérard Depardieu, Patrick Dewaere et Jeanne Moreau

  • Une scène du film Disco, de Fabien Onteniente avec Franck Dubosc, a été tournée à Ouistreham.

  • Une scène du film Turf de Fabien Onteniente, tournée sur la plage au niveau du poste de secours n°1 avec Vahina Giocante.



Ouistreham en musique |


  • Tournage du clip de Marina Kaye « On my own ». Tourné en intégralité à Ouistreham Riva-Bella, au Dansoir et sur la plage.

  • À l’occasion du Riva-Bella Festival, la Ville a accueilli, en juin 2016, Amir, Tal, Cris Cab, Imany, Julian Perretta, Souf, Sasha, Boostee et Morgan Nagoya.



Personnalités liées |




  • Michel Cabieu (1730-1804), milicien. Il repoussa les Anglais qui tentaient de débarquer à Ouistreham en 1762. Il fut honoré par la convention en 1790 et fut surnommé le général Cabieu. Le cinéma et une avenue portent son nom.


  • Jean-Joseph Sulpis (1826-1911), graveur d'architecture, est mort à Ouistreham le 7 février 1911.

  • Le sculpteur Antoine Watrinelle (1828-1913) est mort dans une maison construite selon ses plans à l'embouchure de l'Orne.


  • Aristide Briand (1862-1932), homme politique, y possédait une résidence de vacances (qui existe encore, le long du canal de Caen à la mer) et un yacht (la Simounelle). Une statue le représentant orne le port. Une avenue et un groupe scolaire portent son nom.


  • Jeanne Messager (1887-1971 à Ouistreham), musicienne.

  • Le stade de Ouistreham est nommé d'après le capitaine de corvette Philippe Kieffer (1899-1962), commandeur de la Légion d'honneur, Compagnon de la Libération, Croix de guerre 1939-1945 (quatre citations) et Military Cross (Royaume-Uni). Une stèle commémorative à son image fut apposée sur la plage en 1969.


  • Georges Simenon (1903-1989), écrivain, y résida et y localisa son roman Le Port des brumes.

  • L'esplanade menant à la plage et au casino porte le nom d'un des hommes du commando no 4 : le commandant Alexandre Lofi (1917-1992), Compagnon de la Libération, officier de la Légion d'honneur et commandeur dans l’ordre national du Mérite, Croix de Guerre avec 3 citations à l’ordre de l’armée et titulaire de la Military Cross (haute distinction britannique).


  • Augustin Hubert (né le 5 mars 1918 à Nantes), officier de marine français mort au champ d'honneur le 6 juin 1944 à Riva Bella (Ouistreham) lors du débarquement de Normandie.


  • Léon Gautier (né en 1922), membre des commandos Kieffer, débarque à Colleville-Montgomery et longe la plage pour libérer Ouistreham. Il y habite maintenant.


  • Édouard Zarifian (1941-2007), psychiatre, décédé dans la commune.



Héraldique |







Armes de Ouistreham


Les armes de la commune de Ouistreham se blasonnent ainsi :
tiercé en pal : au premier de gueules aux trois demi-léopards d'or passant l'un sur l'autre et mouvant du flanc senestre, au deuxième de gueules aux deux demi-léopards d'or passant l'un sur l'autre et mouvant du flanc dextre, au troisième d'or au lion de sable chargé d'une crosse du champ ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'un drakkar adextré d'une coquille et senestré d'une étoile de six rais, le tout d'argent [39].





Ce blason reprend celui de l'abbaye Sainte-Trinité de Caen dont Ouistreham était un baronnage jusqu'à la Révolution mais s'en différencie par son chef. On y trouve donc les armes d'Angleterre (trois léopards d'or sur fond rouge — dit de gueules) et de Normandie (deux léopards sur fond rouge), rappelant ainsi les échanges très présents entre les deux régions mais aussi et surtout les armes de Flandres (lion noir — de sable — sur fond or) en référence à Mathilde de Flandres — femme de Guillaume le Conquérant — qui est liée à l'abbaye caennaise (d'où la crosse sur le lion de Flandres). Enfin, le chef de ce blason, sur le thème et la couleur de la mer, évoque tout le pan côtier de la bourgade. On retrouve aussi ce côté maritime par le trident qui orne le cimier.



Bibliographie |



  • Fabrice Corbin, Ouistreham en guerre, Sword Beach juin 1944, Heimdal, 2001 (ISBN 978-2840480112)

  • Rémy Desquesnes, 6 juin 1944, Sword beach Ouistreham, Ouest France, 1989, (ISBN 978-2737304163)

  • M. Giard, Ouistreham, Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1994, (ISBN 2854804775)

  • Yves Lecouturier, Ville de Ouistreham, Orep, 2004 (ISBN 2912925657)

  • Karine Le Petit, Carnets de bord Caen-Ouistreham, Un port de commerce, Crecet Basse Normandie, 2005 (ISBN 2950860192)

  • Claude Le Roy, Jean Lesage, Ouistreham - Riva-Bella à l'heure du débarquement, Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1982

  • Eugène Liot, Ouistreham, Lion et Luc-sur-Mer, G. Monfort, Paris, 1980 (notice BnF no FRBNF34751080)

  • Jean Provost, Histoire de Ouistreham : des origines à 1939, Imprimerie Lafond, Caen, 1976



Notes et références |



Notes |





  1. Population municipale 2015.


  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.




Références |



  • Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)



  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr


  2. Selon le site Lion 1906


  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »


  4. « Calvados Littoral Espaces naturels - Le Bois du Caprice » (consulté le 28 juin 2013)


  5. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979(ISBN 2-85023-076-6), p. 513b


  6. a et bLouis Guinet, Les emprunts gallo-romans au germanique (du Ier à la fin du Ve siècle), éditions Klincksieck 1982.


  7. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.


  8. English Etymology, Oxford University Press.


  9. Duden, Herkunftswörterbuch, Duden Verlag


  10. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen 1993.


  11. Auguste Longnon, Les noms de lieu de la France : leur origine, leur signification, leurs transformations : résumé des conférences de toponomastique générale faites à l’École pratique des hautes études, section des sciences historiques et philologiques, publié par Paul Marichal et Léon Mirot, préface de Jacques Chaurand, Éditions Honoré Champion, Paris, 1999


  12. Annales de Normandie. Guinet (L.). Des toponymes normands en Ham (-ain) et de l'étymologie du français hameau, 1963, no 2, p. 73-95.


  13. a et bOuvrage cité.


  14. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)


  15. Reportage, France 3 national, 12/13, 8 octobre 2014.


  16. « Qui se cache derrière le Petit Bedouin? », sur actu.fr, Liberté - Le Bonhomme libre (consulté le 23 juillet 2017)


  17. « Fiers d'être Ouistrehamais : retour des réponses », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le 23 juillet 2017)


  18. Camps néolithiques et camps romains. Hue Edmond, Bulletin de la Société préhistorique de France. 1908, tome 5, N. 1. pages 61 et 62 lire en ligne


  19. « Les camps du Haut Empire en Gaule intérieure » in L'armée romane en Gaule, sous la direction de Michel Reddé, éditions Errance, Paris, 1996, p. 177 - 182


  20. Communiqué de presse, 11 juin 2012


  21. Ouistreham Riva-Bella, éditions 1994


  22. « André Ledran n'entend pas faire un prochain mandat à moitié », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le 24 août 2015)


  23. « Municipales à Ouistreham. Romain Bail et ses huit adjoints élus vendredi », sur Ouest-france.fr (consulté le 5 avril 2014)


  24. « Ouistreham (14150) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le 24 août 2015)


  25. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  26. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.



  29. « Évolution et structure de la population à Ouistreham en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 21 novembre 2010)




  30. « Résultats du recensement de la population du Calvados en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 21 novembre 2010)



  31. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AJS Ouistreham » (consulté le 24 août 2015)


  32. « Site officiel de la Fédération française de basket-ball – AJS Ouistreham » (consulté le 28 novembre 2014)


  33. « Eglise », notice no PA00111593, base Mérimée, ministère français de la Culture


  34. « Grange aux dîmes », notice no PA00111594, base Mérimée, ministère français de la Culture


  35. « Ancien poste de direction de tir de Riva-Bella », notice no PA00132894, base Mérimée, ministère français de la Culture


  36. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le 24 août 2015)


  37. « France station nautique - Station nautique Ouistreham - Riva Bella » (consulté le 24 août 2015)


  38. Eddy Florentin et Patrice Boussel, Le nouveau guide des plages du débarquement et des champs de bataille de Normandie, Presse de la cité 1994.


  39. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=13684



Articles connexes |


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