WWF
Pour les articles homonymes, voir WWF (homonymie).
Zone d'activité | Monde entier |
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Fondation | 29 avril 1961 (World Wildlife Fund) |
Type | Organisation non gouvernementale internationale |
Domaines d'activité | Protection de l'environnement, conservation de la nature |
Siège social | Gland (Av. du Mont-Blanc 27, 4132, Suisse) |
Volontaires | 16 000 (2016) |
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Effectifs | 6 203 (2017) |
Fondateurs | Julian Huxley, Peter Markham Scott, Yolanda Farr (d), Bernhard zur Lippe Biesterfeld, Philip Mountbatten, Edward Max Nicholson, Guy Mountfort, Godfrey A. Rockefeller (en) |
Président | Pavan Sukhdev (depuis le 21 novembre 2017) |
Direction | Marco Lambertini (d) (depuis 2014) |
Affiliation | Bureau européen de l'environnement |
Récompenses | Peabody Awards (1978) Prix Princesse des Asturies de la concorde (1988) Reklame for Alvor (1990) |
Site web | wwf.org |
Le WWF (de l'anglais : World Wide Fund for Nature) ou Fonds mondial pour la nature est une organisation non gouvernementale internationale (ONGI) créée en 1961, vouée à la protection de l'environnement et fortement impliquée en faveur du développement durable.
C'est l'une des plus importantes ONG environnementalistes du monde avec plus de 5 millions de soutiens à travers le monde, travaillant dans plus de 100 pays, et supportant environ 1300 projets environnementaux. Le WWF est un fonds qui, en 2013, tirait 56 % de ses ressources des particuliers, 17 % du secteur public et 10 % d'entreprises privées.
Sommaire
1 Historique
1.1 Création
1.2 Dénominations
2 Activités principales
2.1 Autres actions
3 Présidents[13]
4 Organisations locales
4.1 WWF-France
4.2 WWF-Suisse
5 Controverses
5.1 Premiers présidents
5.2 Le club des 1001
5.3 Écoblanchiment et conflits d'intérêt
5.3.1 Industrie agroalimentaire
5.3.2 Lafarge
5.3.3 Crédit agricole
5.3.4 Sea World
5.4 Présidents du WWF et chasseurs
6 Notes et références
6.1 Notes
6.2 Références
7 Voir aussi
7.1 Bibliographie
7.2 Articles connexes
7.3 Liens externes
Historique |
Création |
Le WWF a été fondé le 29 avril 1961[1] par les biologistes britanniques Julian Huxley, Peter Markham Scott, Guy Mountfort et Max Nicholson.
L'idée d'une organisation pour collecter des fonds d'aide pour les animaux en voie de disparition est initialement proposée par l'homme d'affaires Victor Stolan (en) à Julian Huxley à la suite de la lecture de trois de ses articles publiés dans le journal britannique The Observer sur la chasse et la dégradation de l'environnement en Afrique de l'Est qui menacent la grande faune[2]. Huxley met alors en contact Stolan avec l'ornithologue Max Nicholson, directeur général du Nature Conservancy qui décide au printemps 1961 de rassembler un groupe de scientifiques et d’experts en relations publiques pour créer ce type d'organisation[3]. Parmi ces experts, il fait appel à Scott qui devient le premier président de WWF International et au docteur en biologie, Luc Hoffmann, héritier des laboratoires Hoffmann-La Roche qui sera vice-président de WWF International jusqu’en 1988. Président du conseil d'administration du WWF France créé en 1973, Hoffmann est aussi le créateur de la réserve naturelle régionale de la Tour du Valat en Camargue[4].
Cette fondation privée a pour but la protection de la faune, de ses habitats, de la nature en général. Son réseau international est présent dans 100 pays proposant 12 000 programmes de protection de la nature et bénéficie du soutien de plus de cinq millions d'adhérents[1]. Sur le plan financier, il disposait d'un budget de 447 millions d'euros en 2008 apporté à 56 % par des particuliers[1]. Ses ressources financières proviennent pour l'essentiel : de ses adhérents, d'activité commerciale de promotion (magazines et d'objets fétiches), de subventions gouvernementales, de partenariats avec les entreprises qui s'engagent résolument dans la protection de l'environnement, de dotation du WWF Mondial[5]..
Cette association tient l'une des premières places mondiales de par le nombre de ses membres, mais également par le montant de ses engagements financiers dans les études scientifiques de diagnostic et les réalisations d'opérations de protection de la nature. Le 21 novembre 2013, Greenpeace et WWF annoncent qu'elles quittent la Conférence sur le changement climatique de Varsovie au motif qu'elle ne « débouche sur rien ».
Dénominations |
WWF est le sigle de la dénomination anglaise World Wildlife Fund (en français : « Fonds mondial pour la vie sauvage ») lors de la création de l'organisation en 1961. En 1986, elle est rebaptisée World Wide Fund for Nature (en français : « Fonds mondial pour la nature »)[6], puis simplement WWF en 2003. Le terme World Wildlife Fund demeure l'appellation officielle aux États-Unis et au Canada.
Activités principales |
Les activités du WWF sont multiples :
- Surveillance de l'application de la réglementation internationale et nationale ;
- Étude scientifique pour diagnostic ou proposition ;
- Restauration d'espaces naturels dégradés ;
- Formation ou éducation ou sensibilisation de tout public de tout âge à l'environnement (biodiversité, réchauffement climatique, espèce menacée, pollution, exploitation industrielle de la faune et de la flore au-delà du raisonnable : développement durable, attitude éco-citoyenne, bois et forêt, mer et océan, eau douce, empreinte écologique, etc.).
Son logo est depuis l'origine un panda géant (il a été créé à partir des esquisses réalisées par les deux co-fondateurs, Gerald Watterson and Sir Peter Scott, de Chi Chi un panda chinois emmené dans le zoo de Londres en 1957) et son slogan est « pour une planète vivante » (For a living planet en anglais). Le choix s'est porté sur un panda puisqu'il fallait représenter un animal apprécié de tous et en voie de disparition ; les couleurs noir et blanc du panda ont également permis de minimiser les coûts d'impression des tracts et affiches[7].
Son objectif est de : « Stopper la dégradation de l'environnement dans le monde et construire un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature : en préservant la biodiversité du globe, en garantissant une utilisation durable des ressources naturelles renouvelables ; en encourageant les mesures destinées à réduire la pollution et la surconsommation ».
Le WWF publie tous les deux ans (les années paires) un « Rapport Planète Vivante », qui a pour objectif d'alerter sur la pression qu'exerce l'homme sur les écosystèmes, menaçant plus de la moitié des espèces sauvages, et rappelle les solutions pour commencer à y remédier. Ce rapport s'appuie sur l'Indice planète vivante (IPV), qui mesure la biodiversité en collectant les données recueillies sur les populations de différentes espèces de vertébrés et en calculant la variation moyenne de l'abondance au fil du temps. L'IPV a été développé initialement par le WWF, en collaboration avec les services et bases de données de l'UNEP-WCMC[8].
Autres actions |
Le WWF a entrepris de travailler en partenariat avec les institutions religieuses, tout en conservant sa culture laïque. En 1986, en marge des Rencontres d'Assise, le WWF invite les représentants de cinq grandes religions pour un colloque interreligieux sur le thème de l'environnement afin de permettre aux religions de s'intégrer davantage dans le mouvement écologique et d'éveiller les consciences des fidèles des grandes religions et spiritualités. Le processus engagé à travers différentes rencontres culmine en 2000 à Katmandou avec la déclaration d'engagements en faveur de la protection de l'environnement des représentants bahaïstes, bouddhistes, chrétiens, hindous, jaïns, juifs, musulmans, shintos, sikhs, taoïstes et zoroastriens[9].
Le WWF est à l'origine, avec Google, de la création en 2007 de la Climate Savers Computing Initiative, qui vise à limiter les impacts environnementaux dans le secteur de l'informatique[10].
Le WWF mène divers projets en faveur de la protection et l'observation des cétacés : Cap cétacés, Life Linda, Aires marines protégées (AMP), Cap Ligures, notamment[11].
Le 19 mars 2016, le WWF organise Earth Hour, une manifestation mondiale d'une heure (de 20 h 30 à 21 h 30) pendant laquelle citoyens, pouvoirs publics, villes et entreprises sont invités à éteindre la lumière, pour lutter contre le réchauffement climatique.
Le WWF participe, au moyen du label « Quartier Durable WWF », au développement d'une urbanisation respectueuse de l'environnement — concept de ville durable — et de la biodiversité. En 2010, plusieurs quartiers ont reçu ce label, au Portugal, aux Émirats arabes unis et au Royaume-Uni. En France, le premier quartier à recevoir ce label est le quartier de la Confluence, à Lyon[12].
Présidents[13] |
Période | Nom | Pays |
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1962-1976 | Bernhard de Lippe-Biesterfeld | Pays-Bas |
1976-1981 | John H. Loudon | Pays-Bas |
1981-1996 | Philip Mountbatten | Royaume-Uni |
1996-1999 | Syed Babar Ali (en) | Pakistan |
2000 | Ruud Lubbers | Pays-Bas |
2001 | Sara Morrison (intérim) | Royaume-Uni |
2002-2009 | Emeka Anyaoku | Nigeria |
2010-2017 | Yolanda Kakabadse[14]. | Équateur |
Depuis 2018 | Pavan Sukhdev | Inde |
Organisations locales |
WWF-France |
En France, 180 000 donateurs soutiennent les activités de la fondation WWF. Environ soixante collaborateurs y travaillent. Le 21 décembre 2009, Isabelle Autissier (Ingénieur agronome, spécialisée dans le domaine halieutique) est élue présidente du WWF France[15].
La fondation WWF France est basée au cœur du bois de Boulogne, dans le site environnemental pilote du domaine de Longchamp. Les bâtiments visent la norme HQE (haute qualité environnementale). Le site héberge de nombreuses espèces animales, en majorité des oiseaux[16].
En 2010, le WWF France donne son soutien officiel au chef Raoni dans sa lutte contre le barrage de Belo Monte[17].
À la suite d'une crise interne entre la direction et les salariés[18], le directeur général Serge Orru quitte ses fonctions en juillet 2012[19],[20]. Philippe Germa, docteur en économie et ancien conseiller technique auprès du ministre de l’Environnement Brice Lalonde, prend sa suite en février 2013. Fin 2013 le bilan économique affiche un déficit d'1,3 million d'euros[21]. En 2014, le bilan social dressé par les salariés est mauvais avec de nombreux départs et arrêts maladie, ainsi qu'une dizaine de procédures en cours devant les prud'hommes, la cour d'appel ou le tribunal administratif de Paris[21]. Philippe Germa décède en août 2015 lors d'une plongée en Polynésie[22]. Pascal Canfin, ancien ministre et député européen EELV, est désigné pour prendre sa suite en novembre, il prend ses fonctions début janvier 2016[23].
Les archives de l'antenne française de l'association sont conservées aux Archives nationales sous la cote 148 AS[24].
WWF-Suisse |
Controverses |
Premiers présidents |
Parmi les premiers présidents du WWF, il se trouve John H. Loudon (de 1976 à 1981)[25], qui fut aussi président de la compagnie pétrolière Shell de 1951 à 1965. Par la suite, c'est le duc d'Edimbourg qui préside l'organisation de 1981 à 1996. Les présidents qui se succèdent ensuite font pour les uns partie du monde politique, comme Ruud Lubbers qui fut Premier ministre hollandais, et Eleazar Chukwuemeka Anyaoku secrétaire général du Commonwealth, les autres présidents font partie du monde des affaires, comme le Pakistanais Babar Ali, directeur d'une entreprise de packaging, ou Sara Morrison à la fois engagée politiquement mais également membre de conseils de surveillance de grandes compagnies.
Le club des 1001 |
The 1001: A Nature Trust (en)
Écoblanchiment et conflits d'intérêt |
De nombreux observateurs dénoncent la connivence entre le WWF et certaines multinationales[26]. Ils dénoncent aussi l'opacité du financement de cette fondation qui refuse de fournir une liste détaillée des entreprises qui font partie de ses donateurs.
Industrie agroalimentaire |
WWF France est partenaire du groupe Carrefour depuis 1998. Dans le cadre de ce partenariat, l'ONG accompagne l'enseigne sur le développement de pratiques durables, notamment sur la question de l'huile de palme ou du thon rouge, mais elle participe également à des actions de communication sur la consommation responsable[27]. Les conséquences de ce partenariat : l'enseigne a stoppé sa commercialisation de thon rouge, a retiré l'huile de palme sur une partie de ses produits et a changé sa politique concernant le bois non certifié pour son mobilier de jardin[28]. Le montant exact de ce partenariat n'est pas connu.
En 2016, WWF France publie un rapport qui épingle de grandes entreprises françaises, dont Carrefour. Dans ce rapport [29], l'ONG met en cause les grandes enseignes agroalimentaires pour leur consommation des ressources agricoles.
Lafarge |
Le cimentier Lafarge et le WWF signent leur premier contrat de partenariat en 2000, et ce pour une durée de 5 ans. Il est renouvelé en 2005 puis en 2009. Lafarge devient ainsi le premier Conservation Partner de l’ONG[30]. Lafarge, entreprise de construction, s’est tout d’abord engagée auprès de WWF sur les questions du réchauffement climatique et de la biodiversité. En 2005 et 2009 l’accord s’est étendu pour inclure le problème des polluants, la question de l’eau, l’idée de la construction durable ainsi que le développement des initiatives locales[31]. En 2010, c'est au tour de WWF France de signer un accord avec Lafarge[32]. De tels partenariats sont souvent décriés. D'un côté Lafarge affirme avoir réduit ses émissions de CO2 depuis la signature de son accord en 2000[33], mais dans le même temps, le groupe industriel aurait financé des sénateurs américains climato-sceptiques, selon un rapport du Réseau Action Climat d'Europe[34].
Crédit agricole |
En mai 2012, l'émission Cash Investigation met en lumière la caution environnementale accordée par le WWF à la banque Crédit agricole alors que celle-ci est classée par l'association écologiste Les Amis de la Terre[35] comme enseigne la plus nocive en France pour ses investissements réalisés dans les secteurs du forage pétrolier, de l'exploitation des sables bitumineux et du nucléaire.
Sea World |
À la suite de la sortie du documentaire américain Blackfish, remettant en cause la captivité des orques, les liens du WWF avec SeaWorld Parks & Entertainment, une des principales entreprises gestionnaires de parcs aquatiques présentant des orques, ont été dénoncés[36],[37].
Présidents du WWF et chasseurs |
Le roi d'Espagne Juan Carlos Ier, président d'honneur du WWF-Espagne depuis la création de cette branche en 1968[38], est un fameux passionné de chasse. Ceci n'a pas empêché sa nomination alors que dès 1962, il était invité par le baron allemand Werner von Alvensleben dans la réserve de chasse Safarilandia, au Mozambique, pour y chasser le buffle[39],[40]. Au cours de son mandat au WWF, certaines de ces parties de chasse ont fait scandale. En mars 2004, le gouvernement polonais lui a permis de tuer un bison d'Europe dans la forêt de Białowieża[41], bien que cet animal appartenait à une espèce classée en danger par l'UICN. En octobre 2004, il a participé à une chasse dans les Carpates, en Roumanie au cours de laquelle il a tué, légalement, un loup et neuf ours bruns, dont une femelle pleine[42]. Cette partie de chasse fut critiquée par une porte-parole du WWF-Roumanie[43]. En 2006, il a également été accusé par un fonctionnaire régional russe d'avoir chassé un ours brun élevé en captivité et préalablement rendu ivre, suscitant une controverse dans plusieurs pays[44],[45],[46]. Une dernière affaire a éclaté en avril 2012, lorsque la participation du roi dans une chasse à l'éléphant au Botswana a été découverte à la suite d'une fracture et de son rapatriement d'urgence en Espagne[47]. En réponse, de nombreuses personnes[48], des groupes écologistes et des partis de gauche[49] ont critiqué le passe-temps du monarque. Face à l'importante médiatisation internationale de ce scandale, le WWF-Espagne a supprimé en juillet 2012 le poste de président d'honneur, destituant de fait le roi de son poste après 44 ans, dans une assemblée approuvant la décision avec 94 % des voix[50].
Le prince Philip, quelque temps avant de fonder le WWF-Royaume-Uni[51], a chassé un tigre du Bengale dans le parc national de Ranthambore en Inde, c'était selon lui sa seule participation à ce genre de chasse[52].
Son fils, le prince Charles, président du WWF-Royaume-Uni depuis 2011[53], est aussi un passionné de chasse. Il est connu pour aimer la chasse traditionnelle britannique[54] mais s'oppose ouvertement à la chasse d'espèces menacées.
Le roi de Suède Charles XVI Gustave, président du WWF-Suède[55] depuis 1988, chasse régulièrement l'élan, et a encouragé la chasse au loup pour éviter que ceux-ci ne fassent diminuer le nombre d'élans[56],[57].
Le roi Juan Carlos Ier, président d'honneur du WWF-Espagne de 1968 à 2012.
Le prince Philip, président et fondateur du WWF-Royaume-Uni de 1961 à 1982, président du WWF-International de 1981 à 1996 et président émérite actuel du WWF.
Le prince Charles, président du WWF-Royaume-Uni depuis 2011.
Le roi Charles XVI Gustave, président du WWF-Suède depuis 1988.
Notes et références |
Notes |
Références |
(en) WWF in Brief - Site officiel.
(en) Paul Kevin Wapner, Environmental Activism and World Civic Politics, SUNY Press, 1996, p. 76
(en) Roger Courtney, Strategic Management for Voluntary Nonprofit Organizations, Psychology Press, 2002, p. 235
(en) Cathy Hartley, Gareth Wyn Jones, Alison Neale, Environment Encyclopedia and Directory, Routledge, 2009, p. 291
(en) « WWF Annual review 2013 », sur WWF.panda.org
PNUE Annuaire : Avancées scientifiques et développements dans notre environnement en mutation, « Acronymes et abréviations » p. 65, Programme des Nations unies pour l'environnement, 2010.
Le panda WWF, histoire du logo le plus célèbre de la planète, 'marcelgreen.com, consulté le 23 janvier 2018.
Rapport planète vivante, sur le site du WWF
Elisabeth Bourginat et Jean-Pierre Ribaut, "Des animaux pour quoi faire ?: approches interculturelles, interreligieuses, interdisciplinaires", éd. Charles Léopold Mayer, 2003, p. 127.
Site officiel Climate Savers Computing Initiative [1]
Site institutionnel du WWF [2]
David Naulin, « Lyon confluence, premier quartier durable WWF en France », sur cdurable.info, 17 octobre 2010(consulté le 21 février 2014)
(en) Presidents - past and present sur le site du WWF
« Yolanda Kakabadse named as new President of WWF International »
WWF-France
Véronique Smée, « Le domaine de Longchamp devient un site pilote environnemental », Novethic.fr, 24 avril 2009(lire en ligne)
« cgi-bin/pandaerror404.cgi »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
« Les salariés du WWF demandent la tête de leur patron Serge Orru », sur rue89.nouvelobs.com, 24 juin 2011
« Serge Orru quitte la présidence de WWF-France », sur lexpansion.lexpress.fr, 5 juillet 2012
« Serge Orru quitte WWF », sur tempsreel.nouvelobs.com, 5 juillet 2012
« WWF : coup de bambou sur le panda », sur marianne.net, 24 mai 2014
(en) « Le directeur général du WWF France, Philippe Germa, disparaît lors d’une plongée en Polynésie », sur lemonde.fr, 11 août 2015
« Pascal Canfin nommé directeur du WWF France », sur lemonde.fr, 20 novembre 2015
Voir notice du fonds conservé en salle des inventaires virtuelle des Archives nationales
http://wwf.panda.org/who_we_are/organization/presidents/
Fabrice Nicolino, Qui a tué l’écologie ?, Éditions Les liens qui libèrent, 2011, p. 84-85. (ISBN 978-2-918597-25-4)
« Carrefour partenaire », sur WWF France
« WWF et les entreprises, les liaisons dangereuses », sur lexpress.fr, 10 juin 2011
« Carrefour, Auchan, Bouygues...Ces entreprises françaises qui ont un impact sur la planète », sur lefigaro.fr, 26 avril 2016
« Lafarge et le WWF : un partenariat mondial », sur Site web Lafarge, 20 mars 2000
« 10 years: A partnership explained in 10 answers », sur PDF Lafarge UK, 23 juin 2011
« WWF et les entreprises, les liaisons dangereuses », sur L'Express, 11 juin 2011
« Lafarge : objectif de réduction d'émission de CO2 dans le monde dépassé », sur actu-environnement.com, 30 mars 2010(consulté le 25 juillet 2016)
« EN COULISSE, LES INDUSTRIELS FRANÇAIS MANŒUVRENT CONTRE LE CLIMAT », sur Réseau Action Climat d'Europe, 25 octobre 2010
"Environnement : Comment choisir ma banque?" , sans date, sans auteur
https://www.thedodo.com/community/SamLipman/the-world-wildlife-fund-suppor-563556481.html
https://secure.avaaz.org/nl/petition/WWF_End_your_partnership_with_SeaWorld_and_start_respecting_wildlife/?sxKyFib
(es) « WWF España pide una reunión con la Casa Real por el caso de la caza de elefantes del Rey Juan Carlos », sur wwf.es, 16 avril 2012
(es) « Cazador blanco, sangre azul », sur liberaong.org, 15 juillet 2009
(en) Brian Marsh et Werner von Alvensleben, Baron in Africa: The Remarkable Adventures of Werner Von Alvensleben, Safari Press, Incorporated, 1997, 290 p. (ISBN 1571570675)
(en) « King's bison shoot stirs anger of conservation groups », sur The Guardian, 24 mars 2004
(es) Alexandru PETRESCU, « «Disparos» contra el Rey de Rumanía », sur El Mundo, 2004
(en) « Romania: Elite Hunting Spree Sparks Calls For Better Animal Protection », sur Radio Free Europe, 27 janvier 2005
(es) « 'El Rey no sabía que el oso estaba borracho', asegura el guarda ruso que denunció la cacería », sur El Mundo, 24 octobre 2006
(en) « Royal row over Russian bear fate », sur BBC, 20 octobre 2006
(en) « Bear 'hunted' by King of Spain was drunk on vodka », sur The Telegraph, 20 octobre 2006
« Malaise en Espagne après l'accident de chasse du roi au Botswana », sur Le Monde, 16 avril 2012
(es) « Pétition : Que el Rey Juan Carlos I deje de ser el Presidente de Honor de WWF España : 93 699 signatures », sur Change.org
« Espagne : La monarchie sous le feu des critiques pour une chasse », sur France-Soir, 16 avril 2012
(en) « WWF-Spain removes honorary figure from its governance body », sur WWF, 21 juillet 2012
(en) « HRH Prince Philip, Duke of Edinburgh », sur WWF
(en) « WWF International accused of 'selling its soul' to corporations », sur The Guardian, 4 octobre 2014
(en) « Prince of Wales becomes president of WWF-UK », sur The Guardian, 8 septembre 2011
(en) « Prince Charles still enjoy thrill of the chase while still legal despite mother's advice », sur The Guardian, 6 novembre 2004
(en) « WWF in Sweden », sur WWF
« Le roi de Suède fait scandale en appelant à la chasse au loup », sur RTL, 17 octobre 2008.
(en) « WWF President number 2 – Let's kill more wolves because we want to kill the elk », sur Wildlifeextra.com.
Voir aussi |
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Bibliographie |
Alexis Schwarzenbach, WWF : cinquante ans au service de la nature, Buchet/Chastel, 2011, 349 pages (ISBN 978-2-283-02504-8).
Articles connexes |
Développement durable - Écologie - Conservation de la nature
Panda magazine (magazine de l'association en France)- Earth Hour
L'Alliance pour la planète (2006-2012)- Liste d'organisations environnementales
- Société civile
- Indice planète vivante
Liens externes |
- Site officiel
(en) Site officiel WWF International
- Protection des cétacés
- Portail des associations
- Portail de la conservation de la nature