Le Pouliguen
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Port et promenade sur le grand étier du Pouliguen. | |||||
Blason | Logo | ||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Saint-Nazaire | ||||
Canton | La Baule-Escoublac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Presqu'île de Guérande Atlantique | ||||
Maire Mandat | Yves Lainé 2014-2020 | ||||
Code postal | 44510 | ||||
Code commune | 44135 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pouliguennais | ||||
Population municipale | 4 410 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 1 005 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 16′ 40″ nord, 2° 25′ 45″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 23 m | ||||
Superficie | 4,39 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de Guérande
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.lepouliguen.fr/ | ||||
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Le Pouliguen (prononcé [lə.pu.li.gɛ̃]) est une commune de l'Ouest de la France située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Le Pouliguen est une station balnéaire de la Côte d'Amour réputée pour son port de pêche et de plaisance. Elle compte 4 484 habitants en 2014, mais la population estivale peut atteindre 40 000[M 1] habitants environ.
Avec Batz-sur-Mer, Le Pouliguen est le lieu de la Loire-Atlantique où la langue bretonne s'est éteinte le plus tardivement. Certains villages du Pouliguen parlaient encore breton à la fin du XIXe siècle.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Localisation
1.2 Géologie et relief
1.3 Hydrographie
1.4 Climat
1.5 Voies de communication et transport
2 Toponymie
3 Histoire
3.1 Préhistoire
3.2 Antiquité
3.3 Moyen Âge
3.4 Époque moderne
3.5 Révolution française et Empire
3.6 Époque contemporaine
4 Politique et administration
4.1 Situation administrative
4.2 Tendances politiques et résultats
4.2.1 Élection présidentielle la plus récente
4.2.2 Élection municipale la plus récente
4.3 Liste des maires
4.4 Instances juridiques et administratives
5 Urbanisme
5.1 Morphologie urbaine
5.2 Logement
5.3 Projets d'aménagement
5.4 Risques naturels
5.5 Politique environnementale
5.6 Finances locales
5.7 Intercommunalité
5.8 Jumelages
6 Population et société
6.1 Démographie
6.1.1 Évolution démographique
6.1.2 Pyramide des âges
6.2 Enseignement
6.3 Vie culturelle et sportive
6.4 Santé
6.5 Cultes
7 Économie
7.1 Histoire économique
7.2 Revenus de la population et fiscalité
7.3 Emploi
7.4 Entreprises et commerces
8 Culture et patrimoine
8.1 Lieux et monuments
8.1.1 Patrimoine civil
8.1.2 Patrimoine religieux
8.2 Patrimoine naturel
8.3 Patrimoine culturel
8.3.1 Le Pouliguen au cinéma
8.4 Personnalités liées à la commune
8.5 Héraldique, devise et logotype
8.5.1 Héraldique
8.5.2 Devise
8.5.3 Logotype
9 Voir aussi
9.1 Bibliographie
9.2 Articles connexes
9.3 Liens externes
10 Notes et références
10.1 Notes
10.2 Références
10.2.1 Sources institutionnelles
Géographie |
Localisation |
Le Pouliguen est situé sur le littoral de la Loire-Atlantique, sur la partie orientale de la presqu'île du Croisic, à une quinzaine de kilomètres à l'ouest de Saint-Nazaire. La commune appartient à la presqu'île guérandaise[1].
Les communes limitrophes sont Batz-sur-Mer, Guérande et La Baule-Escoublac.
Le Pouliguen est bordé :
- à l'ouest, par la commune de Batz-sur-Mer ;
- au nord, par les marais salants de Guérande dépendant de la commune de Guérande ;
- à l'est, par l'étier du Pouliguen qui relie ces marais à l'océan Atlantique et qui, tout en servant de limite avec la commune de La Baule abrite le port des deux cités ;
- au sud, par le littoral, divisé en deux parties par la pointe de Penchâteau :
- la partie est qui fait face à la baie du Pouliguen, formé notamment par la « plage du Nau », laquelle prolonge la « plage Benoît » à La Baule au-delà de l'étier sur presque 400 mètres avec une structure identique (très large estran). Puis commence une succession de falaises rocheuses et quelques petites plages isolées sur environ 1,5 km jusqu'à la pointe ;
- la partie ouest de la pointe, commence la Côte Sauvage, ici appelée La Grande Côte, avec là aussi, ses falaises rocheuses et quelques plages ; on atteint le territoire de Batz-sur-Mer à 2,5 km de la pointe au niveau de la baie du Scall.
Géologie et relief |
Les altitudes sont faibles : hors littoral, on a 3 à 4 m le long des marais et 10 à 13 m le long de la côte sud ; le point culminant est à 18 m (vers le calvaire et le château d'eau). Le relief est peu vallonné.
Hydrographie |
Climat |
Voies de communication et transport |
Toponymie |
Le nom de la localité est attesté sous les formes Poulguen en 1476, Polliguen en 1554, Poulguen en 1750 et en 1800[2].
Le nom du Pouliguen vient du breton (KLT) Ar Poulgwenn (Ar Poulig'gwenn en breton vannetais) : « La Petite Anse Blanche », caractèrisant la baie du Pouliguen réputée pour son sable blanc très fin[3].
Histoire |
Préhistoire |
La pointe de Penchâteau est l'objet d'une occupation importante à l'époque protohistorique : on a retrouvé les traces de quatre lignes de remparts qui ont pu être datés[4] assez précisément : autour de 450 av. J.-C. Une hypothèse est que ce fort faisait partie du système défensif de la cité, non localisée de façon certaine, de Corbilo.
Antiquité |
Moyen Âge |
Époque moderne |
Révolution française et Empire |
Époque contemporaine |
Le territoire actuel du Pouliguen était à l'origine rattaché à la paroisse, puis commune de Batz-sur-Mer. Une paroisse indépendante a été instituée au Pouliguen en 1820 ; Par application de la loi du 20 avril 1854, la commune est créée en réunissant les villages du Pouliguen (le port) et de Penchâteau.
Avant le XIXe siècle, le port du Pouliguen avait une activité axée sur la pêche et le transport du sel vers la Loire ou l'Europe du Nord. En témoignent les maisons de pêcheurs, d'armateurs et de paludiers dans le centre.
Le XIXe siècle est marqué par la création dans les années 1830 des établissements de conserve des frères Benoît, des industriels venus du Jura.
Mais le principal développement est lié au tourisme balnéaire, dès le milieu du siècle, sous une forme très élitiste, et encore plus à partir de l'arrivée du chemin de fer : l'ouverture de la ligne Saint-Nazaire-Le Croisic a lieu en 1879. Dans les années 1880, le lotissement de la plage Ouest de La Baule est aménagé par Jules Benoît, d'où le nom actuel de plage Benoît, à cette époque, elle est encore appelée Grande plage du Pouliguen et une liaison par bateau est établie à travers l'étier à partir de 1884.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à cause de l'existence de la Poche de Saint-Nazaire, l'occupation allemande se prolongea au Pouliguen comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire durant 9 mois de plus (d'août 1944 au 11 mai 1945), la reddition effective de la poche intervenant 3 jours après la capitulation de l'Allemagne.
Politique et administration |
Situation administrative |
La commune appartient au canton de La Baule-Escoublac, qui compte six communes et 43 561 habitants en 2013 ; depuis mars 2015, Gatien Meunier et Danielle Rival sont les conseillers départementaux.
La commune est rattachée à l'arrondissement de Saint-Nazaire et à la 7e circonscription de la Loire-Atlantique, dont le député est Christophe Priou (UMP), depuis 2002[5].
Tendances politiques et résultats |
La ville du Pouliguen est traditionnellement ancrée à droite, tendance qui se confirme lors des différents scrutins nationaux ou locaux où les partis de droite remportent une majorité des suffrages exprimés dans la commune.
Élection présidentielle la plus récente |
Lors du second tour des élections présidentielles de 2012, François Hollande (PS), élu, a recueilli 38,17 % des suffrages et Nicolas Sarkozy (UMP), 61,83 % des suffrages ; le taux de participation était de 84,32 %[6].
Élection municipale la plus récente |
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de 27[7].
Lors des élections municipales de 2014, les 27 conseillers municipaux ont été élus à l'issue du second tour ; le taux de participation était de 70,06 %. Trois conseillers ont été élus au conseil communautaire. Les trois listes en présence se présentaient avec les étiquettes Union pour un mouvement populaire (UMP) d'une part et deux listes divers droite (LDVD) d'autre part[8].
La liste UMP a obtenu 19 des 27 sièges au conseil municipal à pourvoir.
Liste des maires |
Instances juridiques et administratives |
Dans le ressort de la cour d'appel de Rennes, Le Pouliguen relève de Saint-Nazaire pour toutes les juridictions, à l'exception du tribunal administratif, de la cour administrative d'appel et de la cour d’assises, situés tous les trois à Nantes[9].
La commune se trouve dans la circonscription de gendarmerie de Saint-Nazaire et la brigade de proximité la plus proche est située à Guérande[10].
La brigade de sapeurs-pompiers de Batz-sur-Mer et du Pouliguen est basée au Pouliguen[11].
Urbanisme |
Morphologie urbaine |
Logement |
Projets d'aménagement |
Risques naturels |
Politique environnementale |
Finances locales |
Intercommunalité |
Jumelages |
Llantwit Major (Royaume-Uni)
Kißlegg (Allemagne) depuis 1978
Population et société |
Démographie |
Selon le classement établi par l'Insee, Le Pouliguen fait partie de l'aire urbaine, de l'unité urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Saint-Nazaire[12]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 89 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires » et 11 % dans des zones « peu denses »[13].
Évolution démographique |
La commune est créée en 1854 par démembrement de Batz-sur-Mer.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1856. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].
En 2016, la commune comptait 4 410 habitants[Note 2], en diminution de 11,34 % par rapport à 2011 (Loire-Atlantique : +6,52 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Les données suivantes concernent l'année 2013.
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (52,1 %) est en effet nettement plus du double du taux national (22,6 %) et du taux départemental (22,5 %)[18],[19],[20].
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,8 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %)[18],[19],[20].
Pyramide des âges |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,9 | 3,9 | |
17,4 | 22,4 | |
29,0 | 28,9 | |
18,5 | 17,8 | |
10,9 | 10,3 | |
11,5 | 8,2 | |
10,8 | 8,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 1,3 | |
5,8 | 9,1 | |
13,5 | 14,6 | |
19,6 | 19,2 | |
20,8 | 19,6 | |
19,4 | 17,7 | |
20,5 | 18,5 |
Enseignement |
Vie culturelle et sportive |
La commune partage avec celle de Batz-sur-Mer un club de basket-ball : l'« Espérance Mouette Basket Club », né en 2003 de la fusion club de « l'Espérance » de Batz-sur-Mer et de « la Mouette » du Pouliguen[21].
Santé |
Cultes |
Économie |
Histoire économique |
Revenus de la population et fiscalité |
Emploi |
Entreprises et commerces |
Il existe le projet d’un important parc éolien en mer au large de la Grande Côte du Pouliguen, en direction du sud-ouest, composé de 80 éoliennes d'une capacité unitaire de 6 MW, soit une puissance totale de 480 MW, sur une zone de 78 km2 localisée à un peu plus de douze kilomètres du littoral. La phase active des travaux devrait se dérouler à partir de 2016, pour une mise en service programmée en 2018.
Culture et patrimoine |
Lieux et monuments |
Patrimoine civil |
- Le camp protohistorique de Penchâteau ;
- La chapelle de Penchâteau, seul monument classé, date du XVe siècle pour sa partie ancienne. Elle renferme des statues assez anciennes et des bas-reliefs ;
- La croix de Penchâteau, devant la chapelle de Penchâteau ;
- La gare du Pouliguen construite en 1879 sur un modèle que l'on retrouve à Pornichet et au Croisic.
Patrimoine religieux |
- Église Saint-Nicolas.
Patrimoine naturel |
Outre sa plage de sable fin (plage du Nau) et son bois, un des atouts majeurs du Pouliguen, il existe sur la côte rocheuse de nombreuses criques, et des grottes qui se découvrent à marée basse. La plus célèbre est la grotte des Korrigans qui conduisait, d'après la légende, jusqu'à Guérande et qui était gardée par un terrible korrigan. On trouve également le rocher du Sphinx qui donna son nom à une anse.
Patrimoine culturel |
Le Pouliguen au cinéma |
Le film La Baule-les-Pins (1990) de Diane Kurys a été, en partie, tourné au Pouliguen.
Personnalités liées à la commune |
Luglien de Jouenne d'Esgrigny (1806-1888), homme de Lettres, maire de la ville, créateur de la plage, écrivait dans la revue Mélanges occitaniques.- Les frères Peyron, navigateurs français : Bruno Peyron, né le 10 novembre 1955, Loïck Peyron, né le 1er décembre 1959[22] et Stéphane Peyron, né le 1er décembre 1960, sont originaires du Pouliguen.
Alexandre Laugier (1863-1945) : contre-amiral, y est mort.
Bernard Boesch (1914-2005) : architecte et peintre. Il a participé à la reconstruction après la Seconde Guerre mondiale. Il a légué à la ville de La Baule-Escoublac sa villa, située au Pouliguen, transformée en musée.
Pierre Deshayes (1918-2011), résistant français, Compagnon de la Libération, est inhumé dans la commune.
Héraldique, devise et logotype |
Héraldique |
Blasonnement : D'azur à la nef contournée d'or, habillée et gréée du même, voguant sur une tierce ondée d'argent, au chef d'hermine. Commentaires : Navigation et construction navale furent des activités importantes (en 1626, Gaston d'Orléans, frère du roi de France Louis XIII, assistait au lancement d'un navire de 250 tonneaux, le Saint-Jean-Baptiste). La nef est contournée, car il faut d'abord prendre vers l'est et doubler la pointe de Penchâteau avant de prendre le large. Le chef d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par Marcel Baudry (délibération municipale du 10 novembre 1951), enregistré le 15 mai 1952 (Archives de France). |
Devise |
La devise du Pouliguen : Duc In Altum.
Logotype |
Logo du Pouliguen.
Voir aussi |
Bibliographie |
Loire-Atlantique (coll. Le Patrimoine des communes de France), Flohic éditions, Charenton-le-Pont, (Le Pouliguen : tome 1, pages 352-357).- Renée Guillemin, Gérard Locu (professeur agrégé de l'Université) : Le Pouliguen, port et ville. Édition des Paludiers. La Baule 1981. 98 pages.
- Aristide Monnier, Études et souvenirs : Le Pouliguen et ses environs, Paris, le Livre d'histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France », 2000 (1re éd. 1891), 434 p. (ISBN 2-84435-163-8)
Articles connexes |
- Liste des communes de la Loire-Atlantique
- Presqu'île guérandaise
- Côte d'Amour
- Vélocéan
Liens externes |
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Bibliothèque nationale de France (données)
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
Notes et références |
Notes |
Réélu en 2014.
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références |
Sources institutionnelles |
- Site de la mairie
« Le chiffre », le Pouliguen mag, no 10, mai 2012, p. 7 (lire en ligne).
« Les maires du Pouliguen » (consulté le 15 août 2016).
- Autres sources
Marie Rouzeau, Du Pays de Guérande à la Côte d’Amour, Palatines, coll. « Histoire et géographie contemporaine », 2010, 223 p. (ISBN 978-2-35678-023-2).
Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis »
Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France: essai de toponymie, Errance, 2003, p. 132.
Fabrice Abbad, dir., La Loire-Atlantique des origines à nos jours, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 1984, page 64.
« Résultats des élections législatives 2012 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le 29 janvier 2015).
« Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le 25 août 2016).
art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
« Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le 25 août 2016).
« Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le 29 août 2016).
« Brigade la plus proche / Guérande », sur le site de la Gendarmerie nationale (consulté le 29 août 2016).
« Numéros utiles », sur un site de la mairie de Batz-sur-Mer (consulté le 29 août 2016).
« Commune du Pouliguen (44135) », Insee (consulté le 17 septembre 2017).
« La grille communale de densité », Insee (consulté le 17 septembre 2017), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
« Chiffres clés Évolution et structure de la population - Le Pouliguen - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le 22 septembre 2016).
« Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le 22 septembre 2016).
« Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le 22 septembre 2016).
Espérance Mouette Basket Club - Club de Batz-sur-Mer et Le Pouliguen.
Loïck Peyron, retour aux sources.
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