Stado Tarbes Pyrénées rugby
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Surnoms | Les ours bigourdans |
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Noms précédents | Stadoceste tarbais Lannemezan Tarbes Hautes-Pyrénées, LT65 Tarbes Pyrénées rugby, TPR (2002-2017) |
Fondation | 1901 |
Statut professionnel | 1998 |
Couleurs | Rouge et blanc |
Stade | Stade Maurice-Trélut (15 000 places 7 500 assises places) |
Championnat actuel | Fédérale 1 |
Président | Lionel Terré |
Entraîneur | Yannick Vignette Mikaël Etcheverria |
Site web | www.tpr65.com |
National[Note 1] | Championnat de France (2) vice champion de France 1914,1951,1988 Coupe de l'Espérance (1) |
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Maillots
Domicile | Extérieur |
Actualités
Pour la saison en cours, voir :
Fédérale 1 2017-2018
Dernière mise à jour : 22 aout 2015.
Le Stado Tarbes Pyrénées rugby est un club français de rugby à XV basé à Tarbes. Double champion de France (1920 et 1973), il évolue en Fédérale 1 en 2017-2018.
Fondé sous le nom Stadoceste tarbais, il fusionne en 2000 avec le CA Lannemezan sous le nom Lannemezan Tarbes Hautes-Pyrénées. En 2002, le club devient Tarbes Pyrénées rugby, puis voit en 2003 le CA Lannemezan reprendre son autonomie.
Sommaire
1 Histoire
1.1 Création du Stadoceste tarbais
1.2 Les premiers titres
1.3 1920-1950
1.4 Succès au plus haut niveau
1.5 Fusion avec le CA Lannemezan
1.6 Tarbes Pyrénées rugby
1.7 Stado Tarbes Pyrénées rugby
2 Identité visuelle
2.1 Couleurs et maillots
2.2 Logo
3 Palmarès
3.1 Détail du palmarès
3.2 Les finales du Stadoceste tarbais
3.3 Résultats depuis 2000
4 Rivalités
5 Personnalités du club
6 Le club en chiffres
6.1 Joueurs ayant fait le plus de matches au Tarbes Pyrénées rugby
6.2 Meilleurs réalisateurs du club
6.3 Meilleurs marqueurs du club
6.4 Plus larges victoires
6.5 Plus larges défaites
6.6 Record d'essais sur un match
6.7 Record de points sur un match
7 Effectif 2018-2019
8 Dirigeants du club
8.1 Liste des entraineurs
8.2 Staff actuel
8.3 Présidents successifs
9 Infrastructures
9.1 Stade
9.2 Meilleures affluences depuis la création du TPR
9.3 Centre de formation
9.4 Évolution économique
10 La section féminine
11 Notes et références
11.1 Notes
11.2 Références
12 Annexes
12.1 Articles connexes
12.2 Bibliographie
12.3 Liens externes
Histoire |
Création du Stadoceste tarbais |
Le Stadoceste tarbais a été fondé en janvier 1902 à la suite de la fusion de deux clubs de la ville, le « Stade tarbais » (fondé le 4 octobre 1901), où on pratiquait le rugby, et le « Ceste », où on s’adonnait à la boxe et l'escrime. Le premier nom du club fut d'ailleurs le « Stade Ceste » et c'est à la suite d'une erreur de prononciation d'un soldat du régiment des hussards stationné à Tarbes que l'étrange et singulière appellation « Stadoceste » apparut.
Son vivier fut pendant très longtemps l'Arsenal, la manufacture d’armes. Ce club fut longtemps dirigé par des bourgeois aisés et notamment par Jules Soulé qui alla jusqu'à y dilapider sa fortune. Celui-ci, Toulousain de naissance s'en vint à Tarbes en 1907 à la suite de la fusion qui donnera naissance au Stade toulousain. Il restera président jusqu'à sa mort, en 1945, à l'âge de 65 ans[1].
Les premiers titres |
C'est lors de la saison 1909-1910 que les tarbais jouent leur première demi-finale de championnat. Ils échouent 16-3 contre le Stade bordelais. En 1911, ils atteignent de nouveau les demies, mais ils perdent contre le SCUF, à Tarbes. En 1914, ils sont finalistes du Championnat de France contre Perpignan. Puis en 1919, ils remportent la dernière édition de la Coupe de l'Espérance contre Bayonne (4-3), une compétition opposant des jeunes en l'absence des seniors, partis à la guerre.
En 1920, ils remportent leur premier championnat de France face au Racing club de France (8-3) après avoir vaincu Bergerac (23-5) et le TOEC (16-10). Ils battront ensuite Bordeaux et Perpignan en poules demi-finales.
1920-1950 |
L'année suivante, ils arrivent jusqu'aux poules des demi-finales. Cependant, ils échouent contre le Stade toulousain (9-3) et gagnent contre l'Aviron bayonnais (6-3). Lors du championnat 1921-1922, ils s'arrêtent au niveau des poules de 3 après avoir terminé premiers de la poule J à égalité avec l'AS Béziers. Ce sont cependant ces derniers qui accèderont au tour suivant, dans un championnat qui n'a de cesse de changer de format.
En 1923 et en 1925, ils obtiennent le même résultat. En 1924, ils arrivent en poules des quarts de finale. En 1926, ils arrivent en demi-finales, mais perdent 6-0 contre Perpignan après un premier match nul 0-0. Lors de la saison 1926-1927, ils accèdent aux poules de quatre. En 1928 et en 1929, ils s'arrêtent au niveau des poules de cinq, le premier tour de la compétition. En 1930, ils perdent 18-0 face à Agen, futur vainqueur, en quarts de finale.
En 1931, ils ne participent pas au championnat, ayant avec Narbonne rejoint l'UFRA (Union française de rugby amateur), qui regroupait douze des clubs les plus prestigieux du championnat de France pour créer leur propre championnat[Note 2]. Ils ne participent finalement même pas à la première édition, remporté par le Stade toulousain. La seconde et dernière édition de la compétition, rebaptisée "Tournoi des Quatorze", fut de nouveau remportée par le club de la ville rose.
Pour leur retour en championnat, en 1933, les Tarbais ne sortent pas des poules de neuf. L'année suivante, ils n'atteignent pas les demi-finales. En 1935, ils échouent en demi-finale contre Biarritz, 10-3. En 1936, 1937, 1938 et en 1939, les Tarbais n'arrivent pas en quarts de finale.
La compétition est interrompue par la Seconde Guerre mondiale. Après son rétablissement par la FFR en 1942, le Stado n'atteint plus les demi-finales jusqu'en 1951.
Succès au plus haut niveau |
En 1951, le club est en finale de deux championnats. Les deux finales sont celle du Championnat de France, perdue 14-12 contre Carmaux, et celle de la Coupe de France, où ils échouent 6 à 3 contre leur voisins de Lourdes.Entre 1952 et 1963, les Tarbais n'accèdent plus aux demi-finales. En 1964, ils arrivent en demi-finales, mais sont battus par l'AS Béziers, 3-0. En 1965, ils gagnent le Challenge Antoine Béguère en battant Pau 6 à 3. Il fallut attendre 1968 pour voir les voir atteindre à nouveau les demies. Ils perdirent face au FC Lourdes, 15-6. En 1968, le Stado est de nouveau finaliste du Challenge Antoine Béguère. Ils échouent ce coup-ci 24 à 14. L'année suivante, en championnat, ils perdent 8-9 face au Stade rochelais. En 1970, ils sont éliminés en seizièmes de finale par le RC Vichy. Ils obtiennent le même résultat l'année suivante, mais c'est le Stade montois qui va les battre. Le Stadoceste perd contre le RC Narbonne en 1972, en huitièmes de finale.
En 1973, ils conquièrent un nouveau Brennus en s'imposant contre Dax (18-12) en finale et après avoir triomphé de la poule 6. Ils n'avaient plus accédé aux demi-finales depuis 1968. L'année suivante, en 1974, ils accèdent aux quarts de finale. Ils échouent ce coup-ci 16-9 contre le RC Narbonne.
Entre leurs deux finales de championnat (1973 et 1988), les Tarbais n'ont jamais accédé aux demi-finales.
En 1978, ils gagnent le Challenge Antoine Béguère contre le RC Toulon, 25-0. En 1984 et en 1985, ils sont finalistes de cette épreuve, la première fois contre le Stade toulousain, et la seconde fois contre le Castres olympique. Pour le Championnat en 1988, le Stado est en finale, mais échoue contre Agen (9-3). Il s'agit de la dernière édition où les Tarbais se qualifient pour les demi-finales. L'année suivante, ils sont éliminés par le SU Agen en quarts de finale. En 1990, ils ne sortent pas de la poule 4. L'année suivante, ils sont éliminés par Bordeaux-Bègles, futur vainqueur de la compétition, en quarts de finale (8 à 19). En 1992, ils disputent les quarts face à Toulon, le futur champion. Les prolongations se terminent sur le score de 30 à 30, mais Toulon l'emporte au nombre d'essais marqués, 2 essais à 1.
Leur dernier titre sous le nom de "Stadoceste tarbais" remonte à 1994 et un Challenge Antoine Béguère remporté contre le FC Lourdes, 12 à 9[2]. Cette année, ils n'arrivent pas dans le Top 16, tout comme en 1995. C'est ce qui marqua la fin de l'histoire du Stadoceste tarbais en 1re division.
Fusion avec le CA Lannemezan |
Mais, à la fin des années 1990, le passage au professionnalisme du rugby français pose un sérieux problème aux clubs de Bigorre et en particulier au Stadoceste qui est en chute dans les profondeurs des championnats amateurs.
Sous l’impulsion du conseil général des Hautes-Pyrénées qui, afin de ne pas disperser ses ressources, souhaite voir s’implanter un seul grand club en Bigorre, le projet de créer un club départemental regroupant les forces de deux clubs ou plus voit le jour. Le projet s’accélère lorsque le CA Lannemezan accède à la Pro D2 en 2000 car ses finances ne lui permettent pas de tenter l’aventure professionnelle. La Ligue nationale de rugby bloquerait en effet à coup sûr la montée. La fusion avec le Stadoceste, Tarbes étant distante de 35 km, est mise sur la table. Les Tarbais sont enthousiastes, les Lannemezanais beaucoup moins, au point que le conseil d’administration du club rejette à 73 % le projet en mai 2000. Le FC Lourdes et le Stade bagnérais, contactés également, refusent l’association, craignant de voir leur identité se dissoudre définitivement dans une entité risquant d’être dominée par le club de la préfecture, à Tarbes.
Mais le conseil général des Hautes-Pyrénées fait pression pour provoquer le regroupement qui lui éviterait de disperser son soutien. Il trouve un partisan de la fusion dans le président du CAL, Jacques Tarrène, chef d’entreprise, principal sponsor de fonds du club, persuadé que Lannemezan, 6 000 habitants, ne pourrait jamais viser plus haut sans elle. Malgré une grande tension au sein du club, le CA Lannemezan est maintenu en Pro D2, à condition qu’il fusionne avec le Stado.
Le 3 août 2000 est signé, à Tarbes, le protocole de fusion entre les deux clubs. Une SEMOS (société d’économie mixte à objet sportif) est créée, sous le nom de LT65 (Lannemezan Tarbes Hautes-Pyrénées). Le CAL, le Stado, ainsi que le conseil général et les villes de Tarbes et de Lannemezan entrent dans le capital, tout comme plusieurs entreprises privées. Le président Jacques Tarrène dit avoir suivi l’exemple des basketteurs de l’Élan Béarnais Pau-Orthez qui avaient quitté la petite ville d’Orthez pour Pau où il a trouvé les moyens de ses ambitions.
Le problème du maillot est vite réglé, les deux équipes jouant en rouge et blanc. Les matches ont lieu alternativement à Tarbes et à Lannemezan, mais des problèmes de structures mettent rapidement fin à cette alternance pour privilégier le stade Trélut de Tarbes. Malgré de belles affluences (environ 4 000 spectateurs de moyenne), le CAL se sent marginalisé ainsi que le montre la dénomination du club à partir de 2002, TPR (Tarbes Pyrénées rugby).
« Nous sommes les plus grands cocus du rugby professionnel. En fusionnant, la ville de 6 000 habitants a perdu son âme. Le stade ne servait plus à rien ; plus personne n’y jouait, tout avait été transféré à Tarbes, même l’école de rugby. Le dimanche, tout était mort, les cafés restaient fermés. » (Jean-Louis Fourcade, président du CAL) C’est pourquoi en 2003, les Lannemezanais quittent le TPR et recréent l’équipe première du CAL qui repart en Fédérale 3 et remonte en Fédérale 1 en 2005. Jacques Tarrène, mécène du rugby bigourdan, était disposé à éponger une dette de 90 000 € du CAL mais, malheureusement, Jean-Louis Fourcade crut bon d'attaquer sur le plan juridique la SEMOS pour récupérer une somme due au titre des cotisations salariales. Le dénouement tombe en mars 2008 et le CAL est condamné à rembourser au TPR la somme de 71 000 €cette dette sera finalement abandonnée par la volonté de Jacques TARRENE. Notons quand même qu'au terme de cette fusion finalement avortée, les 2 clubs (Tarbes et Lannemezan) vivent bien leur désamour. Si tout le monde du rugby Bigourdan s'accorde à dire que c'est à Tarbes (préfecture des Hautes-Pyrénées et commune principale pour ce qui est de la population) que peut se développer le rugby professionnel, tout le monde s'accorde aussi pour souligner que Lannemezan a été le principal moteur du département lors des premiers pas du rugby professionnel. À ce titre, le CA Lannemezan qui évolue en fédérale 1 (3e niveau national) est apprécié pour ses valeurs, pour sa ténacité à former, pour ses résultats valeureux au point même d'avoir fait une pige d'une saison en Pro D2. Désormais, Tarbes Pyrénées rugby et le Cercle amical lannemezanais ont aplani leurs différents et savent que l'un sans l'autre, aucun ne vivra bien longtemps dans sa division (Pro D2 pour le TPR et Fédérale 1 pour le CA Lannemezan).
Tarbes Pyrénées rugby |
Depuis la création du TPR, le club est toujours resté en Pro D2 (Le TPR enchaine sa quinzième saison consécutive à ce niveau ce qui est un record) avec notamment des phases finales lors de la saison 2002-2003 mené par un certain Aubin Hueber. Cette année-là, les Tarbais arrivent en finale après avoir gagné contre Brive en demi-finales, 13-22. Ils perdent finalement contre Montpellier en finale d'accession pour le Top 16, sur le score de 25-21 (AP) malgré la botte du Néo Zélandais Warren Burton.
La saison 2005-2006 devait être l'année de la montée pour le TPR qui avec un budget élevé et un recrutement très conséquent (Petre Mitu, Sébastien Laloo, Matt Priscott en figures de proue) voulait joueur les premiers rôles. Hélas, l'équipe déçoit à nouveau en terminant à la 6e place à deux points du 5e Auch. En outre, à la fin de la saison, la DNACG prononce la rétrogradation financière du club en fédérale 1. Le déficit est comblé et le tpr est repêché mais cette fin de saison a marqué le déclin du club pendant quelque temps.
En 2008, ils remportent le Trophée de Bigorre, compétition opposant le TPR à Auch, Colomiers et Lannemezan. Les saisons 2006-2007 et 2007-2008 sont des années de transition pour le TPR qui peine à retrouver son ambition n'assurant son maintien que lors des ultimes journées. La situation financière du club est également surveillée de très près et le TPR fait figure de mauvais élève dans ce domaine. La saison 2008-2009 donne de l'espoir aux supporters puisque le TPR se classe 7e du championnat.
Lors des saisons 2010-2011 et 2011-2012, les tarbais terminent à la 12e place malgré un effectif de qualité avec des joueurs comme Vereniki Goneva ou Malakai Bakaniceva venus renforcer les rangs tarbais. C'est à partir de cette époque que les finances du club ont été stabilisées.
La saison 2012-2013 est marquée par l'arrivée d'un nouveau duo d'entraîneurs, Pierre-Henry Broncan, ancien entraîneur de Colomiers, et Nicolas Nadau, nouvel entraîneur des avant du TPR, qui entraînait jusqu'alors Carcassonne. Ils ont remplacé Philippe Bérot, entraîneur au club depuis 2008, et Razvan Mavrodin, qui entraînait le club depuis 2009 après y avoir joué. De nombreuses recrues arrivent principalement de Fédérale 1[3]. Cette année là, les tarbais arrivent à la 6e place du championnat. Ils terminent à deux points d'Aurillac, premier qualifié. L'ailier Tongien Vungakoto Lilo finit co-meilleur marqueur du championnat avec 15 essais. C'est l'année du renouveau pour le TPR après plusieurs saisons décevantes.
La saison 2013-2014 est une nouvelle réussite pour le TPR ce qui montre la volonté du club d'intégrer le haut du tableau durablement. Cette année là, le TPR termine à la 6e du championnat avec 80 points ne cédant qu'une seule fois à domicile contre le voisin palois et en battant les grosses écuries que sont Lyon, La Rochelle et Agen. Finalement, il termine à 6 points du 5e Narbonne. Durant cette saison, le TPR a pratiqué un rugby très alléchant en témoigne ses 56 essais inscrits ce qui en fait la 5e attaque du championnat glanant au passage cinq bonus offensifs. L'inter saison est marquée par le départ de Pierre-Henry Broncan pour Bordeaux Bègles et l'arrivée de l'entraîneur de Tyrosse Frédéric Garcia.
Le club a enchainé six victoires consécutives, record du club depuis 2000.
Pour la saison 2014-2015, un recrutement prestigieux est effectué avec les arrivées des internationaux Nicolas Vergallo, Jérôme Schuster entre autres. Le club veut franchir un nouveau palier dans ce championnat et accrocher une place en demi-finale. Mais la tâche s'annonce difficile avec les relégués Perpignan (USAP) et Biarrtiz (BO) sans oublier les promus Montauban et Massy.
Le 23 octobre 2015, on apprend que le club connaît de graves difficultés financières dues à des malversations d'un vice président avec qui le club est toujours en procédure[4]. Le déficit est de 1,6 million d'euros[5] (pour un budget de 4,5 millions[6]). Le 24 novembre, la Ligue nationale de rugby annonce les très lourdes sanctions prises par le Conseil supérieur de la DNACG (Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion) à l'encontre du club. Le TPR se voit retirer 15 points pour la saison en cours (5 pour « forte dégradation de la situation financière » et 10 pour « présentation de documents falsifiés »). De plus, il fera l'objet d'une rétrogradation administrative en fin de saison :
- s'il parvient à se qualifier sportivement en dépit des 15 points retirés, il descendra en Fédérale 1 ;
- s'il est relégué sportivement, il descendra en Fédérale 2[7].
En appel, le 25 janvier 2016, la rétrogradation est confirmée. En revanche, le retrait de points est ramené de 15 à 8[8]. Le club saisit alors le tribunal administratif de Versailles. Celui-ci, le 9 mai, confirme les sanctions : rétrogradation administrative et retrait de 8 points[9].
Le TPR sauve sa peau sportivement en ne finissant pas dans la zone de relégation malgré leur retrait de points, mais descend en Fédérale 1 à la suite de leur déficit et de leurs nombreux problèmes financiers. Le club se retrouve dans la poule d'accession de la Fédérale 1 avec les autres grosses écuries comme le FC Auch, l'USO Nevers, le RC Massy, l'US bressane et parvient à terminer 4e de cette poule relevée. Toutefois la FFR indique en avril 2017 que le Tarbes PR est relégué en Fédérale 2, pour la saison 2017-2018, pour raisons financières[10],[11]. La rétrogradation est finalement annulée, et le club est autorisé à jouer de nouveau en poule "élite"[12]. Nicolas Escouteloup est choisi comme nouvel entraîneur des avants du TPR en remplacement de Marc Dantin, parti pour Colomiers[13].
Stado Tarbes Pyrénées rugby |
Lors d'une conférence de presse tenue le 10 juillet 2017, la nouvelle identité du club est dévoilée : il porte désormais le nom Stado Tarbes Pyrénées rugby, en référence au nom historique du club, le Stadoceste tarbais[14].
Identité visuelle |
Couleurs et maillots |
Logo |
En parallèle du changement d'identité du club en 2017[14], le logo alors en vigueur est réadapté pour faire apparaître le nouveau nom.
Logo du Tarbes Pyrénées rugby jusqu'en 2017.
Logo du Stado Tarbes Pyrénées rugby depuis 2017.
Palmarès |
Détail du palmarès |
- Compétitions nationales
Championnat de France :
- Champion (2) : 1920, 1973
- Vice-champion (3) : 1914, 1951, 1988
- Champion (2) : 1920, 1973
- Compétitions nationales disparues
Coupe de France :
- Finaliste (1) : 1951
- Finaliste (1) : 1951
Coupe de l'Espérance :
- Vainqueur (1) : 1919
- Vainqueur (1) : 1919
- Autres compétitions
Challenge Antoine Béguère :
- Vainqueur (3) : 1965, 1978, 1994
- Finaliste (3) : 1968, 1984, 1985
- Vainqueur (3) : 1965, 1978, 1994
- Championnat des Pyrénées :
- Champion (1) : 1910
- Champion (1) : 1910
- Championnat d'Armagnac-Bigorre :
- Champion (4) : 1911, 1912, 1913, 1920, 1921[15]
- Champion (4) : 1911, 1912, 1913, 1920, 1921[15]
- Trophée de Bigorre :
- Vainqueur (2) : 2008, 2010
- Vainqueur (2) : 2008, 2010
- Compétitions de jeunes
Coupe Frantz-Reichel :
- Vainqueur (2) : 1939, 1952
- Finaliste (3) : 1954, 1972, 1983
- Vainqueur (2) : 1939, 1952
- Coupe René Crabos :
- Vainqueur (4) : 1951, 1952, 1968, 1970
- Finaliste (2) : 1971, 1974
- Vainqueur (4) : 1951, 1952, 1968, 1970
Les finales du Stadoceste tarbais |
Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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3 mai 1914 | AS Perpignan | 8 - 7 | Stadoceste tarbais | Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse | env. 15 000 |
25 avril 1920 | Stadoceste tarbais | 8 - 3 | Racing club de France | Stade Sainte-Germaine, Le Bouscat | env. 20 000 |
20 mai 1951 | US Carmaux | 14 - 12 ap | Stadoceste tarbais | Stadium municipal, Toulouse | 39 450 |
20 mai 1973 | Stadoceste tarbais | 18 - 12 | US Dax | Stadium municipal, Toulouse | 26 952 |
28 mai 1988 | SU Agen | 9 - 3 | Stadoceste tarbais | Parc des Princes, Paris | env. 48 000 |
Résultats depuis 2000 |
Le tableau suivant récapitule les résultats finaux du TPR depuis 2000.
Depuis sa création en 2000, le TPR devenu Stado tarbais totalise 255 victoires pour 248 défaites.[réf. nécessaire][Quand ?]
Saison | Championnat | Rang | Pts | V. | N. | D. | Phase finale |
---|---|---|---|---|---|---|---|
2000-2001 | Pro D2 | 9e / 12 | 37 | 7 | 1 | 13 | Pas de phase finale (le club s'appelait alors Lannemezan-Tarbes) |
2001-2002 | Pro D2 | 4e / 16 | 72 | 20 | 2 | 8 | Pas de phase finale |
2002-2003 | Pro D2 | 4e / 16 | 69 | 19 | 1 | 10 | Demi-finale : Brive-Tarbes : 13-22 Finale : Montpellier-Tarbes : 25-21 (AP) |
2003-2004 | Pro D2 | 9e / 16 | 57 | 13 | 1 | 16 | Pas de phase finale |
2004-2005 | Pro D2 | 7e / 16 | 79 | 17 | 1 | 12 | Pas de phase finale |
2005-2006 | Pro D2 | 6e / 16 | 84 | 18 | 1 | 11 | Pas de phase finale |
2006-2007 | Pro D2 | 13e / 16 | 56 | 12 | 0 | 18 | Pas de phase finale |
2007-2008 | Pro D2 | 14e / 16 | 45 | 8 | 1 | 21 | Pas de phase finale |
2008-2009 | Pro D2 | 7e / 16 | 73 | 15 | 1 | 14 | Pas de phase finale |
2009-2010 | Pro D2 | 10e / 16 | 70 | 14 | 0 | 16 | Pas de phase finale |
2010-2011 | Pro D2 | 12e / 16 | 62 | 13 | 1 | 16 | Pas de phase finale |
2011-2012 | Pro D2 | 12e / 16 | 61 | 13 | 0 | 17 | Pas de phase finale |
2012-2013 | Pro D2 | 6e / 16 | 80 | 17 | 1 | 12 | Pas de phase finale |
2013-2014 | Pro D2 | 6e / 16 | 80 | 17 | 1 | 12 | Pas de phase finale |
2014-2015 | Pro D2 | 12e / 16 | 62 | 13 | 2 | 15 | Pas de phase finale |
2015-2016 | Pro D2 | 13e / 16 | 53 | 13 | 0 | 17 | Pas de phase finale |
2016-2017 | Fédérale 1 | 4e / 11 | 56 | 10 | 2 | 8 | Pas de phase finale |
2017-2018 | Fédérale 1 | 7e / 11 | 41 | 8 | 0 | 12 | Demi-finale[Note 3] : Bourg-en-Bresse-Tarbes |
Rivalités |
Tarbes partage une rivalité avec le FC Auch Gers dans le derby régional pour un classique du championnat de France[16].
Après une domination auscitaine jusqu'en 2005, la situation s'est inversée avec six victoires consécutives du TPR dont trois à Auch entre 2008 et 2011. Depuis 2008, le TPR a remporté neuf des douze dernières confrontations.
Autre grande rivalité, avec la Section Paloise, 40 km séparent les deux villes et ce derby déchaîne les passions en Béarn et Bigorre. Le TPR et la Section paloise détiennent le record du nombre de confrontations se soldant par un point d'écart:
Section paloise-TPR saison 2008-2009: 12-11 ;- TPR-Section paloise saison 2008-2009: 23-22;
- TPR-Section paloise saison 2009-2010: 21-22;
Section paloise-TPR saison 2009-2010: 16-15;- TPR-Section paloise saison 2010-2011: 21-22;
Section paloise-TPR saison 2010-2011: 24-27;- TPR-Section paloise saison 2011-2012: 18-17;
Section paloise-TPR saison 2011-2012: 28-27.
Également, la fusion ratée avec le CA Lannemezan renforce la rivalité entre les deux clubs. Bien qu'ils ne soient plus dans la même division, la saison 2009-2010 de Pro D2 a vu les deux clubs s'affronter, se soldant par une victoire partout. Au cours de cette saison là, c'est bien sûr la victoire du CA Lannemezan à Tarbes qui aura un retentissement phénoménal devant plus de 10 000 spectateurs à Trélut (dont près de 2 000 supporters Lannemezanais). Ce fut une victoire d'autant plus belle pour le CA Lannemezan en terre Tarbaise qu'elle était inattendue, sur la pelouse du club qui avait été "heureux" de fusionner pour que vive encore le rugby à Tarbes.
Personnalités du club |
- Joueurs emblématiques du Stadoceste tarbais
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- Joueurs emblématiques du Tarbes Pyrénées rugby
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Le club en chiffres |
Joueurs ayant fait le plus de matches au Tarbes Pyrénées rugby |
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Meilleurs réalisateurs du club |
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Meilleurs marqueurs du club |
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Plus larges victoires |
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Plus larges défaites |
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Record d'essais sur un match |
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Record de points sur un match |
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Effectif 2018-2019 |
Nom | Poste | Mensurations | Naissance | Nationalité sportive | Sélections (points marqués) | Dernier club | Arrivée au club (année[Note 4]) |
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Jérémy Haurie | Pilier | 1,76m-116kgs | 24/05/1987 | France | Football Club Oloronais | 2018 | |
Nikoloz Kazalikashvili | Pilier | 1,82m-113kgs | 10/07/1993 | Géorgie | - | Sporting Club Tulle Corrèze | 2017 |
Maxime Escur | Pilier | 1,75m-117kgs | 31/08/1988 | France | - | Stade aurillacois Cantal Auvergne | 2018 |
Fabien Vial | Pilier | 1,85m-117kgs | 31/05/1995 | France | - | Oyonnax rugby | 2018 |
Alexandre Duny | Pilier | 1,90m-125kgs | 21/09/1993 | France | - | Formé au club | 2016 |
Clément Lafon | Pilier | 1,80m-110kgs | 25/06/1993 | France | - | Football Club Oloronnais Rugby | 2017 |
Manso Gonzalo | Talonneur | 1,80m-106kgs | 04/05/1990 | Argentine | - | La Teste Bassin d'Arcachon | 2017 |
Mathieu Bonnot | Talonneur | 1,76m-97kgs | 27/07/1994 | France | - | Avenir Castanéen rugby | 2018 |
Thomas Camy | Talonneur | 1,80m-100kgs | - | France | - | Section Paloise | 2018 |
James Percival | Deuxième ligne | 1,96m-120kgs | 9/11/1983 | Angleterre | - | FC Grenoble | 2016 |
Charles Ferré | Deuxième ligne | 1,96m-115kgs | - | France | - | Sporting Club Rieumois | 2018 |
Domec Pierre | Deuxième ligne | 1,93m-112kgs | 9/07/1998 | France | - | Club athlétique Brive Corrèze Limousin | 2018 |
Michael Lacroix | Deuxième ligne | 1,96m-116kgs | 04/07/1987 | France | - | Football Club Auch Gers | 2017 |
David Bonnecarrère | Troisième ligne | 1,86m-100kgs | 15/04/1989 | France | - | Stade bagnérais | 2016 |
Alexis Armary | Troisième ligne | 1,92m-105kgs | 01/04/1995 | France | - | Formé au club | 2014 |
Masson Cohen | Troisième ligne | 1,86m-106kgs | 10/04/1990 | Australie | - | Rugby Club Strasbourg | 2018 |
Albain Méron | Troisième ligne | 1,90m-108kgs | 18/03/1994 | France | - | Union sportive dacquoise | 2018 |
Abat Benjamin | Troisième ligne | 1,90m-96kgs | - | France | - | Football club lourdais XV | 2018 |
Maxime Capbernet | Troisième ligne | 1,89m-105kgs | - | France | - | Formé au club | 2018 |
Alexandre Loustaunau | Demi de mêlée | 1,75m-75kgs | 29/01/1993 | France | - | Biarritz Olympique | 2018 |
Jean-Baptiste Claverie | Demi d'ouverture | 1,80m-92kgs | 17/01/1990 | France | - | RC Vannes | 2016 |
Antoine Frisch | Demi d'ouverture | 1,76m-92kgs | 1/06/1996 | France | - | Stade français Paris Rugby | 2018 |
Adérito Esteves | Ailier | 1,94m-102kgs | 08/10/1985 | Portugal | 20 (45) | CA Saint-Étienne | 2016 |
Morgan Rubio | Ailier | 1,78m-92kgs | 12/10/1991 | France | - | Formé au club | 2011 |
Sionasa Vunisa | Centre | 1,80m-100kgs | 19/08/1988 | Fidji | 1 (0) | Stade montois | 2015 |
Jonathan Brethous | Centre | 1,75m-90kgs | 03/06/1991 | France | - | Stade Olympique Chambérien Rugby | 2017 |
Mathieu Berbizier | Arrière | 1,75m-83kgs | 15/09/1996 | France | - | Union sportive arlequins perpignanais | 2018 |
William Pees | Arrière | 1,90m-90kgs | 06/08/1993 | France | - | Association Sportive Maconnaise | 2017 |
Dirigeants du club |
Liste des entraineurs |
2001 - 2002 : Roland Pujo et Alex Martinez
2002 - Février 2003 : Roland Pujo et Daniel Santaman
- Février 2003 - 2003 : Alex Martinez et Daniel Santamans
2003 - Février 2004 : Alex Martinez et Jean-Charles Laran
- Février 2004 - 2006 : Jean-Louis Luneau et Francis Léta
2006 - Février 2008 : Philippe Carbonneau et Frédéric Torossian
- Février 2008 - 2008 : Christian Martinez et Philippe Bérot
2008 - 2009 : Frédéric Bodin et Philippe Bérot (manager général : Christian Martinez)
2009 - 2012 : Philippe Bérot et Razvan Mavrodin
2012 - 2014 : Pierre-Henry Broncan et Nicolas Nadau
2014 - 2016 : Frédéric Garcia et Nicolas Nadau
2016 - 2017 : Marc Dantin et Mickaël Etcheverria
2017 - 2018 : Nicolas Escouteloup et Mickaël Etcheverria
- A partir de 2018 : Yannick Vignette et Mickaël Etcheverria
Staff actuel |
- Entraineurs principaux: Yannick Vignette et Mikaël Etcheverria
- Préparateurs physiques: Fabien Dionèse et Bertrand Cazamayou
- Staff médical: Bernard Zabotto, Karim Anani, Jean Jacques Rossel
- Kinésithérapeutes: Mathieu Delmas
- Vidéo et site internet: Hervé Cazcarra
- Analyse vidéo: Mickael Etcheverria
Présidents successifs |
- Stadoceste tarbais
1907-1945 : Jules Soulé
1946-1947 : Joseph Fouriscot- 1947 : Paul Dubroca
1948 : René Mailhet
1949-1954 : Henri Mathelie
1954-1957 : Marcel Clément
1957-1974 : Raymond Castells
1974-1981 : Robert Puyo
1982-1986 : Pierre Gassan
1986-1998 : Georges Danglade
1999 : Jean Ducasa
- Tarbes Pyrénées Rugby
2000-2007 : Jacques Tarenne
2007-2009 : Jean Ducasa
2009-2011[1] : Laurent Guétard
2011-2013 : Jean Pierre Davant
2013-2018 : Antoine Nunès
- Stado Tarbes-Pyrénées Rugby
2018 - : Lionel Terré
Infrastructures |
Stade |
Le TPR évolue au stade Maurice-Trélut qui compte 15 000 places. Le stade compte 7 500 places assises et 7 500 places de pesage. Ce nom a été donné au stade en référence à un ancien maire de Tarbes, Maurice Trélut (1881 - 1944), qui fut également joueur au club et premier président du comité Armagnac-Bigorre en 1912. Le stade fut, quant à lui, construit en 1969 et ouvert le 5 janvier de cette même année. Il servit du temps du Stado jusqu'à sa fusion avec Lannemezan. Un projet viserait par ailleurs à construire un nouveau stade, d'une capacité de 12 000 places, et à supprimer la piste d'athlétisme, pour plus de proximité avec les joueurs.
Le stade a déjà accueilli un match du XV de France, le 26 octobre 1997. Ce jour-ci, les Bleus l'emportèrent 32-27 face à l'équipe d'Argentine.
Le 20 octobre 2012, il y fut instauré une nouvelle boutique. Le 14 mars 2014, une nouvelle salle de musculation moderne est inaugurée au stade Maurice-Trélut. L'espace réception a été entièrement rénové afin de mieux accueillir le public et les partenaires. En outre, Le club dispose d'un terrain synthétique sur le site du stade Maurice-Trélut et de la piscine Paul-Boyrie à proximité du stade.
le 3 février 2014, Tarbes a accueilli la rencontre du Tournoi des Six Nations des moins de 20 ans opposant l'Irlande et la France. L'enjeu du match était le grand chelem pour le XV de France qui s'est imposé face aux Irlandais. Il y avait ce soir là 12 500 spectateurs au stade.
Meilleures affluences depuis la création du TPR |
- TPR-FC Auch Gers 2006-2007 score: 21-25. 10 000 spectateurs environ
- TPR-RC Toulon saison 2007-2008 score: 34-37. 9 500 spectateurs environ.
- TPR-Section paloise 2014-2015 score: 23-23. 9 500 spectateurs.
- TPR-Section paloise 2008-2009 score: 23-22. 8 448 spectateurs.
- TPR-US Dax 2005-2006 score: 20-8. 8 300 spectateurs environ.
- TPR-Section paloise 2013-2014 score: 9-12. 8 000 spectateurs environ.
Cette saison[Quand ?], l'affluence moyenne s'élevait à 3 650 spectateurs de moyenne.
Centre de formation |
Le centre de formation du TPR prend en charge les jeunes joueurs (entre 17 et 23 ans) et est chargé de les faire accéder à l'effectif professionnel du club. Il est classé en catégorie 1 au même titre que les grands clubs français. Il a vu éclore des joueurs de talent faisant ou ayant fait le bonheur de leurs clubs: Sébastien Fauqué,luc lafforgues , Marc Baget, Florian Cazenave, Olivier Azam, Thomas Soucaze, Fabien Fortassin, Alexandre Barozzi, Loïc Bernad, Christophe André, Jérémy Hurou, Teddy Iribaren, Thierry Lacrampe, Nicolas et Julien Laharrague.
Les Reichels du TPR remportent trois fois cette coupe, en 1939 contre Bordeaux-Bègles (3-0), et en 1952 contre Romans (6-3). Ils furent deux fois finalistes, en 1954 contre le Racing club de France (9-0), et en 1972 contre Perpignan.
En Coupe René-Crabos, les -17 ans du TPR furent quatre fois vainqueurs grâce à un doublé en 1951 (contre l'US Romans, 8-6) et en 1952 (contre l'USA Perpignan, 17-8), puis des victoires en 1968 contre Bordeaux-Bègles (19-0), et en 1970 contre La Rochelle (17-6). Ils furent finalistes en 1971 contre Torreilles (6-5) et en 1974 contre Romans (14-6).
Évolution économique |
Avec un montant de 4,99 millions d'euros pour la saison 2013-2014, le tpr avait le 7e budget de la division.
Entre 2002 et 2006, le budget avoisinait les 4 millions d'euros ce qui le plaçait dans les trois premiers de la division mais avec l'explosion des budgets dans le monde professionnel, les villes moyennes comme Tarbes ont peiné à l'augmenter. Le club essaie de mobiliser le maximum de partenaires autour du club mais il est difficile de rivaliser face aux budgets monstrueux des équipes de têtes : Agen (8,3M), Pau (8M), Biarritz (12M) et Perpignan (13M).
Depuis la descente en Fédérale 1 en 2016, le budget s'établit autour de 2M d'euros. Le club peine à trouver des partenaires notamment au plan local.
La section féminine |
Couleurs | Rouge et blanc |
---|---|
Championnat actuel | Élite 1 |
Entraîneur | Laurent Abadie Philippe Mallet |
Site web | stadotpr.com/feminines |
Maillots
Domicile | Extérieur |
Actualités
Pour la saison en cours, voir :
Championnat de France féminin de rugby à XV 2018-2019
Le Stado Tarbes Pyrénées rugby a également une section féminine dont l'équipe sénior évolue depuis 2018 en 1re division.
En 2018, suite à la réorganisation des divisions féminines et le passage de la 1re division de 8 à 16 clubs, le Stado Tarbes Pyrénées rugby intègre l'Élite 1.
Notes et références |
Notes |
Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
Les douze clubs sont Bayonne, Bordeaux, Lyon, le Stade Français, Pau, Perpignan, Toulouse, Biarritz, Grenoble, Carcassonne, Limoges et Nantes.
Seuls 5 clubs remplissent les critères d'accession en Pro D2, dont Provence rugby, qui accède directement à la Pro D2 ; Chambéry (5e) et Valence Romans (6e) ne pouvant y prétendre, Tarbes récupère le 4e ticket pour la phase finale.
Pour les joueurs formés au club année de leur première apparition en équipe pro
Références |
« Tarbes Pyrénées: les finales du Stadoceste tarbais », sur www.finalesrugby.com (consulté le 12 novembre 2012)
« Les finales des championnats de France », sur www.finalesrugby.com (consulté le 17 novembre 2012)
« Tarbes : le staff dévoilé, huit recrues officialisées », sur www.rugbyrama.fr, 31 mai 2012(consulté le 6 avril 2013)
« Tarbes en grand péril », sur lequipe.fr, 29 octobre 2015 (consulté le 24 novembre 2015).
« Tarbes rétrogradé en fin de saison », sur lequipe.fr, 24 novembre 2015 (consulté le 24 novembre 2015).
Sylvain Labbe, « Tarbes : un trou financier supérieur au million d'euros ? », sur sports.fr, 28 octobre 2015 (consulté le 24 novembre 2015).
AFP, « Tarbes écope d'un retrait de 15 points et d'une rétrogradation », sur francetvsport.fr, 24 novembre 2015 (consulté le 24 novembre 2015).
« Tarbes, rétrogradation administrative confirmée », sur lequipe.fr, 25 janvier 2016 (consulté le 25 janvier 2016).
Fabrice Valery, « La justice confirme la rétrogradation de Tarbes en Fédérale 1 », sur france3-regions.francetvinfo.fr, 9 mai 2016 (consulté le 12 mai 2016).
Tarbes relégué en Fédérale 2 pour raisons financières
Communiqué du TPR en date du 25 avril 2017
« Le TPR réintégré en fédérale 1 élite », sur www.ladepeche.fr, 16 juin 2017 (consulté le 26 juin 2017)
« Escouteloup prend les rênes du TPR », sur www.ladepeche.fr, 21 juin 2017 (consulté le 26 juin 2017)
Ronan Planchon, « Le retour du Stado », sur www.ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, 11 juillet 2017(consulté le 15 juillet 2017).
Le Miroir des sports, 29 décembre 1921 (p.414).
« Pro D2. Agen-Auch : petit goût de derby », sur www.ladepeche.fr (consulté le 16 avril 2013)
Annexes |
Articles connexes |
- CA Lannemezan
Bibliographie |
Tarbes, le rugby en rouge et blanc, de Jean-Paul Rey, coll. Sports 2000, éd. Solar, 1973.
Liens externes |
- Site officiel
- Forum des supporters
- Site sur le Stadoceste tarbais
- L’Humanité
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