Courpière

























































































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Courpière
Mairie de Courpière, fin 2011.

Blason de Courpière
Héraldique

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Auvergne-Rhône-Alpes

Département

Puy-de-Dôme

Arrondissement

Thiers

Canton

Les Monts du Livradois

Intercommunalité

Communauté de communes Thiers Dore et Montagne

Maire
Mandat
Christiane Samson
2014-2020

Code postal
63120

Code commune
63125
Démographie

Gentilé
Courpièrois

Population
municipale
4 234 hab. (2015 en diminution de 5,09 % par rapport à 2010en diminution)
Densité 133 hab./km2
Géographie

Coordonnées

45° 45′ 21″ nord, 3° 32′ 19″ est

Altitude
Min. 297 m
Max. 542 m

Superficie
31,82 km2
Localisation


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Courpière





Liens

Site web

ville-courpiere.fr


Courpière est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme et la région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est adhérente du parc naturel régional Livradois-Forez.


Peuplée d'environ 4300 habitants, Courpière s'impose comme une ville majeure du Parc Naturel Régional Livradois Forez et plus largement de la Vallée de la Dore.


Chef lieu d'un canton rural, Courpière est en effet un centre économique local majeur notamment dans les secteurs de l'emballage carton ou bois, le transport, l'installation électrique, la plasturgie, le travail du métal ou encore dans le domaine des services.


Ville historiquement liée à la culture et à la paysannerie puis au commerce, Courpière conserve un centre médiéval de charme relativement bien conservé.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


      • 1.1.1 Lieux-dits et écarts


      • 1.1.2 Communes limitrophes




    • 1.2 Voies de communication et transports


      • 1.2.1 Voies routières


      • 1.2.2 Ligne ferroviaire


      • 1.2.3 Transport en commun






  • 2 Histoire


  • 3 Politique et administration


    • 3.1 Tendances politiques et résultats


    • 3.2 Administration municipale


    • 3.3 Liste des maires


    • 3.4 Jumelages




  • 4 Population et société


    • 4.1 Démographie


    • 4.2 Enseignement




  • 5 Culture locale et patrimoine


    • 5.1 Lieux et monuments


      • 5.1.1 Patrimoine religieux


      • 5.1.2 Patrimoine civil




    • 5.2 Patrimoine naturel


    • 5.3 Personnalités liées a la commune


    • 5.4 Héraldique




  • 6 Archives


  • 7 Divers


  • 8 Annexes


    • 8.1 Articles connexes


    • 8.2 Liens externes




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références







Géographie |



Localisation |


Le centre ville est situé à environ 4 km de Néronde-sur-Dore, et à 10 km de Thiers. La commune de Courpière couvre une superficie d'environ 32 kilomètres-carrés et s'organise selon la forme "de deux poumons". Le centre-bourg se trouve à l'intersection entre une première zone de la commune recouvrant le secteur de Roddias et du Mégain (en direction d'Aubusson d'Auvergne), une seconde zone recouvrant les villages de la Bessière, Courtesserre ou le Château (en direction de Saint Flour), et enfin une dernière partie se dirigeant en direction de Néronde-sur-Dore et portant les villages de Limarie ou de la Sagne.


Cette forme se traduit par la présence au centre d'une partie de la commune de Sauviat, village voisin dont une grande partie de la population réside en réalité dans des zones limitrophes au centre-bourg de Courpière.




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Lieux-dits et écarts |




Puissauve.



  • Par la route de Lezoux : Barbette, Limarie, Liche, Bonnencontre, Bellime

  • Par la route de Vollore-Ville : Puissauve, Le Bouchet, Les Quatre Vents

  • Par la route de Trézioux : Courtesserre, Le Pan de Nuit, Le Château, Laudan, Chamerlat, La Bouchisse, Les Bâtisses

  • Par la route de Thiers : La Vaure, Le Moulin de l'Isle, Tarragnat, La Sagne

  • Par la route d'Aubusson d'Auvergne : Le Chambon, Le Salet, Roddias, Le Mégain, Pugnat, La Mine

  • Par la route d'Escoutoux : Le Moulin du Sucre, La Barge, Paris les Bois, Fermouly, Saint-Jean du Barry

  • Par la route d'Ambert : Le Montel, Las Thioulas



Communes limitrophes |


Neuf communes sont limitrophes[1] :






















Communes limitrophes de Courpière

Néronde-sur-Dore

Escoutoux

Vollore-Ville

Sermentizon
Courpière
Aubusson-d'Auvergne

Trézioux, Saint-Flour

Sauviat

Augerolles



Voies de communication et transports |



Voies routières |




Panneau type d'entrée d'agglomération.


Courpière est traversée par la route départementale 906 (axe Le Puy-en-Velay – Thiers – Vichy). D'autres départementales traversent cette commune[1] :



  • la D 7 (vers Trézioux et Vollore-Ville), il existe une antenne, la D 7b ;

  • la D 41 (vers Augerolles) ;

  • la D 58 (vers Escoutoux et Saint-Flour) ;

  • la D 152 (vers Sermentizon) ;

  • la D 223 (vers Lezoux) ;

  • la D 304 (vers Sauviat puis Domaize).


Avant les déclassements de 1972, la route départementale 906 était dénommée « Route nationale 106 ». Véritable poumon routier[non neutre] de l'est du département du Puy-de-Dôme, la RD 906 est fréquentée par 8 000 véhicules par jour.[réf. nécessaire]



Ligne ferroviaire |


Courpière possède une gare, fermée depuis 1988 sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Darsac. Cette ligne est en grande partie déclassée.


La gare n'existe plus sous cette forme et est rénovée pour accueillir un cabinet médical.


Jusqu'à l'été 2016, la ligne ferroviaire était utilisée selon deux usages : un train touristique circulait entre Courpière et Ambert, puis la Chaise-Dieu, et un train de marchandise évoluait entre Courpière et Giroux-Gare (Olliergues), le tout étant organisé par l'association AGRIVAP. Depuis 2016, l'activité touristique est stoppée entre Courpière et Ambert alors que le fret est poursuivi par une entreprise privée.



Transport en commun |


Deux lignes d'autocars TER Auvergne-Rhône-Alpes desservent la commune :















Ligne
Tracé
19
Vichy ↔ Thiers ↔ Courpière ↔ Ambert ↔ Arlanc – Correspondance à Vichy pour Paris ou Lyon[2]
82
Clermont-Ferrand ↔ Thiers ↔ Courpière ↔ Ambert ↔ Arlanc – Correspondance à Pont-de-Dore pour Clermont-Ferrand[3]

Elle est également desservie par quatre lignes du réseau Transdôme[4] :



  • ligne 2 (Arlanc – Ambert – Clermont-Ferrand) ;

  • ligne 7 (Courpière – Neuville) ;

  • ligne 35 (Clermont-Ferrand – Courpière – Pont-de-Dore) ;

  • ligne 84 (Vollore-Montagne – Courpière).



Histoire |


Les découvertes archéologiques opérées sur la commune traduisent une occupation très ancienne des lieux. En effet, la présence d'un guet naturel au niveau du Moulin de l'Isle permet un point de passage de la rivière dès la Préhistoire.


Située sur le passage de la voie romaine Clermont/Lyon, et à proximité de Lezoux, de nombreuses traces persistent sur la commune : le village de Tarragnat fut le siège par le passé d'une domus romaine alors que Bellime (voir l'étymologie) fut un lieu de production de céramique sigillée. En effet, avec la construction du collège de Bellime en 1978, fut découvert l'un des fours gallo-romain les mieux conservé de France (d'ailleurs présenté au Musée de Lezoux)


Quand, aux IXe et Xe siècles, les invasions normandes contraignent les petits locaux à organiser la défense de leurs fiefs, c'est tout naturellement que Curta-Petra (le « court monticule »), une terrasse alluviale située à une douzaine de mètres au-dessus de la vallée de la Dore, à l'endroit où la rivière s'élargit et commence à perdre sa fougue, est choisie pour accueillir la première motte féodale. Courpiere (ou Cropiere) s'enferme derrière une enceinte de remparts, de tours de guet et de fossés remplis d'eau.


En 1130, les Bénédictines s'installent dans la cité pour y créer un couvent dépendant de l'ordre de Cluny. Les taxes qu'elles perçoivent leur permettent de participer à l'agrandissement de l'église.


En 1343, la cité obtient le droit de s'administrer, de s’urbaniser, de lever l'impôt et d'avoir une garnison.


En 1558, elle fait partie des Bonnes Villes de la Basse-Auvergne.


En 1605, le roi Henri IV accorde à la ville, par lettres patentes, la création de 4 foires annuelles et d'un marché hebdomadaire.


Au début du XVIIIe siècle Courpière est une ville-étape sur l'une des routes les plus fréquentée de la région. Cet axe, qui relie Clermont-Ferrand à Lyon est alors régulièrement emprunté par les troupes armées mais aussi par les colporteurs et marchands d'origines diverses.


Courpière est également pourvue d'un riche passé industriel[5] et ce dès le milieu du XIXème siècle, profitant à la fois de la proximité de Thiers (coutellerie) dont elle fut malgré tout détachée. En effet l'arrivée du Chemin de Fer marque l'avènement de l'ère industrielle dans la région, suivit par l'aménagement de la route nationale puis de l'autoroute à Thiers.


Ancienne capitale française de la fraise, Courpière fut pendant longtemps un centre agricole et commercial, notamment grâce aux foires organisées dans la ville.


Entre 1942 et 1944, Courpière fut un centre des chantiers de jeunesse (groupement 44).



Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Puy-de-Dôme.

Courpière, de tradition socialiste et non communiste, connait au niveau municipal une alternance quasi-parfaite depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.



Christiane Samson remporte au premier tour l'élection municipale de 2014 avec 55,74 % des suffrages exprimés. Elle bat André Imberdis. 72,38 % des électeurs ont voté[6].



Administration municipale |


En 2011, Courpière comptait 4 401 habitants[7]. Ce nombre étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27.


La composition du conseil municipal est la suivante[6],[8] :




























Composition du conseil municipal (mandature 2014-2020)
Nuance
Liste
présidée par
Sièges
Statut
Union de la gauche « Courpière active et solidaire » Christiane Samson 21 (10) majorité
Divers droite « Courpière en marche » André Imberdis 6 (3) opposition

Le nombre de sièges entre parenthèses correspond au nombre d'élus au conseil communautaire
de la communauté de communes du Pays de Courpière.



Liste des maires |



























































































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité

Les données manquantes sont à compléter.
1945
mars 1965
Étienne Bonhomme
 
 
mars 1965
mars 1971
Joseph Gardette

PS
 
mars 1971
1976
Jean Payre
 
Fondateur de la SCIE
1976
mars 1977
Jacques Valbroni
 
 
mars 1977
mars 1983
René Journal

PS
 
mars 1983
juin 1995
Pierre Peyronny

UDF
Pharmacien
juin 1995
mars 2001
Francisque Sauzedde

UDF
 
mars 2001
mars 2008
Maurice Zellner

PCF
Directeur commercial à la retraite
mars 2008
2009
Patrice Payre

UMP
Chef d'entreprise
2009
mars 2014
Jean-Noël Serin

UMP
Expert comptable à la retraite
mars 2014
en cours
Christiane Samson

FG[9]
Professeur d'histoire-géographie retraitée - Ancienne ingénieur en urbanisme



Jumelages |



  • Drapeau de l'Allemagne Ruppertsberg (Allemagne).


Population et société |



Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[11].



En 2015, la commune comptait 4 234 habitants[Note 1], en diminution de 5,09 % par rapport à 2010 (Puy-de-Dôme : +2,4 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 407 3 168 3 192 3 424 3 408 3 480 3 592 3 586 3 810



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 799 3 763 3 690 3 602 3 570 3 769 3 973 3 884 3 677



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 665 3 603 3 576 3 469 3 470 3 464 3 633 3 572 3 504



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3 460 3 913 4 338 4 834 4 674 4 612 4 534 4 521 4 341



























2015 - - - - - - - -
4 234 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)



Histogramme de l'évolution démographique





Enseignement |


Courpière dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.


Dans l'enseignement public, les élèves commencent leur scolarité dans l'école maternelle, puis l'élémentaire, gérée par la commune[14]. Ils la poursuivent au collège Bellime, situé dans la commune[14],[15], puis à Thiers, au lycée Montdory pour les secondes des filières générales et technologiques, des premières et terminales des filières générales et STMG, ou au lycée Jean-Zay pour les premières et terminales de la filière STI2D[16].


Dans l'enseignement privé, les élèves effectuent leur scolarité dans l'institution Saint-Pierre (école élémentaire, collège et lycée)[14].



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |



Patrimoine religieux |


Courpière possède une église carolingienne : l'église Saint-Martin qui combine les architectures romane et gothique.




  • Ancien prieuré des Bénédictines du Moyen Âge qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 novembre 1926[17].


  • Église de Courtesserre du XVe siècle qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 8 février 1926[18].


  • Église Saint-Martin qui fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 12 juillet 1886[19].



Patrimoine civil |



  • Le Château de la Barge dont la seigneurie est mentionnée dans les archives dès 1190, avec chapelle du XVIe siècle.


  • Le Château de la Barge du XIIIe: XVIe; XVIIe et XVIIIe siècles qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 3 juin 1975[20].

  • La Gare du Train touristique du Livradois-Forez, exploités par AGRIVAP Les trains de la découverte.


  • Deux maisons, situées 17 place de la Cité du XVe siècle; XVIIIe siècle qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 1988[21].


  • La Maison située 21 place de la Cité du XVe siècle qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 1988[22].


  • La Tour du Maure qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 novembre 1926[23].



Patrimoine naturel |


  • La commune de Courpière adhère au parc naturel régional Livradois-Forez.


Personnalités liées a la commune |




  • Coco Chanel, née Gabrielle Chanel, a vécu quelques années de son enfance à Courpière. Sa mère, Jeanne Devolle, était née à Courpière ; ses parents Albert Chanel et Jeanne Devolle se marient à Courpière le 17 novembre 1884 et à cette occasion reconnaissent leur fille Gabrielle, née à Saumur le 20 août 1883,

  • Jean Couzon, fabricant de couteaux et d'arts de la table en inox, ex no 1 français, dissoute en 2005


  • Raoul Teilhol, fabricant de voitures de type Rodéo…


  • Noël Chamerlat, député au XIXe siècle.



Héraldique |




Archives |



  • Registres paroissiaux et d'état civil depuis :

  • Dépouillements généalogiques :

  • Délibérations municipales depuis :



Divers |



  • Depuis le 1er juillet 2009, c'est également une Station verte[24].

  • Courpière possède officiellement sa première fleur au Concours des villes et villages fleuris depuis 2009[25].

  • En 2010 et 2011, Courpière accueille le rassemblement Freewheels (auparavant organisé à Cunlhat), le plus grand rassemblement biker en Europe. L'édition 2011 a eu lieu les 5, 6 et 7 août, n'accueillant pas assez de public du fait du mauvais temps, causant la dissolution de la SARL « Free-Wheels ». Les éditions suivantes ne seront donc pas reconduites[26].



Annexes |


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Articles connexes |


  • Liste des communes du Puy-de-Dôme


Liens externes |



  • Site de la mairie


  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Bibliothèque nationale de France (données)



Notes et références |



Notes |





  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.




Références |




  1. a et bCarte de Courpière sur Géoportail.


  2. TER Auvergne-Rhône-Alpes/SNCF, Fiche horaire ligne 19 : Vichy – Thiers – Ambert – Arlanc [PDF], horaires valables du 11 décembre 2016 au 1er juillet 2017, consulté le 13 juin 2017.


  3. TER Auvergne-Rhône-Alpes/SNCF, Fiche horaire ligne 82 : Clermont-Ferrand – Ambert – Arlanc [PDF], horaires valables du 11 décembre 2016 au 1er juillet 2017, consulté le 13 juin 2017.


  4. Horaires Transdôme, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le 29 novembre 2018).


  5. Extrait de Courpière, Fille de la Dore et des collines


  6. a et b« Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », Ministère de l'Intérieur (consulté le 4 mars 2016).


  7. « Populations légales 2011 de la commune de Courpière », Insee (consulté le 4 mars 2016).


  8. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 - Candidatures du 1er tour », Ministère de l'Intérieur (consulté le 4 mars 2016).


  9. « Municipales : Christiane Samson tête de liste à Courpière », sur La Montagne, 17 janvier 2014.


  10. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  11. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.


  14. a b et c« Annuaire : Résultats de recherche », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le 4 mars 2016).


  15. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, 3 mai 2016(consulté le 21 août 2016).


  16. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, 2016(consulté le 21 août 2016).


  17. Notice no PA00092097, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  18. Notice no PA00092094, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  19. Notice no PA00092093, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  20. Notice no PA00092092, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  21. Notice no PA00092095, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  22. Notice no PA00092096, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  23. Notice no PA00092098, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  24. Courpière sur le site stationverte.com


  25. « Palmarès 2009 dans le Puy-de-Dôme » (consulté le 20 août 2010).


  26. « Exclusif : le Free Wheels des bikers se déclare en faillite », sur La Montagne.




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