La Nación (Argentine)







Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir La Nación.




















































La Nacion Logo.png.mw-parser-output .entete.presse{background-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/23/Picto_infobox_journal.png")}

Image illustrative de l’article La Nación (Argentine)
Une du premier numéro.

Pays

Drapeau de l'Argentine Argentine
Langue

Espagnol
Périodicité
Quotidien
Format

Grand format
Diffusion
159 486 ex. (2013)
Fondateur

Bartolomé Mitre
Date de fondation
4 janvier 1870
Éditeur
S.A. La Nación
Ville d’édition

Buenos Aires


Site web

http://www.lanacion.com.ar/

.mw-parser-output .infobox_v2:not(.disable-autoitalic) .entete,.mw-parser-output .infobox_v3:not(.disable-autoitalic) .entete{font-style:italic}.mw-parser-output .infobox_v2:not(.disable-autoitalic) .entete i,.mw-parser-output .infobox_v3:not(.disable-autoitalic) .entete i{font-style:normal}

La Nación est un quotidien argentin conservateur, originellement fondé le 4 janvier 1870 par l'ancien président Bartolomé Mitre et des associés. Ses ventes constituent à peu près un tiers des ventes de tous les journaux vendus à Buenos Aires. Diffusé dans le monde entier, il a pour principal rival le quotidien centriste Clarín.



Histoire |


Originellement nommé La Nación Argentina, il a été renommé La Nación le 28 août 1945. Jusqu'en 1914, son directeur de rédaction était José Luis Murature (Ministre des Affaires étrangères de 1914 à 1916). Le quotidien soutient la campagne de « moralisation » de la société engagée par la dictature de la Révolution argentine en 1966. Sous la dictature militaire de 1976-83, La Nación bénéficia notamment, avec El Clarín et La Razón, de mesures illégales appuyées par le gouvernement, en 1976-77, visant à leur faire prendre contrôle de l'entreprise de papeterie Papel Prensa, qui appartenait auparavant à David Graiver[1].


Le journal provoque une controverse au lendemain de l'élection du conservateur Mauricio Macri à la présidence du pays pour avoir appelé à amnistier les tortionnaires de la dictature argentine[2].



Références |





  1. Sebastián Premici, Negocios y dictadura: testimonios y documentos, Pagina/12, 27 août 2010


  2. « Indignation en Argentine après l’éditorial du journal « La Nacion » prenant la défense des tortionnaires de la dictature », sur Le Monde




Liens externes |



  • (es) LaNacion.com.ar


  • Portail de la presse écrite Portail de la presse écrite
  • Portail de l’Argentine Portail de l’Argentine



Popular posts from this blog

Berounka

Fiat S.p.A.

Type 'String' is not a subtype of type 'int' of 'index'