Cathédrale Saint-Sauveur d'Aix-en-Provence
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Cathédrale Saint-Sauveur d'Aix-en-Provence | |||
Présentation | |||
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Culte | Catholique romain | ||
Type | Cathédrale | ||
Rattachement | Archidiocèse d'Aix-en-Provence, Arles et Embrun (siège) | ||
Début de la construction | XIIe siècle | ||
Fin des travaux | XVIe siècle | ||
Style dominant | Roman Gothique | ||
Protection | Classée MH (1840) Classé MH (1875, cloître)[1] | ||
Site web | www.cathedrale-aix.net/fr | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Région | Provence-Alpes-Côte d'Azur | ||
Département | Bouches-du-Rhône | ||
Ville | Aix-en-Provence | ||
Coordonnées | 43° 31′ 55″ nord, 5° 26′ 50″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
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La cathédrale Saint-Sauveur est une cathédrale catholique romaine située dans la rue Gaston de Saporta[2] à Aix-en-Provence. Cet édifice, construit sur l'emplacement du forum antique et, selon la légende, sur les fondations d'un ancien temple dédié au dieu Apollon, rassemble une multitude de styles architecturaux, du fait des nombreux remaniements qu'elle subit au fil des siècles. Ses dimensions sont de 70 mètres de longueur sur 46 mètres de largeur. Son élévation est de 20 mètres sous la clé de voûte.
De la façade, on distingue trois étapes de construction du bâtiment : tout d'abord la façade nue de la nef romane a été construite au XIIe siècle, suivie quelques années plus tard par le mur fait de blocs antiques à bossages, montés à joints vifs sur des lits de filasse. Le seul élément récent est le portail qui ferme la nef gothique et qui est daté du XVIe siècle[3].
Autour de la cathédrale sont construits au fil des siècles des bâtiments qui lui sont accolés, comme le bâtiment claustral de la communauté des chanoines (fin du XIIe siècle), les bâtiments du cloître (XIe au XIIIe siècles) ou le clocher (achevé en 1425)[3].
C'est l'église cathédrale de l'archidiocèse d'Aix-en-Provence. Elle est dédiée au saint Sauveur (Jésus-Christ).
Sommaire
1 Origines
1.1 Légendes autour de la fondation
1.2 Destruction de la chapelle ancienne
2 Architecture de la cathédrale
2.1 Portail
2.2 Portes sculptées
2.3 Baptistère
2.4 Cloître
2.5 Vitraux
2.5.1 Les vitraux de l'atelier Didron
3 Chapelles
3.1 Chapelle Saints-Côme-et-Damien
4 Œuvres exposées
4.1 Le triptyque du Buisson ardent
4.2 Autres œuvres exposées
4.3 L'autel des Aygosi
4.4 Les visions de Jeanne Perraud
4.5 Œuvres disparues
5 Anecdotes
6 Notes et références
7 Voir aussi
7.1 Articles connexes
7.2 Liens externes
7.3 Bibliographie
Origines |
Légendes autour de la fondation |
La cathédrale se situe sur le trajet de l'ancienne via Aurelia. Un fragment de mur romain ainsi que les colonnes du baptistère semblent avoir forgé la légende selon laquelle Saint-Sauveur fut érigé sur l'emplacement d'un temple antique dédié à Apollon. L'historien Pitton (1654) affirmait que ce temple était dédié à une divinité solaire, s'appuyant sur la découverte d'une statue à la cuisse découverte pour justifier ses dires.
Selon la tradition chrétienne, saint Maximin, venu de Palestine avec Marie-Madeleine sur une barque appartenant à Lazare, édifia sur le site une modeste chapelle dédiée au saint Sauveur.
Destruction de la chapelle ancienne |
Lors des invasions sarrasines des VIIIe et IXe siècles, Saint-Sauveur fut détruite.
Architecture de la cathédrale |
Si le baptistère semble plus ancien, la construction de la partie romane de la cathédrale remonte à la fin du XIe siècle et est due à l'archevêque Rostang de Fos et au prévôt du chapitre Benoît. On trouve sur la nef méridionale dite du Corpus Domini une dédicace datée de 1103. Un mur semble toutefois plus ancien et remonte visiblement au Haut Moyen Âge.
Portail |
Seules les sept figures supérieures du portail sont d'origine. Les autres sont des copies datées du XIXe siècle.
Portes sculptées |
La cathédrale Saint-Sauveur possède des portes de noyer sculptées sur une commande passée le 15 octobre 1505. Elles furent taillées par les frères Raymond et Jean Bolhit, d'Aix, ainsi que par le sculpteur toulonnais Jean Guiramand. Chaque vantail est finement encadré par des guirlandes de fleurs qui entourent des scènes, d'ordre religieux pour la plupart. On y voit notamment des représentations des prophètes Isaïe et Jérémie (porte gauche), Ézéchiel et Daniel (porte droite). Chacun est surmonté d'un dais en grande saillie.
Les portes étaient rehaussées de couleurs vives que l'on peut encore deviner par endroit. Le bâti est l'œuvre des menuisiers aixois Bouilly, en 1505 ; les images ont, elles, été exécutées en 1508 par un menuisier de Toulon, Jean Guiramand[4].
Baptistère |
Le baptistère de la cathédrale a été construit au début du VIe siècle[5], voire du Ve siècle, sur l'emplacement de l'ancienne place du forum d'Aquae Sextiae[6]. Il est contemporain des baptistères conservés de Riez, Fréjus, mais aussi Albenga, en Ligurie, et Djemila, en Algérie et figure parmi les plus anciens de France[7].
Le baptistère octogonal, couronné en 1579[8] par le chanoine Jean de Léone, possède une coupole décorée de gypseries surmontant des colonnes d'époque romaine remployées[9]. La cuve serait d'époque mérovingienne. On trouve sous les dalles du baptistère les caveaux de chanoines et d'archevêques.
Dès sa construction, le baptistère a été alimenté par les eaux chaudes provenant des thermes romains[7]. Le baptême est alors administré par immersion totale. Une symbolique bien définie est alors attachée au sacrement du baptême. Celui-ci représente un moyen d'être enseveli dans la mort avec le Christ et de vivre la vie nouvelle, au moyen de l'illumination. L'édifice est orienté vers le soleil levant malgré les changements apportés au fil des siècles, notamment par l'ajout des colonnes en granit.
Son architecture actuelle est semble-t-il quasiment identique à celle qu'il avait au temps du forum romain. Huit colonnes l'entourent. On y attachait alors des étoffes pour cacher les catéchumènes des regards[7]. On peut toujours observer les encoches dans lesquelles on insérait les tringles permettant de tendre les draps[10]. Le baptistère a connu plusieurs transformations. La coupole date du XVIe siècle[7]. De l'époque de sa construction ne subsistent plus que les bas des murs et la cuve baptismale[5]. L'alimentation en eau courante du bassin se faisait par l'est, du côté extérieur à la cathédrale, par le moyen d'une annexe importante[6].
Au XIXe siècle, le baptistère est orné de sept tableaux représentant les sept sacrements de l'église catholique. La commande est passée par l'administration des beaux-arts, conformément au souhait de l'Archevêque. Sept artistes aixois sont choisis pour ce travail : Alphonse Angelin, Antoine Coutel, Baptistin Martin, Joseph Richaud, François Latil, Léontine Tacussel, et Joseph Gibert. Cette commande est un exemple rare de représentation des sept sacrements en série, sans équivalent au XIXe siècle[11].
Baptistère de la cathédrale Saint-Sauveur.
Vue intérieure du baptistère de la cathédrale d'Aix, Meunier, 1792.
Cloître |
Vitraux |
Les vitraux de l'atelier Didron |
L'atelier Didron fournit au XIXe siècle les verrières suivantes[12] :
- 1858 : le Triomphe de la Foi, en façade ouest ;
- 1860-1861 : verrière de l'abside de la nef gothique et ses six vitraux ornés de motifs non figuratifs ;
- 1863 : le vitrail de l'Espérance, dans le transept sud ;
- 1866 : le vitrail des anges musiciens et des saints de Provence, dans la chapelle du Sacré-cœur de la nef romane.
1858
Le Triomphe de la Foi
Façade ouest.
1863
Vitrail de l'Espérance
Transept sud.
1866
Vitrail des anges musiciens et des saints de Provence
Chapelle du Sacré-cœur.
Chapelles |
Chapelle Saints-Côme-et-Damien |
Cette chapelle, construite à la fin du XVIe siècle et qui constitue le narthex du baptistère, abrite aujourd'hui un dépôt lapidaire, dont la pièce la plus remarquable est le sarcophage dit de saint Mitre, dont on dit qu'il a recueilli la dépouille du saint aixois après sa mort en martyr. D'autres éléments y figurent aussi, tels deux lions en marbre provenant du tombeau d'Hubert de Vins, des sculptures de Charles Desbordes, ou encore des colonnettes à chapiteaux de marbre venant de l'oratoire Saint-Sauveur[13].
Œuvres exposées |
Le triptyque du Buisson ardent |
Le Buisson ardent, triptyque de Nicolas Froment, artiste avignonnais, pièce maîtresse du monument réalisée au XVe siècle[14], commandité en 1476 par le roi René pour le tombeau de ses entrailles[15]. L'œuvre provient du couvent des Grands-Carmes, détruit sous la Révolution. Le panneau central représente la Vierge et l'Enfant sur le buisson ardent. Au premier plan, sur la droite, Moïse, gardant son troupeau, se déchausse à la vue de cette apparition. Les deux autres parties du triptyque représentent les commanditaires de l'œuvre, le roi René et la reine Jeanne, dans une attitude pieuse. René porte l'habit des chanoines de Saint-Victor. Une citation du livre des Proverbes surmonte l'œuvre : « Qui me trouve, trouve la vie[15]… » Selon des spécialistes, la ville représentée sur la droite du tableau évoquerait Avignon. Quant au château sur la gauche, ce pourrait être le château de Saumur en Anjou[16], propriété du roi René. Restaurée, l'œuvre, qui pèse près d'une demi-tonne, a été réinstallée dans la cathédrale fin janvier 2011[17].
Triptyque fermé
Triptyque ouvert
Panneau central
Panneaux gauche et droit
Autres œuvres exposées |
Transfiguration du Sauveur, de Jean Daret fils.
La Cène, de Jean Daret père.
L'Incrédulité de saint Thomas, de Finsonius.
Le Triomphe de la foi.
La Résurrection de Lazare, de Christophe Veyrier[18], provenant de l'ancienne chapelle des Carmélites.- Dix-sept tapisseries dues au peintre flamand Quentin Metsys : la Nativité, la Présentation, l'Annonciation, la Visitation, l'Annonce aux bergers, la Nativité de Notre-Seigneur, le Baptême de Jésus, le Sermon sur la montagne, la Résurrection de Lazare, la Flagellation, le Couronnement d'épines, la Crucifixion, la Descente de croix, la Visite aux limbes, la Résurrection, l'Ascension et la Pentecôte.
- Un grand orgue, construit sur le flanc nord du chœur gothique. Un autre orgue similaire mais factice a été construit en face de lui, pour imiter l'esprit baroque italien et ibérique.
L'autel des Aygosi |
Cet autel de pierre, primitivement installé dans l'église des Carmes, fut installé à Saint-Sauveur en 1823. Sur la gauche une inscription se lit ainsi : « Anne, la glorieuse mère de la Vierge Marie est vénérée dans la présente chapelle. Noble homme Urbain Aygosi a exposé ici le comble de l'amour. En la présente année du Seigneur 1470, la chapelle est achevée par la grâce de Dieu, le 28 janvier. »
Ce monument comprend :
- un autel surmonté d'un faux tabernacle, avec, à ses extrémités, les armes d'Urbain Aygosi.
- un tabernacle orné d'un Christ avec l'inscription : « Vois, mortel, c'est pour toi que se livre une telle victime ».
- un retable de pierre avec six figures : au centre, sainte Anne, devant elle la Vierge, dans ses bras l'enfant Jésus. À gauche saint Maurice dans une armure du XVe siècle, à droite Sainte Marguerite sortant du dragon. Enfin, le Christ en croix domine ce retable. De part et d'autre de l'autel, se trouvaient des statues de la Vierge et de saint Jean, aujourd'hui exposées au musée Granet.
Le sculpteur de cet autel, Audinet Stéphani, était originaire du diocèse de Cambrai et a travaillé à Aix et dans sa région entre 1446 et 1476.
Les visions de Jeanne Perraud |
Jeanne Perraud (Martigues, 1631–Aix-en-Provence, 1676) est issue d'une famille aixoise qui a fui la ville lors de la révolte des Cascaveous en 1630. Ayant assisté à un double meurtre dans une rue d'Aix, Anne Blanc, l'épouse de Jean Perraud, lui demande de quitter la ville. C'est ainsi que Jeanne Perraud voit le jour à Martigues, l'année suivante. Dotée d'une santé défaillante et atteinte de nombreuses infirmités, elle reçoit une éducation chrétienne pieuse. Après la mort de ses deux parents, elle se convertit au catholicisme et reçoit en 1650 une première vision, « une étoile miraculeuse, dit-elle, d'une lueur admirable ». Elle entre alors au couvent des Ursulines de Lambesc, puis à celui de Barjols et enfin chez les Dominicaines de Saint-Maximin. En 1655, elle part vivre à Aix[19].
En l'espace de quelques années, elle reçoit de nombreuses visions de l'Enfant-Jésus, mais parfois aussi d'un homme d'âge mûr (de 33 ans selon sa description) : chez les Picpus, rue Bédarride, dans la chapelle Notre-Dame des Sept-Douleurs, chez les Augustins déchaussés. Le 30 novembre 1660, l'apparition lui demande son cœur. Jeanne décrit ainsi la vision : « [Il] paraissait de l'âge de 33 ans (…), de taille fort grande mais bien proportionnée ; le maintien plutôt doux que sévère (…), la barbe fort longue (…), le poil châtain, non frisé (…), les cheveux tombant sur les épaules (…), le vêtement rouge (…)[19]. » Une autre fois, elle voit le Christ avec ses plaies ouvertes.
Ces apparitions lui valent de développer la crainte des hommes, qu'elle refuse désormais d'approcher. Elle meurt le 22 janvier 1676 d'une violente fièvre. Les tentatives pour obtenir sa canonisation échouent à de multiples reprises[20]. Peu après sa mort, une poupée représentant ses visions de l'Enfant-Jésus est réalisée et exposée, aujourd'hui encore, dans la cathédrale.
Œuvres disparues |
- Un vitrail de Jean Joye, détruit sous la Révolution.
« Christ ressuscité » exposé à la cathédrale Saint-Sauveur d'Aix-en-Provence, XVIIe siècle.
L'autel dit des Aygosi (cathédrale Saint-Sauveur).
Poupée représentant une vision reçue par Jeanne Perraud.
Orgue de la cathédrale Saint-Sauveur.
Anecdotes |
- En 1318, l'archevêque Robert de Mauvoisin est forcé de résigner ses fonctions, accusé « d'entretenir publiquement des concubines ; de vendre les bénéfices et les sacrements ; de trafiquer des interdits qu'il lançait contre les églises sur de légers motifs, et de mépriser les censures qu'il avait encourues pour avoir frappé l'archidiacre de son chapitre et quelques chanoines. On lui reprochait aussi d'avoir traversé la ville d'Aix le Jeudi-Saint au son des instruments et précédé de danseurs ; d'aimer passionnément la chasse ; de mener avec lui, lorsqu'il faisait la visite de son diocèse, des chasseurs, des chiens, des oiseaux, au grand préjudice des habitants dont il dévastait les campagnes ; de donner le sacrement de confirmation après-dîner ou le soir à la lumière hors de l'église, lorsqu'il revenait de la poursuite des bêtes fauves. Enfin on l'accusait d'avoir foulé le peuple dans ses visites pastorales et vomi des blasphèmes contre Dieu, la Vierge et les saints. Le pape nomma des commissaires pour examiner ces griefs. Le prélat diminua l'horreur de quelques-uns par les interprétations qu'il donna, et nia les autres. Mais accablé par les dépositions des témoins, il prévint sa condamnation en abdiquant volontairement au mois d'août 1318[21]. »
- Le 24 décembre 1566, l'archevêque Jean de Saint-Chamond monte en chaire à Saint-Sauveur, revêtu de ses habits épiscopaux, déclame contre le Pape et l'église catholique, jette par terre sa mitre et sa crosse, embrasse le calvinisme et se retire à Genève où il se marie[22].
Notes et références |
« Cloître », notice no PA00080981, base Mérimée, ministère français de la Culture
« Églises et horaires des célébrations », site officiel de la cathédrale.
Coste 2008, p. 10
Coste 2008, p. ?
Coste 2008, p. 17
Coste 2008, p. 13
« Le baptistère de la cathédrale », fontaines-aixoises.com.
La date de 1579 est donnée par l'historien Roux-Alphéran. Bouyala d'Arnaud parle plutôt de 1577.
Deux colonnes sont en granit, les autres en marbre vert.
Aix insolite et secrète, Jean-Pierre Cassely, éd. Jonglez, Versailles, 2009, p. 27.
Lisa Brun, Une élève aixoise de Granet et Cogniet : Léontine Tacussel (1818-1886), mémoire de recherche, Aix-Marseille Université, juin 2017.
Vitraux Didron., sur www.cathedrale-aixenprovence-monument.fr
Coste 2008, p. 44
Jusqu'en 1876, on attribuait la paternité de ce triptyque au roi René. C'est Louis Blancard, archiviste du département, qui en découvrit l'auteur.
Coste 2008, p. 51
« Un Arlésien a-t-il découvert le secret du retable de Saint-Sauveur ? », laprovence.com, 7 décembre 2009.
Paul-Henry Fleur, « Un Buisson ardent flambant neuf retrouve Saint-Sauveur », La Provence, éd. Aix-en-Provence, 23 janvier 2011, p. 4, 5.
Élève du sculpteur Pierre Puget.
« Jeanne Perraud (1631-1676), une mystique aixoise », GénéProvence.com, juin 2008.
Marcel Bernos, « Encore la Provence mystique : Jeanne Perraud, d'Aix » in Aspects de la Provence, Société de statistique, d'histoire et d'archéologie de Marseille et de Provence, p. 97-124, Marseille, 1983.
Voyage littéraire de Provence: contenant tout ce qui peut donner une idée de l'état ancien & moderne des villes, les curiosités qu'elles renferment, la position des anciens peuples, quelques anecdotes littéraires, l'histoire naturelle, les plantes, le climat, & cinq lettres sur les trouvères et les troubadours, Jean-Pierre Papon, Chez Barrois l'Aîné, Paris, 1780, p. 125.
Les Rues d'Aix, Roux-Alphéran, 1846, chap. « Église métropolitaine de Saint-Sauveur ».
Voir aussi |
Articles connexes |
- Liste des archevêques d'Aix-en-Provence
- Symboles des Evangélistes dans la Cathédrale Saint-Sauveur
- Synode d'Aix-en-Provence de 1838
- Liste des monuments historiques des Bouches-du-Rhône
- Liste des cathédrales catholiques romaines de France
- Liste des cathédrales de France protégées aux monuments historiques
Liens externes |
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- Site Paroisse Cathédrale Saint-Sauveur d'Aix-en-Provence
Bibliographie |
- Pierre Coste et al., La Cathédrale Saint-Sauveur d'Aix-en-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, 2008 (1re éd. 1982)
Ambroise Roux-Alphéran, Les Rues d'Aix, 1846.
André Bouyala d'Arnaud, Évocation du vieil Aix-en-Provence, éd. de Minuit, 1964.- J.-S. Pitton, Annales de la sainte église d'Aix, Lyon, 1668.
- Lisa Brun, Une élève aixoise de Granet et Cogniet : Léontine Tacussel (1818-1886), mémoire de recherche, Aix-Marseille Université, juin 2017.
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