Terre-Neuve-et-Labrador





Cet article fait référence à la province. Pour les autres sens tels la race de chien, consulter Terre-Neuve (homonymie).












































































































Terre-Neuve-et-Labrador
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Blason de Terre-Neuve-et-Labrador
Armoiries.


Drapeau de Terre-Neuve-et-Labrador
Drapeau.


Terre-Neuve-et-Labrador
Carte de localisation.
Administration

Pays

Drapeau du Canada Canada

Capitale

Saint-Jean

Plus grande ville

Saint-Jean
Entrée dans la Confédération

31 mars 1949 (10e)

Lieutenant-gouverneur

Judy Foote

Premier ministre

Dwight Ball (Libéral)

Sièges à la Chambre des communes
7 (sur 338)

Sièges au Sénat
6 (sur 105)

Code postal
A
ISO 3166-2:CA
CA-NL
Démographie

Gentilé
Terre-Neuvien, Terre-Neuvienne

Population
519 716 hab.[1](2016)
Densité 1,3 hab./km2
Rang

9e

Langue officielle

De jure : Aucune
De facto : Anglais
Géographie

Superficie
405 212 km2
Rang

10e
Terre
373 872 km2
Eau
31 340 km2 (7,73 %)

Fuseau horaire

UTC -3:30 et -4:00
Divers

Devise

Quaerite Primum Regnum Dei
(Latin : « Cherchez d'abord le royaume de Dieu »)

Domaine Internet
.nl.ca


Terre-Neuve-et-Labrador (en anglais : Newfoundland and Labrador) est une province du Canada, située à l'extrême est du pays, et faisant partie des provinces de l'Atlantique.




Sommaire






  • 1 Histoire avant l'Union


    • 1.1 Période de colonisation


    • 1.2 Membre de l'Empire britannique


    • 1.3 Événements ayant conduit à l'union avec le Canada




  • 2 Histoire au sein du Canada


    • 2.1 Référendum acquis de justesse


    • 2.2 Crise économique et frictions avec le gouvernement fédéral du Canada


    • 2.3 Ressources minières


    • 2.4 Pistes de relances du dialogue entre Terre-Neuve-et-Labrador et l'État fédéral




  • 3 Géographie


  • 4 Gouvernement


    • 4.1 Premier ministre


    • 4.2 Lieutenant-gouverneur


    • 4.3 Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador




  • 5 Parcs nationaux et provinciaux


    • 5.1 Parcs nationaux


    • 5.2 Parcs provinciaux




  • 6 Organisations et associations


    • 6.1 Francophonie


    • 6.2 Association des villes




  • 7 Démographie


    • 7.1 Population


    • 7.2 Langues


    • 7.3 Religion




  • 8 Situation économique


  • 9 Culture


    • 9.1 Écrivains et écrivaines




  • 10 Fiche de renseignements


  • 11 Notes et références


  • 12 Voir aussi


    • 12.1 Articles connexes


    • 12.2 Liens externes







Histoire avant l'Union |


Article détaillé : Histoire de Terre-Neuve.


Période de colonisation |


Terre-Neuve a une longue histoire. La première colonie européenne en Amérique, fondée en l'an 1000 par les Vikings, se trouvait sur l'île, à L'Anse aux Meadows et à Pointe Rosée[2]. Des restes et des artefacts provenant de cette occupation sont présentés à L'Anse aux Meadows, maintenant classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. L’île fut ensuite habitée par les Inuits et les Beothuks.


Malgré diverses allégations sur la fréquentation des Grands Bancs par des pêcheurs européens au début du XVe siècle, et dont la source principale paraît être l'ouvrage de Charles Desmarquets[3], le premier récit historiquement documenté est celui de l'explorateur Jean Cabot, qui accosta à Bonavista en 1497 et prit possession de Terre-Neuve au nom de la couronne d'Angleterre. Humphrey Gilbert établit un poste de pêche en 1583 à Saint-Jean, entamant le processus de colonisation de l'ile. En 1610 John Guy fonda une colonie à Cuper's Cove, aujourd'hui connu sous le nom de Cupids, faisant de Terre-Neuve la deuxième colonie permanente anglaise en Amérique après Jamestown en Virginie[4]. Le fils de Nicholas Guy, né le 27 mars 1613, est le premier enfant anglais dont la naissance est connue en ce qui deviendra plus tard le Canada [2]. La colonie anglaise à l'Anse Cupid fut suivie par la colonie anglaise d'Avalon, établie par Sir George Calvert à Ferryland en 1621. Sir George Calvert s'était converti au catholicisme et tolérait donc les catholiques dans la colonie d'Avalon[5]. Malgré ses efforts, les plantations commerciales anglaises n'eurent pas beaucoup de succès à cause du climat et les conditions difficiles de Terre-Neuve. Plus tard il fondera la colonie anglaise du Maryland.


Les Basques, qui pêchaient les bancs de morue dès le début du XVIe siècle, fondèrent Plaisance (aujourd'hui Placentia), un havre fréquenté aussi par les pêcheurs français. En 1655 la France installe un gouverneur à Plaisance, commençant une tentative de colonisation française de l'île[6]. Mais celle-ci fut un échec, suite aux traités d'Utrecht qui mettent fin à la guerre de succession d'Espagne entre la France et la Grande-Bretagne en 1713. Selon les termes des traités, la France renonce à ses revendications sur l'île de Terre-Neuve (ainsi que celles portant sur les côtes de la Baie d'Hudson) et confirme la possession de celle-ci par la Grande-Bretagne. Les territoires français d'Acadie y sont aussi cédés aux Britanniques. Par la suite, la population française de Plaisance se transféra à l'île Royale (aujourd'hui l'Île du Cap-Breton), fraction d'Acadie restée française jusqu'à la guerre de sept ans, marquée par le tragique épisode de la déportation des Acadiens.




C'est le roi George VI qui verra, en 1949, naître la province canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador.


La colonie n'était pas une province canadienne jusqu'en 1949 et fut de 1907 à son entrée au sein de la Confédération un dominion indépendant membre de l'Empire britannique, ayant une existence juridique séparée du Canada.




Le site de l'Anse aux Meadows à Terre-Neuve-et-Labrador est classé par l'UNESCO.



Membre de l'Empire britannique |


Terre-Neuve fut dotée en 1832 d'une assemblée coloniale, qui est actuellement connue sous le terme de la Chambre d'assemblée (House of Assembly). En 1855, Terre-Neuve reçut son propre gouvernement et Philip Francois Little, natif de l'île du Prince-Édouard, forma la première administration de 1855 à 1858.


En 1941, en vertu d'une entente avec la Grande-Bretagne, certains sites de l'île furent loués par les États-Unis, qui y installèrent des bases aériennes.



Événements ayant conduit à l'union avec le Canada |




Drapeau du Dominion de Terre-Neuve.


Terre-Neuve rejeta une première fois l'union avec la confédération canadienne dans l'élection générale de 1869. Elle demeura colonie britannique jusqu'à ce qu'elle reçût le statut de dominion en 1907 en même temps que la Nouvelle-Zélande. Elle tenta de faire un accord de libre-échange avec les États-Unis mais cela échoua. Le Dominion de Terre-Neuve atteignit son âge d'or sous le Premier ministre Sir Robert Bond.


Terre-Neuve constitua son propre régiment pour participer à la Première Guerre mondiale afin de soutenir le Royaume-Uni. Le 1er juillet 1916, une grande partie de ce régiment fut massacrée au début de la Bataille de la Somme. La dette de guerre suite aux dépenses dues à ce régiment conduisit à un endettement croissant lors des années 1920, car contrairement à tous les États souverains de l'époque (qui annulèrent ou étalèrent leurs remboursements de leur dette de guerre à leur avantage), Terre-Neuve fit face à ses engagements financiers sans les renier.


Les années 1920 furent aussi marquées par une atmosphère de scandale. En 1923, le Premier ministre Richard Squires fut arrêté et accusé de corruption. Il fut laissé en liberté peu de temps après sur caution, mais on nomma une commission britannique dirigée par Hollis Walker pour éclairer l'affaire. Peu de temps après, le gouvernement de Squires chuta. Il revint au pouvoir en 1928 pendant la grave crise infligée au pays par la Grande Dépression. Le 5 avril 1932, une émeute de dix mille personnes à l'Assemblée contraignit Squires à s'enfuir.


Le gouvernement suivant, mené par Frederick Alderdice, demanda au gouvernement britannique de prendre le contrôle direct du pays, jusqu'à ce que Terre-Neuve soit autosuffisante.



Histoire au sein du Canada |



Référendum acquis de justesse |


En 1946, une élection mit en place une convention nationale pour décider de l'avenir de Terre-Neuve. Après un débat acharné et un premier référendum à trois options en juin 1948, un deuxième référendum en juillet 1948 décida par un vote de 52 % contre 48 % de s'unir avec le Canada.


Terre-Neuve devint membre de la Confédération canadienne le 1er avril 1949.


La politique de la province fut dominée par le Parti libéral sous Joseph R. Smallwood jusqu'en 1972. Cette année-là, le gouvernement Smallwood fut défait par les progressistes-conservateurs, parti dirigé par Frank Moores.


Brian Peckford devint premier ministre en 1979. Pendant cette période, la province lutta avec le gouvernement fédéral pour contrôler les importantes ressources pétrolières maritimes, dispute qui s'acheva par un compromis. En 1989, le Parti libéral de Clyde Wells prit le pouvoir.




Le Parti libéral de Terre-Neuve-et-Labrador à dominé la politique provinciale du territoire jusqu'en 1972.



Crise économique et frictions avec le gouvernement fédéral du Canada |


Durant les années 1990, Terre-Neuve fit face à une crise écologique et environnementale sévère. L'activité de pêcherie de morue, dont les Terre-neuviens avaient vécu pendant cinq cents ans, chuta en raison de la quasi-disparition de l'espèce. Le gouvernement fédéral aida Terre-Neuve à hauteur d'un milliard de dollars.


En 1996, l'ancien politicien fédéral Brian Tobin prit le pouvoir. Son but principal était de faire profiter la province des riches dépôts de nickel récemment découverts au Labrador. Il démissionna pour retourner à la politique fédérale en 2000. Le Parti libéral s'est trouvé dans une condition affaiblie depuis ce temps, situation ressentie par l'actuel premier ministre, Roger Grimes.


Un différend perdure avec la Nouvelle-Écosse au sujet de la frontière maritime au sud.


En 2003, le gouvernement fédéral imposa un moratoire complet sur la pêche de la morue, à cause de la population extrêmement basse de ce poisson. Ceci enflamma les esprits partout dans le Canada atlantique ; à Terre-Neuve-et-Labrador, le premier ministre Grimes ordonna une revue de l'Acte d'Union et de la place de la province au Canada.



Ressources minières |


Le sous-sol de la province regorge de ressources minières. Les gisements de fer les plus importants au monde ont été découverts au Labrador. Le sol renferme également d'énormes quantités de minerais d'or, d'argent, d'amiante, de fluor, de tungstène, de nickel (mine de Voisey's Bay), de cuivre, de plomb, de zinc et de charbon ainsi que de gypse, de calcaire et de cobalt. Ce dernier se trouve surtout dans l'île de Terre-Neuve. Beaucoup de pétrole off-shore a été découvert en mer à 300 km environ au sud-est de la capitale Saint-Jean de Terre-Neuve dans le secteur dénommé Bassin Jeanne d'Arc (Jeanne d'Arc Basin). L'exploitation se poursuit depuis plusieurs années à l'aide de plateformes en mer, sous l'égide de puissantes compagnies nord-américaines. Aux gisements d'Hibernia, White-Rose, Terra-Nova très productifs, viendra s'ajouter celui d'Hebron dans un futur proche.



Pistes de relances du dialogue entre Terre-Neuve-et-Labrador et l'État fédéral |


Le 2 juillet 2003, les résultats de la Commission royale sur la place de Terre-Neuve-et-Labrador dans la fédération furent révélés[7]. La commission fit état des éléments de tensions dans la relation entre Terre-Neuve-et-Labrador et l'État fédéral :



  • l'impact massif de la destruction de l'activité de pêcherie de la morue ;

  • le fait que les ressources d'hydroélectricité du Labrador aient principalement bénéficié au Québec ;

  • le haut taux de chômage chronique ;

  • les revenus par habitant les plus bas au Canada ;

  • les hauts niveaux d'impôt ;

  • le taux d'émigration le plus élevé.


Le rapport prônait[8] :



  • un fédéralisme plus coopératif avec Terre-Neuve-et-Labrador ;

  • une action commune pour reconvertir l'activité de pêcherie ;

  • une collaboration entre l'État fédéral, le Québec, et Terre-Neuve-et-Labrador pour développer le site hydroélectrique de Gull Island : Lower Churchill Project (en) ;

  • une révision des accords atlantiques pour que les réserves pétrolières maritimes (Hibernia) bénéficient en priorité à Terre-Neuve-et-Labrador ;

  • des pourparlers immédiats et réalistes sur une gestion conjointe de la pêcherie.



Géographie |


Le territoire incorpore l'île de Terre-Neuve et Labrador, la partie nord-est de la péninsule du Labrador, donnant ainsi une superficie de 405 212 km2.





Carte géographique de Terre-Neuve-et-Labrador.


En 2016, la population de la province recensée est de 519 716 habitants[1]. Environ 92 % de la population vit sur l'île de Terre-Neuve (en incluant ses petites îles associées), dont la moitié sur la péninsule d'Avalon. Du fait de sa position insulaire, elle possède sa propre variété d'anglais[9],[10].


Sa capitale et sa plus grande ville, Saint-Jean de Terre-Neuve (en anglais St. John's), est la vingtième plus grande aire métropolitaine du Canada, et abrite plus de 40 % de la population provinciale. Ancienne colonie britannique puis éphémère dominion indépendant, elle fut rattachée au Canada en 1949, devenant la 10e province de la Confédération sous le nom de Terre-Neuve. Le 6 décembre 2001, une modification constitutionnelle a été adoptée afin de changer officiellement le nom en « Terre-Neuve-et-Labrador »[11]. Cependant, bon nombre de Canadiens utilisent encore « Terre-Neuve » pour désigner la province





Carte de Terre-Neuve en 1912.



Gouvernement |



Premier ministre |





Dwight Ball est le Premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador.


Le premier Premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador a été de 1949 à 1972 Joseph R. Smallwood, un libéral[12]. Le Premier ministre actuel est le libéral Dwight Ball depuis 2015[13].



Lieutenant-gouverneur |


Le premier lieutenant-gouverneur de Terre-Neuve-et-Labrador a été le capitaine Henry Osborn de 1729 à 1731[14]. Le lieutenant-gouverneur depuis 2018 est Judy Foote[15].





Drapeau du Lieutenant-gouverneur de Terre-Neuve-et-Labrador.



Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador |


L'Assemblée compte 40 membres et se trouve à St-John's[16],[17].




L'Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador.



Parcs nationaux et provinciaux |



Parcs nationaux |


On retrouve 4 parcs nationaux sur le territoire de Terre-Neuve-et-Labrador qui relèvent du gouvernent du Canada[18].



Parcs provinciaux |


On retrouve 13 parc provinciaux à Terre-Neuve-et-Labrador. Ils sont gérés par le gouvernement provincial et on peut y camper la nuit[19].



Organisations et associations |



Francophonie |


La Fédération des francophones de Terre-Neuve et du Labrador (FFTNL) est un organisme sans but lucratif qui travaille à la défense des droits et des intérêts de la communauté francophone et canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador.




Drapeau des communautés francophones et acadiennes de Terre-Neuve-et-Labrador.


Sa mission est de promouvoir la francophonie de la province et d'en faciliter le développement[20].



Association des villes |


Municipalités Terre-Neuve-et-Labrador représente une association des 276 villes de Terre-Neuve-et-Labrador. Sans but lucratif elle vise à développer dans une vision unifiée un gouvernement local fort et efficace[21].



Démographie |



Population |


En 1850, la population de Terre-Neuve seulement, était 101 600. En 2006, la population de Terre-Neuve-et-Labrador est estimée à 505 469 habitants.



Langues |





Timbre de Terre-neuve datant de 1897, le premier au monde représentant une mine.


D'après le recensement des habitants du Canada en 2001[22], les groupes ethniques de Terre-Neuve-et-Labrador sont anglais (39,4 %), irlandais (19,7 %), écossais (6,0 %), français (5,5 %), et amérindiens (3,2 %).


Sur 505 469 habitants, 499 830 réponses individuelles ont été recensées concernant les langues parlées à travers la province.

















































































Rang
Langue
Nombre de locuteurs
Pourcentage
1.

Anglais
488 405
97,7 %
2.

Français
1 885
0,4 %
3.

Innu-aimun
1 585
0,3 %
4.

Chinois
1 080
0,2 %
5.

Espagnol
670
0,1 %
6.

Allemand
655
0,1 %
7.

Inuktitut
595
0,1 %
8.

Ourdou
550
0,1 %
9.

Arabe
540
0,1 %
10.

Néerlandais
300
0,1 %
11.

Russe
225
< 0,1 %
12.

Italien
195
< 0,1 %

Au total, il y a également eu 435 réponses référençant l'anglais et une langue non-officielle, 30 réponses référençant le français et une langue non-officielle, 295 réponses référençant l'anglais et le français, 30 réponses référençant l'anglais, le français et une langue non-officielle et environ 14 305 personnes n'ayant donné aucune réponse durant le recensement des langues primaires[23].



Religion |





Claude Champagne est le président de l'Assemblée des évêques de l'Atlantique.


On retrouve 187 440 catholiques à Terre-Neuve-et-Labrador. On dénombre également 303 195 protestants et 12 865 personnes sans affiliation religieuse dans la province[24]. Les catholiques sont représentés par l'Assemblée des évêques de l'Atlantique[25] et les anglicans (protestants) par les diocèses d'Eastern Newfoundland and Labrador, Western Newfoundland et celui de Central Newfoundland au sein de l'Église anglicane du Canada[26].



Situation économique |


L'économie de Terre-Neuve-et-Labrador connaît depuis quelques années une croissance fulgurante, grâce aux développements de l'exploitation pétrolière maritime, grâce aussi aux projets miniers, dont celui de « Voisey's Bay » et au tourisme. En 2007, le PIB y a progressé de 9,1 %. Le PIB par habitant, longtemps au dernier rang des provinces, est passé à 48 739 $ en 2007, pour se situer au deuxième rang, derrière l'Alberta. Le Québec, en comparaison, avait un PIB par habitant de 37 138 $.


Les mises en chantiers résidentiels étaient de 3 261 en 2008[27].


Le taux de chômage reste élevé à cause de la proportion relativement importante de travailleurs saisonniers.



Culture |



Écrivains et écrivaines |


  • Margaret Duley


Fiche de renseignements |






  • La ville de Saint-Jean de Terre-Neuve.

    Capitale : Saint-Jean (St. John's)

  • Devise : Quaerite Primum Regnum Dei (Cherchez d'abord le royaume de Dieu)

  • Fleur emblème : La sarracénie pourpre

  • Date d'entrée dans la Confédération : Le 1er avril 1949

  • Membres de l'Assemblée législative : 48

  • Députés à la Chambre des communes : 7

  • Sénateurs : 6

  • Population en 2008 : 508 270

  • Revenu familial annuel moyen - 2003 : 47 100 $

  • Taux d'emploi - 1997- 62,4 %

  • Coûts des soins de santé par habitant - 1995 : 2 612 $

  • L'inflation mesurée à l'IPC - 1997 : 1,2 %

  • Revenu hebdomadaire moyen - 1997 : 483,49 $

  • Mises en chantier d'habitations - 2007 : 2 649 (Source : la SCHL)

  • Taxe de vente harmonisée - 2009 : 13 % (dont 5 % provient du TPS fédéral)

  • Population urbaine - 1996 : 41,8 %

  • PIB par habitant - 2007 : 48 739 $ (Source : Statistiques Canada, PIB par province)

  • Croissance du PIB - 2008 : 9,1 %

  • Superficie par rapport au reste du Canada : 4,06 %



Notes et références |





  1. a et b« Chiffres de population et des logements, Canada, provinces et territoires, recensements de 2016 et 2011 – Données intégrales », Statistique Canada, 28 août 2017(consulté le 9 novembre 2017)


  2. (en) « Discovery Could Rewrite History of Vikings in New World », National Geographic,‎ 31 mars 2016(lire en ligne)


  3. Charles Desmarquets, Mémoires chronologiques pour servir à l'histoire de Dieppe et à celle des navigations françaises, Paris, Libr. Desauges, 1785 : une analyse du contenu de ce livre et du crédit qu'il faut y ajouter est donnée par exemple dans la préface de Ch.-A. Julien au volume Les Français en Amérique dans la première moitié du XVIe siècle, Presses universitaires de France, 1946 (réimpr. Voyages au Canada, 1989, éd. La Découverte).


  4. Cf. Gillian T. Cell, Newfoundland Discovered, English Attempts at Colonization, 1610-1630, Toronto, Hakluyt Society, 1982 ; et du même auteur, Early European Settlement and Exploitation in Atlantic Canada (éd. par G. M. Story),, Saint-Jean, Memorial University of Newfoundland, 1982, « The Cupids Cove Settlement: A Case Study of the Problems of Early Colonisation », p. 97-114


  5. Colonisation officielle: la mise en valeur de Terre-Neuve


  6. Historique de Plaisance, Patrimoine de Terre-Neuve et du Labrador, Memorial University of Newfoundland [1]


  7. Le Gaboteur, « Rapport de la commission royale - Un document fort timide », sur Acadie.net, 26 août 2003


  8. (en) Royal Commission on renewing and strengthening our place in Canada, Our place in Canada, 2003(ISBN 1-55146-209-5, présentation en ligne, lire en ligne)
    Présentation en français



  9. https://www.encyclopediecanadienne.ca/fr/article/terre-neuve-et-labrador/


  10. https://www.geo.fr/voyages/guides-de-voyage/amerique/canada/terre-neuve-et-labrador


  11. « Newfoundland's name change now official », Canadian Broadcasting Corporation,‎ 6 décembre 2001(lire en ligne)


  12. http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/liste.jsp?titreListe=125


  13. https://www.gov.nl.ca/premier/


  14. http://www.govhouse.nl.ca/lieutenantgovernor/previous.html


  15. http://www.govhouse.nl.ca/index.html


  16. http://www.assembly.nl.ca/


  17. http://www.newfoundlandlabrador.com/PlanYourTrip/Detail/27545357


  18. https://www.pc.gc.ca/fr/pn-np/recherche-parcs-parks-search


  19. http://www.tcii.gov.nl.ca/parks/


  20. https://www.francotnl.ca/fr/organismes/fftnl/


  21. https://www.municipalnl.ca/


  22. Démographie du Canada.


  23. (en) [Recensement des langues les plus utilisés au Canada]


  24. http://www.statcan.gc.ca/tables-tableaux/sum-som/l01/cst01/demo30a-eng.htm


  25. http://www.cccb.ca/site/membres/assemblees-episcopales-regionales#lien3


  26. http://www.anglican.ca/about/organization/dioceses/map/


  27. Source : Statistiques Canada, Mise en chantier, par province




Voir aussi |




Le NGCC Labrador au port de Saint-Jean à l'été 1982


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Articles connexes |



  • Canada

  • Histoire de Terre-Neuve

  • Liste des provinces et territoires canadiens

  • Liste de villes canadiennes

  • Liste des Premiers ministres de Terre-Neuve-et-Labrador

  • Liste des municipalités de Terre-Neuve-et-Labrador

  • Fédération des francophones de Terre-Neuve et du Labrador

  • Memorial University of Newfoundland

  • Abbate Point



Liens externes |




  • (en) Site officiel Gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador


  • (fr) Bureau des services en français de Terre-Neuve-et-Labrador


  • (fr) Portail des francophones de Terre-Neuve-et-Labrador


  • (fr) Site officiel touristique de Terre-Neuve-et-Labrador


  • (fr) Site du Premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador


  • (en)UNESCO - Présentation de l'Anse aux Meadows, site officiel


  • (en)Site du Parti libéral de Terre-Neuve-et-Labrador


  • (fr) Assemblée des évêques de l'Atlantique sur Wikipédia


  • (fr)Site de la capitale provinciale, la ville de Saint-Jean de Terre-Neuve




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