Vienne (département)
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Création du département | 4 mars 1790 |
Chef-lieu (Préfecture) | Poitiers |
Sous-préfectures | Châtellerault Montmorillon |
Président du conseil départemental | Bruno Belin (LR) |
Préfète | Marie-Christine Dokhelar[1] |
Code Insee | 86 |
Code ISO 3166-2 | FR-86 |
Démographie | |
Gentilé | Viennois |
Population | 434 887 hab. (2015) |
Densité | 62 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 6 990 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 3 |
Circonscriptions législatives | 4 |
Cantons | 19 |
Intercommunalités | 7 |
Communes | 274 |
modifier |
La Vienne — prononcée /vjɛn/ .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}
Écouter en français — est un département français traversé par la rivière de la Vienne.
Cinquième département le plus étendu de la région Nouvelle-Aquitaine et 16e plus grand département de la France métropolitaine, il se caractérise cependant par un peuplement moyen mais, grâce à sa préfecture de Poitiers et sa situation géographique sur l'axe Paris-Bordeaux-Espagne, il affirme un dynamisme certain et une forte vitalité économique.
Les habitants de la Vienne sont appelés les Viennois et Viennoises[2].
L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) et La Poste lui attribuent le code 86.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Le cadre géographique
1.2 Le cadre administratif
2 Histoire
2.1 La Seconde Guerre mondiale
2.2 La reconstruction
3 Emblèmes
3.1 Blason
4 Climat
4.1 Quelques records
5 Économie
6 Démographie
6.1 Un département moyennement peuplé
6.2 Poitiers, un important pôle régional en Nouvelle-Aquitaine
7 Culture
7.1 Langue régionale
8 Tourisme
9 Politique
9.1 Composition politique
10 Administration
11 Environnement
12 Transports
12.1 Le réseau routier
12.2 Le réseau ferroviaire
12.3 La desserte aéroportuaire
13 Notes et références
14 Voir aussi
14.1 Articles connexes
14.2 Liens externes
Géographie |
Le cadre géographique |
Le département de la Vienne, qui s'étend sur une superficie de 6 990 km2, se situe dans la partie septentrionale de la région Nouvelle-Aquitaine.
Dans la région Nouvelle-Aquitaine, il voisine à l'ouest avec le département des Deux-Sèvres, au sud avec celui de la Charente et au sud-est avec la Haute-Vienne.
La Vienne est limitrophe dans sa bordure nord-ouest du département de Maine-et-Loire qui relève de la région Pays de la Loire, il est limité au nord et à l'est par les départements d'Indre-et-Loire et de l'Indre qui appartiennent à la région Centre-Val de Loire.
Le cadre administratif |
Sur le plan administratif, la Vienne est divisée en 3 arrondissements, 19 cantons, 7 intercommunalités et 274 communes.
Histoire |
Le département a été créé à la Révolution française, le 4 mars 1790, en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir d'une portion de la province du Poitou et d'une partie de l'Anjou avec le rattachement du sud du Saumurois (région du Loudunais, dépendant du gouverneur de Saumur).
Le Loudunais et le Mirebalais appartenaient auparavant à la province d'Anjou, depuis le milieu du Moyen Âge et sa conquête sur le comté de Poitiers. Loudun dépendait du gouverneur de Saumur, Mirebeau relevait de la Sénéchaussée de Saumur).
Le triangle Loudun, Mirebeau et Moncontour, constituant le Loudunais reste détaché du Poitou et dépendra du gouvernement de Saumur et du Saumurois jusqu'à la Révolution française et la création des départements français.
Sur le plan religieux, le Loudunais faisait partie du diocèse de Poitiers.
À sa création, le département de la Vienne était divisé en six districts : Loudun, Poitiers, Châtellerault, Civray, Montmorillon, Lusignan ; puis en cinq arrondissements : Poitiers, Châtellerault, Loudun, Montmorillon et Civray. En 1926, les arrondissements de Loudun et Civray sont supprimés. Le premier est rattaché à celui de Châtellerault et le deuxième rejoint celui de Montmorillon.
La Seconde Guerre mondiale |
Lors de la Seconde Guerre mondiale, le département accueille environ 54 000 réfugiés du département de la Moselle à partir du mois de septembre 1939, y compris l’École normale de Metz[3], en plus des réfugiés espagnols internés au camp de la route de Limoges à Poitiers. Il doit encore accueillir les réfugiés de Gironde en 1941, les enfants réfugiés de Seine-et-Oise (1942), les 30 000 Nantais victimes des bombardements de 1943[4], les habitants chassés de la zone côtière de Charente-Maritime en 1944[5]. En mai-juin 1940, le gouvernement belge s’installe à Poitiers, son parlement s’installant à Limoges[6]. Fin juin, le département fait l’objet d’une invasion étrangère pour la première fois depuis le XIVe siècle et est coupé en deux par la ligne de démarcation. 20 000 Allemands y stationnent[7].
Le camp de la route de Limoges, proche de Poitiers, sur la route nationale 147, qui avait servi à recevoir les réfugiés Espagnols en 1939, est également utilisé par la Kommandantur de Poitiers dès la fin de 1940 pour y enfermer les Tsiganes. À partir du 15 juin 1941[réf. nécessaire], elle y parqua de façon provisoire les Juifs, avant de les acheminer vers le camp de Drancy. Très peu d’entre eux purent être sauvés, à cause de la très bonne collaboration de la Kommandantur et de la Préfecture. Au total, près de 1 600 Juifs furent envoyés vers Drancy à partir de ce camp, dont le rabbin Élie Bloch, mort à Auschwitz. Ce camp reçoit aussi les militantes communistes et les épouses de résistants et les réfractaires au STO à partir de janvier 1944[8].
Le premier réseau de Résistance organisé du département est le réseau Renard[9], du nom de son chef Louis Renard, qui le met en place à partir d’octobre 1940. Ce réseau, d’information essentiellement mais qui s’étendait, est démantelé par les Allemands aidés de la police française en août 1942[10]. Cent résistants sont arrêtés, et quinze meurent en Allemagne[11]. Parallèlement, les effectifs de la Résistance dans le département croissent, pour passer de 500 hommes mi-1943, à plusieurs milliers en juin 1944 (3 300 selon Calmon, 5 000 selon Stéphane Simonnet[12]). Les principaux maquis se trouvent dans le sud du département, où le bocage les favorise, et dans la forêt de Scévolles, au sud de Loudun. Les FTP rejoignent les FFI du colonel Chêne en juillet, qui atteignent des effectifs de 12 000 hommes en septembre. Aidés par les équipes Jedburgh et les SAS (deux commandos de 56 et 46 hommes), les FFI harcèlent les Allemands à la fin de la guerre.
Ces combats, souvent violents, opposent les FFI à la Milice et les troupes allemandes à partir du 10 juin et jusqu’au 15 août. Du 22 au 31 août, celles-ci abandonnent Poitiers (à la suite du débarquement de Provence), et la colonne Elster traverse la Vienne le 3 septembre[13]. Les Allemands ont fusillé 200 Poitevins ; 188 FFI sont morts au combat, 110 ont été blessés[14].
La reconstruction |
À la fin de la guerre, des prisonniers de guerre sont répartis sur le territoire, parfois dans d’anciens camps allemands[15] :
- à la Chauvinerie : 7 300 PG ;
- à Rouillé : 900 officiers.
Au 1er janvier 2016 la région Poitou-Charentes, à laquelle appartenait le département, fusionne avec les régions Aquitaine et Limousin pour former la région Nouvelle-Aquitaine.
Emblèmes |
Blason |
Blasonnement : « de gueules au pal ondé d’argent, accompagné de cinq châteaux d'or maçonnés de sable et donjonnés de trois tourelles de même, ordonnés en sautoir et brochant sur le tout. » |
Climat |
La Vienne possède un climat à forte dominance océanique. En effet sa position proche de l'Atlantique à l'ouest du continent européen lui assure un climat plutôt frais l'été et doux l'hiver. En témoigne la moyenne annuelle des températures du département de 14,4 °C. Pour ce qui est des précipitations, elles s'échelonnent de 600 mm à 850 mm suivant la position géographique au nord ou au sud du département. La durée d'insolation moyenne se situe proche de 1900 heures par an.
Quelques records |
- Froid : −17,9 °C le 16 janvier 1985 ; année la plus froide : 1963.
- Chaleur : 40,8 °C le 27 juillet 1947 ; année la plus chaude : 2003.
- Précipitations max. en 24 h : 92,3 mm ; année la plus pluvieuse : 1960.
Économie |
L'ancienne Manufacture d'armes de Châtellerault, créée en 1819 et fermée en 1968. Les bâtiments sont utilisés depuis cette date pour abriter le centre Afpa local, un musée des archives de l'armement, une patinoire ainsi qu'un conservatoire dans les anciens bureaux.
Démographie |
Un département moyennement peuplé |
Au dernier recensement de population, celui de 2013, le département de la Vienne compte 431 248 habitants[19],[20], ce qui le classait au deuxième rang dans l'ancienne région Poitou-Charentes, loin derrière la Charente-Maritime mais nettement devant les départements des Deux-Sèvres et de la Charente.
Sa densité de population qui s'établissait à 62 hab./km2 en 2013 demeurait cependant inférieure à celle du reste de l'ancienne région Poitou-Charentes qui, à la même date, s'établissait à 69 hab./km2. Cette densité est largement inférieure à celle de la France métropolitaine qui est de 115 hab./km2. Il s'agit d'un département moyennement peuplé mais il existe à l'intérieur de ses limites de vrais contrastes de peuplement. En effet, la concentration de population est établie majoritairement le long de la vallée du Clain sur l'axe Poitiers-Châtellerault, qui constitue l'épine dorsale de la Vienne et le foyer principal des activités humaines et économiques.
Poitiers, un important pôle régional en Nouvelle-Aquitaine |
Au dernier recensement officiel de population, celui de 2013[19], douze communes de plus de 5 000 habitants sont présentes dans la Vienne.
Parmi celles-ci, les six principales villes sont les suivantes :
Poitiers (87 427 hab.), Châtellerault (31 262 hab.), Chauvigny (7 086 hab.), Loudun (6 780 hab.), Montmorillon (6 197 hab.) et Neuville-de-Poitou (5 336 hab.).
Cinq autres sont des communes de l'agglomération de Poitiers, qui est la plus importante de la région Poitou-Charentes et qui rassemble 128 180 habitants en 2012[21] : Buxerolles (9 974 hab. en 2013), Saint-Benoît (7 096 hab.), Jaunay-Clan (5 952 hab.), Migné-Auxances (5 906 hab.), et Vouneuil-sous-Biard (5 424 hab.).
Dans l'agglomération de Châtellerault, qui rassemble 40 383 habitants en 2012[22] et qui se classe au cinquième rang des agglomérations de Poitou-Charentes, se situe Naintré avec 5 850 habitants en 2013.
Culture |
Langue régionale |
Vers 1835, d'après Abel Hugo, les paysans de l'arrondissement de Châtellerault et d'une partie de celui de Montmorillon, parlaient un français incorrect, mêlé d'anciennes expressions du XVIe siècle, telles qu'on en trouve dans Amyot[23].
Concernant la prononciation de l'époque, Ils mouillaient comme les Italiens le [g] et le [l] réunis et prononçaient [ou] la plupart des [o]. Ils faisaient sentir fortement la lettre [e] dans tous les mots ou s'emploie la voyelle composée [eau] et supprimaient le [i] dans les terminaisons en -ien (comme dans soutien, chien, etc). D'autre part, leur manière de parler était très accentuée[23].
Tourisme |
Politique |
- Liste des députés de la Vienne
- Liste des sénateurs de la Vienne
- Liste des conseillers généraux de la Vienne
Composition politique |
Parti | Sigle | Élus | |
---|---|---|---|
Opposition (7 sièges) | |||
Parti socialiste | PS | 7 | |
Majorité (28 sièges) | |||
Union pour la Vienne | DVD | 28 | |
Non-inscrits (3 sièges) | |||
Président du Conseil départemental | |||
Bruno Belin (LR) |
Administration |
- Liste des préfets de la Vienne
|
Environnement |
- Ligue pour la Protection des Oiseaux délégation Vienne
- Environnement en Poitou-Charentes
- Eau en Poitou-Charentes
- Biodiversité en Poitou-Charentes
Transports |
Le département gère les transports interurbains et les transports scolaires sur son territoire (à l'exclusion des périmètres de transport urbain de Châtellerault et Poitiers). Le réseau Lignes en Vienne est composé de 18 lignes qui irriguent quotidiennement le département.
Le réseau routier |
Le département de la Vienne est desservi par l'A10, ce qui lui confère une position stratégique pour le tourisme bien que ce soit un département de transition entre le Nord de la France (Paris) et le Sud de la France (Bordeaux). Châtellerault, Chasseneuil-du-Poitou au nord de l'agglomération poitevine (Futuroscope) et Poitiers sont desservies par l'autoroute.
L'autoroute est venue doubler la Nationale 10 (voie Paris-Bayonne) qui traverse également le département. Les villes de Poitiers, Vivonne et Couhé sont notamment traversées. Au nord de Poitiers, la N10 a été déclassée en 2006 sous le nom de D910.
D'autres routes nationales partent de Poitiers : la N147 (Limoges) et la N149 (Nantes).
Le réseau ferroviaire |
La caractéristique du réseau ferroviaire du département est de favoriser les relations avec Bordeaux, Nantes et Paris tout en délaissant le bord du département. Ainsi, il n’y a aucune desserte voyageur entre Poitiers et Loudun. Cette situation entretient l’enclavement de cette partie du département. La ville de Loudun et uniquement reliée par TER à Thouars et à Tours.
L’axe économique de la Vienne : Poitiers-Châtellerault est très bien desservi puisque 8 gares ont été construites entre les deux villes. La ligne TER Poitiers-Tours qui les dessert propose en moyenne, par ailleurs, plus d’une dizaine de trajets aller/retour par jour. À ces dessertes, il faut rajouter celles assurées par les lignes de TGV Atlantique mais sur une voie ferrée classique.
Cette desserte ferroviaire est complétée par les lignes TER Poitiers-Angoulême, Poitiers-Niort et Poitiers-La Rochelle qui relient la Vienne aux autres départements limitrophes de Nouvelle-Aquitaine .
Le département dispose de 3 gares TGV : Châtellerault , Poitiers, et Futuroscope. Poitiers est ainsi à 1h20 environ de Paris-Montparnasse avec une vingtaine de trajets aller-retour assurés par jour.
La ligne LGV Sud Europe Atlantique, mise en service en juillet 2017, contribue à rapprocher encore un peu plus la Vienne de Paris et de Bordeaux, la capitale de la région. Il était prévu de construire une LGV entre Poitiers et Limoges qui permettrait de relier les deux villes en 45 minutes, mais le projet a été abandonné en 2018. Les études avaient été lancées en 2003 pour un projet mais la date de réalisation était sans cesse repoussée.
La desserte aéroportuaire |
L'aéroport de Poitiers-Biard est la principale infrastructure de transport pour relier rapidement le département aux grandes régions économiques européennes. Il s’est développé réellement à partir de 2001 avec l’arrivée de compagnies à bas coûts et l’ouverture d’une ligne sur Londres.
Toutefois, il n’existe pas de véritable dynamique régionale autour de la question du développement de la desserte aéroportuaire et on constate la permanence de la coexistence de plusieurs aéroports de tailles très modestes.
Notes et références |
« La préfète de Région remplacée par une préfète départementale », centre-presse.fr, 16 décembre 2015(consulté le 23 décembre 2015)
« Le noms des habitants des communes de France », sur habitants.fr (consulté le 15 décembre 2017)
Jean-Henri Calmon et Jean-Clément Martin (dir.), Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », 2000(ISBN 2-910919-98-6), p. 63, p. 7
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 43
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 8
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 8-10
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 16
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 36-37
« Le réseau Louis Renard », sur le site vrid-memorial.com, consulté le 16 septembre 2008.
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 46-47
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 50
Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », 2004 (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN 978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC 417826733, notice BnF no FRBNF39169074), p. 40
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 53-54
Jean-Henri Calmon, op. cit., p. 54
Jean-Paul Louvet, Les dépôts de P.G. de l'Axe en mains françaises, disponible en ligne [1], consulté le 3 octobre 2008
Structure de la population du département de 1968 à l'année de la dernière population légale connue
Structure de la population du département de 1968 à l'année de la dernière population légale connue
Fiches Insee - Populations légales du département pour les années [ 2006], [ 2014]
Populations légales 2013 sur le site de l'Insee, consulté le 28 janvier 2016.
, tandis que la population totale s'établit à 442 696 habitants, cette dernière donnée est prise en compte par les administrations, notamment en vue du calcul de la DGF des communes lors de l'établissement du budget. Sur ce, consulter notamment la Base A.S.P.I.C. des départements / Site ASPIC des départements, intercommunalités, communes. Ce chiffre de population n'est généralement pas pris en compte pour des études démographiques ayant l'inconvénient de posséder des doubles comptes, c'est-à-dire des personnes comptées deux fois (exemple : lycéens et étudiants en internat, militaires dans une caserne, prisonniers dans une maison d'arrêt, malades dans un hôpital...).
Unité urbaine de Poitiers (86601), sur le site de l'Insee, consulté le 28 janvier 2016.
Unité urbaine de Châtellerault (86401), sur le site de l'Insee, consulté le 28 janvier 2016.
Abel Hugo, France pittoresque ou description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France, Paris, Delloye, 1835
Voir aussi |
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Articles connexes |
- Poitou
- Liste des communes de la Vienne
- Liste des anciennes communes de la Vienne
- Liste des cantons de la Vienne
- Liste des intercommunalités de la Vienne
- Liste de ponts de la Vienne
- Liste des monuments historiques de la Vienne
- Volontaires nationaux de la Vienne pendant la Révolution
Liens externes |
- Préfecture
(fr) Département de la Vienne: Les Comptes des Communes et des groupements à fiscalité propre : Données Individuelles Budget principal seul - Données consolidées "Budget principal et budgets annexes"- Conseil départemental
- Le site officiel du tourisme dans la Vienne, au Pays du Futuroscope
- Archives départementales
- Portail de la Vienne